mercredi 27 juillet 2011

Évêque orthodoxe: "le judaïsme ne veut le bien d'aucune nation, d'aucun peuple ni pays"

"Toute personne intelligente qui lit le Protocole des Sages de Sion reconnaîtra l'étendue de son influence sur la politique de notre région et du monde."

"Le sionisme est "derrière toutes les guerres civiles"

Protocole des Sages de Sion: l'Evêque orthodoxe syrien George Saliba y voit l'origine des révoltes arabes

Voir les extraits vidéo sur MEMRI TV:
http://www.memri.org/clip/en/0/0/0/0/0/0/3047.htm 

Ci-dessous des extraits d'un entretien avec George Saliba, évêque de l'Eglise orthodoxe syrienne au Liban, diffusé sur Al-Dunya TV le 24 juillet 2011:

George Saliba: La source qui finance et motive toutes ces organisations internationales, en Orient comme en Occident, et en particulier dans le monde arabe... Ils sont dirigés par une seule organisation maléfique, connue sous le nom de "sionisme". Elle est derrière tous ces mouvements, toutes ces guerres civiles, tous ces maux ; elle se sert des Occidentaux - aux Etats-Unis, en Europe - ou de leurs disciples. [...]

Ce qui arrive n'est que naturel. Jésus Christ a guéri les malades parmi les Juifs. Il a rendu la vue aux aveugles, purifié les lépreux, ressuscité leurs morts.

Interviewer: Comment le lui ont-ils rendu ?

George Saliba: ils ont tout fait pour le crucifier, jusqu'à sa mort. [...]

Est-ce que les gens de l'opposition, avec leurs idées et leurs agissements, appartiennent au christianisme ou à l'islam ? Non, ils sont profondément enracinés dans le judaïsme et le sionisme, qui ne veut le bien d'aucune nation, d'aucun peuple ni pays.[...]

Toute personne intelligente qui lit le Protocole des Sages de Sion reconnaîtra l'étendue de son influence sur la politique de notre région et du monde.

2 commentaires :

Anonyme a dit…

Ce n'est être intelligent que croire ce qui est écrit dans cet ouvrage antisémite

Gilles-Michel DEHARBE a dit…

* Vieille histoire à multiples épisodes ! Mais en particulier et succintement :


Tout de suite après la Première Guerre mondiale, le Saint-Siège, exclu de la Conférence de la paix à Versailles aux termes de l’article 15 du Pacte de Londres, voulut faire en sorte qu’un État juif, qui aurait constitué une menace pour les Lieux saints et offensé les sentiments chrétiens, ne voit pas le jour. Comme s’en expliquait Benoît XV le 13 juin 1921, on craignait que "les Juifs ne viennent à se trouver en Palestine en position de prépondérance et de privilège."

Conclusion négative de la guerre pour le Saint-Siège : un Haut-Commissaire de confession juive pour la Palestine, Herbert Samuel, est nommé en 1920. À la Conférence de San Remo, la France avait, la même année, abandonné son rôle de protectrice des catholiques du Levant. 1922 : le Conseil de la Société des Nations octroyait le mandat sur la Palestine à l’anglicane Grande-Bretagne.

Le cardinal Gasparri, secrétaire d’État, écrivit en vain une lettre datée du 15 mai 1922 à la SDN, demandant que soient retranchés les paragraphes "sionistes" du mandat parce que ces articles conféraient aux Juifs une prépondérance sur les catholiques.

À l’époque, le Vatican fit siennes les thèses arabes et trouva ici un appui en Sa Béatitude Luigi Barlassina, le patriarche latin de Jérusalem qui continua très longtemps de haïr les Juifs et inaugura la tradition antisioniste du patriarcat.