La savants arabes se distinguent de nos jours par leurs capacités inouïes de traquer les redoutables complots ourdis par les sionistes. Chaque jour apporte son lot de complots sionistes révélés et dûment dénoncés. Les plus redoutables et craints sont ceux qui visent à nuire à la fertilité des femmes.
Le citoyen israélien Ofir Harrari, qui a récemment été accusé par d’espionnage en Égypte pour le compte Israël, aurait été, selon les médias de propagande du Caire, impliqué dans un système complexe destiné à nuire aux capacités de reproduction des égyptiennes. L’article d’Al Ahram ne laisse aucune présomption d’innocence à ce sujet…
Ofir Harrari est accusé par l’Égypte d’être un agent du Mossad (le coup des requins et des méduses n’a pas suffit). Il devrait être jugé par contumace sur des accusations d ‘"espionnage pour un pays étranger avec le but de nuire à l’intérêt national égyptien".
Sous le hijab, la couleur!
"Selon l’enquête du bureau du procureur public, l’agent du Mossad Ofir Harrari a entraîné le citoyen jordanien Ibrahim Abou-Zaid pour créer une société en Égypte, qui serait exclusivement chargée de l’importation de produits capillaires israéliens, tant pour les hommes que les femmes". Jusque là, tout va bien. Mais voilà, les couleurs capillaires provoqueraient, selon les enquêteurs, l’infertilité des Égyptiennes.
L’Égypte, qui a été incapable d’identifier la bactérie E Coli pendant plusieurs mois, se targue donc d’avoir découvert que des colorations capillaires rendrait la reproduction impossible pour leurs utilisateurs…
Le 12 Juin, l’Égypte avait déjà arrêté un américano-israélien, Ilan Grapel, sur des soupçons d’espionnage pour Israël. Aucune preuve n’a cependant été trouvée contre le jeune homme.
Jonathan-Simon Sellem – JSSNews
1 commentaire :
Nous apprendrons que des produits cométiques génétiquement modifiés étaient fabriqués en Manchourie septentrionale, empaquetés en sud Mongolie par une société dont le siège social se situe aux Bermudes, transportés par une autre société dont la maison mère se trouve en république socialiste soviétique d'Azerbaïdjan et vendus en Egypte par une société guatémaltèque dont l’épouse du propriétaire a pour meilleure amie la cousine du neveu dont le petit frère a une sœur qui a comme voisine une femme qui connait personnellmentl'épouse d'Ibrahim Abou-Zaid .
Franco
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