dimanche 14 août 2011

Le Figaro n'a pas vu les verdoyantes pelouses de Gaza...

Gaza manquerait, d'après Le Figaro, cruellement d'eau.  Pourtant, comme le rapporte le blog Elder of Ziyon,  les pelouses verdoyantes grandes dévoreuses d'eau ne manquent pas dans la bande de Gaza (The green grass of Gaza), mais il ne faut pas compter sur les médias français pour vous parler de l'autre réalité de Gaza:

The Palestine Times has an article about how a Gaza man, frustrated at the price of grass from Israel, decided to cultivate grass on his own in Gaza and sell it to other Gazans. Gaza resorts and other businesses are buying the grass to beautify their public spaces.

This is admirable on a number of levels. Coming up with a business, gaining independence from imports, and beautifying where you live are all nice things.

But doesn't Gaza have a water problem?  Grass needs a lot of water, and when a Gaza resort decides to make a lush, green lawn it is committing itself to using a great deal of water - water that Gaza is woefully short of. Not to mention that grass is a luxury. In a place that is supposedly fighting to survive, grass doesn't seem to be the highest priority.


L’article du Figaro intitulé La bande de Gaza confrontée à un manque d'eau potable n’a nul besoin d’explications de textes pour que le lecteur lambda comprenne le sujet. Ni, de surcroît, pour qu’il manque d’en attribuer quasi systématiquement et de façon subliminale la responsabilité à Israël. Ce que Charles Gauthier, l’auteur de l’article, incite à sous-entendre : "Selon la Palestinian Water Authority (PWA), citée par l'AFD, un Palestinien consomme 70 litres en moyenne en Cisjordanie, un Israélien 250 litres, et un Occidental de150 à 200 litres".

Ce lecteur, fondamentalement abusé car ne possédant pas les mesures réalisées par l’administration israélienne, confirmera l’Israélien au mieux  gaspilleur, au pire voleur d’eau forcément "palestinienne".

Il ne sera pas amené, non plus, à réfléchir aux implications des "Palestiniens"’, et principalement du Hamas, dans cette pénurie. Comme par exemple, la non construction d’usines de dessalement d’eau de mer qui auraient contribué à un meilleur confort des Gazaouis. Voire d’usines de retraitement des eaux usées qui seraient réservées à l’agriculture. Réalisations qui ont permis à l’état d’Israël de ne plus dépendre, ou presque, du bon vouloir de la météo. Un pays que beaucoup accusent, malgré tout, de "voler" l’eau de ses voisins. [...]

2 commentaires :

Anonyme a dit…

Le lecteur lambda du Figaro, de l’Immonde, de Libération (je n’ai jamais compris de quoi), de l’Inhumanité et de La croix et le croissant, des dépêches de l’ Agence des Faux Papiers n’ont droit pour Israël qu’à une désinformation digne des régimes staliniens.

Franco

Anonyme a dit…

Quelqu'un pourrait-il me dire s’ il a lu dans le Figaro, le monde ,libération, l'humanité, la croix, le journal du dimanche, le nouvel observateur, Marianne, l'express, le point, le parisien, l’AFP etc. Un article dans lequel, on ne lit pas qu'Israël a raison, mais seulement qu'il soit possible que parfois Israël n'ai pas eu toujours tout à fait tort ?

Franco