Barack Obama:
"Soyons honnêtes: Israël est entouré de voisins qui ont mené des guerres répétées à son encontre. [...] Les citoyens israéliens ont été assassinés par des roquettes tirées contre leurs maisons et par des attentats suicides contre leurs bus. Israël, un petit pays de moins de huit millions d'habitants, doit affronter un monde où les leaders de pays bien plus grands menacent de l'effacer de la carte." Dans son discours à l'ONU, le Président a également rappelé le génocide commis par des Européens:
"Le peuple juif porte le fardeau de siècles d'exil, de persécution, et se souvient des six millions de personnes [dont un million et demi d'enfants] assassinées simplement à cause de leur identité. Ces faits ne peuvent être niés".
Mitt Romney, candidat républicain à la présidentielle américaine, a critiqué jeudi le président Barack Obama qu'il accuse d'avoir sapé les relations avec Israël.
"Il semble clairement déterminé à ébranler notre ami et allié de longue date", a-t-il déclaré.
"Il traite Israël de la même manière que de nombreux Européens : avec soupçon, méfiance, et partant de l'hypothèse qu'Israël est en tort", a-t-il ajouté.
Rick Perry: Dans une colonne parue dans le
Wall Street Journal [
"Entouré de voisins inamicaux et d'organisations terrorises qui veulent le détruire, l'État juif n'a jamais eu une vie facile."], Perry appelle les Etats-Unis
"à soutenir pleinement l’Etat d’Israël à l’ONU face à la demande palestinienne d’un Etat". Il rappelle
"le soutien américain à Israël depuis 1948 et les puissants liens économiques, culturels, moraux, militaires et stratégiques qui lient les deux nations". Perry écrit
"que la démarche palestinienne constitue une menace pour Israël" [...] Enfin, il appelle
"le gouvernement américain à imposer de lourdes sanctions à l’AP au cas où l’ONU voterait en faveur d’un Etat palestinien".
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