Alors que les beaux discours et les belles proclamations contre l'antisémitisme foisonnent en Europe comme celle de l'inénarrable chef de la politique étrangère de l'UE Federica Mogheriniqui qui était l’hôte de la célébration annuelle de Hanoucca organisée à Bruxelles par le Centre communautaire juif européen: "L'antisémitisme à travers l'Europe est en hausse et doit être traité et combattu de manière décisive", le Parlement européen a rejeté la proposition de former un groupe de travail sur précisément l'antisémitisme en Europe, alors que 28 inter-groupes sont consacrés au vin, à la préservation animale etc. Cette décision est passée inaperçue. Seul le Jewish Chronicle s'en est ému dans un article du 18 décembre intitulé MEPs reject taskforce on antisemitism. Extraits:
Campaigners working to combat antisemitism have attacked the European Parliament's decision not to form a special group to tackle Jew-hatred across the continent.
Despite forming groups to deal with issues including wine, fishing and animal conservation, a proposal for a dedicated antisemitism taskforce was rejected by MEPs in Brussels last Thursday. There are 28 new "intergroups" which contain politicians from all parties and are used for informal discussions and meetings with charities, think-tanks and members of the public. One group will consider "anti-racism and diversity" but there will be no specialist body dealing with antisemitism.
The JC understands more than 100 MEPs had pledged their support for a working group to tackle the rise of Jew-hatred across the continent. All of the European parliament's political groupings had also backed the plan. Jardena Lande, director of the Inter-parliamentary Coalition for Combating Antisemitism (ICCA), said: "We had some amazing support from individual MEPs but when it came to the groups voting, they did not go for it. They accepted one on general racism because it is not exclusive to any one group. But given the climate and the year we have had, it's very disappointing." Ms Lande said the European Parliament had "special responsibility" for combating antisemitism given the continent's history and the current rise in incidents. "It's hugely questionable why they would not let us have a separate group on this issue right now," she said.
Ce site est dédié aux millions d'Européens qui, malgré d'incessantes campagnes de désinformation, ne croient pas que les Juifs ne sont capables que du pire; ne dissimulent pas leur antisémitisme dans le langage de l'antisionisme; et savent qu'Israël représente ce qu'il y a de meilleur dans une démocratie.
lundi 22 décembre 2014
samedi 20 décembre 2014
Dany Boon: "En France, je me fais insulter et menacer quand je prends position pour Israël" (vidéo)
L'humoriste, en visite en Israël où vit sa belle-famille, a donné une interview pour i24news
"En France, je me fais amplement insulter et menacer quand je prends position pour Israël", a déclaré l'humoriste, réalisateur et acteur français Dany Boon, dans une interview pour l'émission Culture d'i24news mercredi.
Ce fils de kabyle chrétien converti au judaïsme il y a 13 ans et marié à une juive française, qui "souhaite venir plus souvent en Israël", s'est dit inquiet de la montée de l'antisémitisme en France, et "partout dans le monde", a-t-il insisté. Boon, de son vrai nom Daniel Hamidou, né d'un père Kabyle et d'une mère catholique, raconte que les clichés antisémites en France ont la dent dure.
"Les gens font des raccourcis, des amalgames, j'entends souvent 'maintenant que vous êtes juif vous êtes devenu très riche'", confie-t-il. "Mais je réplique 'd'abord j'étais déjà très riche quand j'étais catholique, ensuite je connais des Juifs pauvres". Suite
"En France, je me fais amplement insulter et menacer quand je prends position pour Israël", a déclaré l'humoriste, réalisateur et acteur français Dany Boon, dans une interview pour l'émission Culture d'i24news mercredi.
Ce fils de kabyle chrétien converti au judaïsme il y a 13 ans et marié à une juive française, qui "souhaite venir plus souvent en Israël", s'est dit inquiet de la montée de l'antisémitisme en France, et "partout dans le monde", a-t-il insisté. Boon, de son vrai nom Daniel Hamidou, né d'un père Kabyle et d'une mère catholique, raconte que les clichés antisémites en France ont la dent dure.
"Les gens font des raccourcis, des amalgames, j'entends souvent 'maintenant que vous êtes juif vous êtes devenu très riche'", confie-t-il. "Mais je réplique 'd'abord j'étais déjà très riche quand j'étais catholique, ensuite je connais des Juifs pauvres". Suite
jeudi 18 décembre 2014
Depuis 1949, les pays de la Convention de Genève n’ont condamné qu’un seul pays: Israël !
Mais on entend partout en Europe qu'on ne peut pas critiquer Israël... que le lobby juif est trop puissant, que la liberté d'expression est muselée par les sionistes etc.
JSS News (extrait):
Depuis sa création en 1949, les pays de la convention de Genève se sont réunis à 3 reprises afin de condamner des Nations. Enfin, une nation! Le seul pays condamné par cette organisation, en 68 ans, est Israël!
JSS News (extrait):
Depuis sa création en 1949, les pays de la convention de Genève se sont réunis à 3 reprises afin de condamner des Nations. Enfin, une nation! Le seul pays condamné par cette organisation, en 68 ans, est Israël!
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mercredi 17 décembre 2014
Propagande antisémite répugnante dans les rues d'Amsterdam (vidéo)
Algemeiner et le site israélien 0404 rapportent qu'un touriste israélien qui se promenait récemment dans le centre d'Amsterdam fut abasourdi de voir un important étalage de propagande antisémite en arabe. Visiblement c'est devenu tout à fait normal au point que ça ne suscite même pas de réactions. L'hostilité envers les Juifs et Israël est omniprésente surtout dans les quartiers où habitent des musulmans.
Voici la vidéo réalisée par le touriste:
Par ailleurs, un sondage révèle que de nombreuses tensions traversent la société. Les Néerlandais se font peu d'illusions sur les problèmes du pays et 85% estiment que leurs élites sont responsables de la situation. "The Social and Cultural Planning Bureau has polled 3,000 Dutchmen. 60% of those polled see tensions between Autochtonuos (native) Dutchmen and those of immigrant origins. Many see tensions between religious groups, between the poor and the rich, and between workers and employers. Two-thirds of the Dutch think that the Netherlands is moving in the wrong direction. Of these people, 85% blame the country’s elite, politicians, managers and the economically powerful. These elite are seen as serving their own interests and are perceived as not having any contact with the ordinary citizens nor with their concerns." Bad News from the Netherlands and Volkskrant.
Voici la vidéo réalisée par le touriste:
Par ailleurs, un sondage révèle que de nombreuses tensions traversent la société. Les Néerlandais se font peu d'illusions sur les problèmes du pays et 85% estiment que leurs élites sont responsables de la situation. "The Social and Cultural Planning Bureau has polled 3,000 Dutchmen. 60% of those polled see tensions between Autochtonuos (native) Dutchmen and those of immigrant origins. Many see tensions between religious groups, between the poor and the rich, and between workers and employers. Two-thirds of the Dutch think that the Netherlands is moving in the wrong direction. Of these people, 85% blame the country’s elite, politicians, managers and the economically powerful. These elite are seen as serving their own interests and are perceived as not having any contact with the ordinary citizens nor with their concerns." Bad News from the Netherlands and Volkskrant.
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Antisémitisme musulman
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Pays-Bas
Bruxelles: pierre jetée contre contre un temple maçonnique (pris pour un lieu juif?)
Un témoin a confié à la Capitale: "Je pense qu’ils ont pris le triangle sur la façade pour le sceau de Salomon" et que c'est ce symbole juif qui aurait été visé.
La Nouvelle Gazette et la Capitale:
C’est un acte de vandalisme peu habituel, pour ne pas dire exceptionnel, qui a été commis lundi soir à deux pas de la place des Martyrs. Des jeunes ont jeté une pierre pour casser la vitre d’un temple maçonnique, celui des Amis Philanthropes, situé rue du Persil. Un témoin pense qu’il pourrait s’agir d’une confusion. Le triangle qui orne la façade pourrait avoir été confondu avec un symbole juif.
La Nouvelle Gazette et la Capitale:
C’est un acte de vandalisme peu habituel, pour ne pas dire exceptionnel, qui a été commis lundi soir à deux pas de la place des Martyrs. Des jeunes ont jeté une pierre pour casser la vitre d’un temple maçonnique, celui des Amis Philanthropes, situé rue du Persil. Un témoin pense qu’il pourrait s’agir d’une confusion. Le triangle qui orne la façade pourrait avoir été confondu avec un symbole juif.
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Belgique francophone
La femme du terroriste islamiste et antisémite de Sydney approuve la Shoah et le terrorisme
Man Haron Monis |
'Yes, we are happy about the punishment of September 11. Yes, we are happy about the punishment in Bali. Yes, we are happy about the punishment of the Holocaust and any other punishment that God sends to us.'
- 'I regret to say I am a terrorist': Wife of Sydney cafe gunman praised the Bali bombings, the Holocaust and 9/11 in online rants - but she's out on bail too
- - Amirah Droudis [d'origine grecque et convertie à l'islam], 35, posted series of videos in 2009
- - In the videos, she described herself as a terrorist and expressed happiness at the 9/11 attack and Bali bombings
- - The videos linked to a website of siege gunman Man Haron Monis
- - Droudis charged with murdering Monis' first wife, and Monis was charged with being an acessory
- - Outrage has spread that both Droudis and Monis were released on bail
- - Police raided their home in Belmore, in south-west Sydney, on Tuesday
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Antisémitisme musulman
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Australie
,
Iran
mardi 16 décembre 2014
Le tueur islamiste et antisémite de Sydney harcelait les Juifs australiens
The man killed by Australian police today after carrying out the siege of a cafe in downtown Sydney was a known anti-Semite who sent abusive letters and messages to members of Australia’s Jewish community.
Man Haron Monis, a 49 year-old self-styled Muslim Sheikh who received political asylum in Australia in 1996, faced multiple indictments in 2011 “of using a postal or similar service to menace, harass or cause offense.”
During Monis’ trial in New South Wales, prosecuting barrister John Agius SC quoted from a letter which the Iranian-born Islamist sent to the family of an Australian Jewish soldier who was killed in Afghanistan.
In the letter, Monis described the soldier as a “dirty animal.”
“Some Jews who blame Hitler for violations of human rights are not much better than him,” the letter continued. “When the body of a murderer of civilians is sent back to Australia, we must not respect the body, such a body does not deserve a respectful ceremony.”
Monis then declared: “A Jewish man who kills innocent Muslims, civilians is not a pig. He’s a thousand times worse. Some people don’t eat the meat of pig but they are dirtier than pig. What’s the point when some people don’t eat pork while their behaviour is worse than dirty animals?”
Man Haron Monis, a 49 year-old self-styled Muslim Sheikh who received political asylum in Australia in 1996, faced multiple indictments in 2011 “of using a postal or similar service to menace, harass or cause offense.”
During Monis’ trial in New South Wales, prosecuting barrister John Agius SC quoted from a letter which the Iranian-born Islamist sent to the family of an Australian Jewish soldier who was killed in Afghanistan.
In the letter, Monis described the soldier as a “dirty animal.”
“Some Jews who blame Hitler for violations of human rights are not much better than him,” the letter continued. “When the body of a murderer of civilians is sent back to Australia, we must not respect the body, such a body does not deserve a respectful ceremony.”
Monis then declared: “A Jewish man who kills innocent Muslims, civilians is not a pig. He’s a thousand times worse. Some people don’t eat the meat of pig but they are dirtier than pig. What’s the point when some people don’t eat pork while their behaviour is worse than dirty animals?”
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dimanche 14 décembre 2014
Pourquoi Ladji, Yacine et Omar haïssent-ils les juifs? À quel genre d’antisémitisme sommes-nous confrontés?
Thibaut d'Arcy @ Boulevard Voltaire: Agression de Créteil : nouvel exploit des journalistes de propagande
Je ne sais pas ce qu’il faut penser des journalistes; je ne sais pas s’il faut les plaindre ou les admirer. À quelle sévère gymnastique ne doivent-ils pas s’astreindre lorsque surgit la déplaisante réalité! À quelle espèce de torture ne sont-ils pas forcés de soumettre les mots pour leur faire dire une autre réalité! C’est un art subtil qui consiste à rapporter tout en dissimulant, à imposer sa vision tout en revendiquant l’«objectivité».
À Créteil, un couple juif est séquestré à son domicile par trois hommes. La femme est violée et l’appartement cambriolé. Qui sont les agresseurs? La question est sensible, d’autant plus que, d’après le témoignage des victimes, le caractère antisémite de l’agression semble avéré. Quand les journalistes, de surcroît, découvrent les prénoms des délinquants, le traitement de l’information devient pour eux un exercice infiniment délicat. Qui n’a pas depuis longtemps compris qu’à l’égard de certains faits, leur silence est le signe infaillible qu’ils en savent trop? Pas de noms? On les devine. Pas de questions? On connaît les réponses. Pas d’investigation? On subodore déjà tout. L’homme de la rue, sur ce point, a eu maintes fois l’occasion de perdre sa naïveté. Il a cassé le code secret. [...]
Pourquoi Ladji, Yacine et Omar haïssent-ils les juifs? À quel genre d’antisémitisme sommes-nous confrontés? Aurait-il un rapport quelconque avec le conflit israélo-palestinien? Avec la religion? Avec l’islam? Bouche cousue. Cerveaux fermés. C’est à peine si le mot «djihad» est murmuré – et encore, pour son exotisme.
En lieu et place de numéros spéciaux, de dossiers et d’encarts sur la question, les rédactions vont nous abreuver d’articles dénonçant l’antisémitisme sous sa forme la plus abstraite et la plus générale. L’Antisémitisme avec un grand A: par chance, il est polymorphe; cela permet de détourner les regards, en cette circonstance encore, sur «l’extrême droite» et sur quelque «humoriste nauséabond». Et sur Zemmour, bien évidemment. À quelle improbité, à quelle fourberie ne serait pas prêt un journaliste pour échapper à l’accusation d’islamophobie?
Je ne sais pas ce qu’il faut penser des journalistes; je ne sais pas s’il faut les plaindre ou les admirer. À quelle sévère gymnastique ne doivent-ils pas s’astreindre lorsque surgit la déplaisante réalité! À quelle espèce de torture ne sont-ils pas forcés de soumettre les mots pour leur faire dire une autre réalité! C’est un art subtil qui consiste à rapporter tout en dissimulant, à imposer sa vision tout en revendiquant l’«objectivité».
À Créteil, un couple juif est séquestré à son domicile par trois hommes. La femme est violée et l’appartement cambriolé. Qui sont les agresseurs? La question est sensible, d’autant plus que, d’après le témoignage des victimes, le caractère antisémite de l’agression semble avéré. Quand les journalistes, de surcroît, découvrent les prénoms des délinquants, le traitement de l’information devient pour eux un exercice infiniment délicat. Qui n’a pas depuis longtemps compris qu’à l’égard de certains faits, leur silence est le signe infaillible qu’ils en savent trop? Pas de noms? On les devine. Pas de questions? On connaît les réponses. Pas d’investigation? On subodore déjà tout. L’homme de la rue, sur ce point, a eu maintes fois l’occasion de perdre sa naïveté. Il a cassé le code secret. [...]
Pourquoi Ladji, Yacine et Omar haïssent-ils les juifs? À quel genre d’antisémitisme sommes-nous confrontés? Aurait-il un rapport quelconque avec le conflit israélo-palestinien? Avec la religion? Avec l’islam? Bouche cousue. Cerveaux fermés. C’est à peine si le mot «djihad» est murmuré – et encore, pour son exotisme.
En lieu et place de numéros spéciaux, de dossiers et d’encarts sur la question, les rédactions vont nous abreuver d’articles dénonçant l’antisémitisme sous sa forme la plus abstraite et la plus générale. L’Antisémitisme avec un grand A: par chance, il est polymorphe; cela permet de détourner les regards, en cette circonstance encore, sur «l’extrême droite» et sur quelque «humoriste nauséabond». Et sur Zemmour, bien évidemment. À quelle improbité, à quelle fourberie ne serait pas prêt un journaliste pour échapper à l’accusation d’islamophobie?
jeudi 11 décembre 2014
Expo dans une université espagnole prétend qu'Ariel Sharon voulait brûler les enfants palestiniens
Ces propos furent attribués faussement à Ariel Sharon. Les posters étaient frappés du logo de l'ONG Sodepaz financée par le gouvernement: “Pour moi les principes internationaux n'existent pas" et "Je m'engage à brûler tout enfant qui naîtra sur cette terre. La femme et l'enfant palestiniens sont plus dangereux que l'homme. Car l'existence d'un enfant palestinien assure la pérennité des générations futures tandis que les torts provoqués par les hommes sont limités.”
JTA (via Times of Israel)
Following complaints from Spain’s Jewish community, a public university in Madrid dismantled an exhibition that attributed false quotes about killing Palestinian children to Ariel Sharon.
The exhibition in the economics department of the Autonomous University of Madrid was dismantled last week after the Federation of Jewish Communities in Spain, or FCJE, complained to the university’s administration that it was “incompatible with academic principles,” an FCJE spokesperson told JTA Wednesday.
The exhibition featured a number of posters, including one with an undated quote attributed to the late Israeli prime minister Ariel Sharon. “I don’t recognize such a thing called international principles,” the poster quoted Sharon as saying. “I swear I will burn every Palestinian child who could be born in this area. The Palestinian woman and child are much more dangerous than the man. Because the existence of a Palestinian child ensures future generations while the man causes more limited damage.”
“This exposition of falsehoods under a pedagogic pretense is incompatible with academic values,” a spokesperson for FCJE told JTA. “The fact that this is being held with taxpayers’ money is particularly disturbing.”
The posters carried the logo of the nongovernmental organization Solidarity for Development and Peace, or Sodepaz [1], which has in recent years received frequent funding that comes from the Spanish foreign ministry. Another poster at the exhibition showed a map of Israel emblazoned with the words: “Israel = aggression” and a swastika connecting four red arrows pointing from Israel’s territory outward, ostensibly to suggest expansionism. The university did not immediately reply to questions about faculty and administration’s involvement in the exposition.
[1] In this article Sodepaz condemns Israel for carriying out a genocide against Palestinians referring to Euro MPs Javier Couso and Ángela Vallina.
JTA (via Times of Israel)
Following complaints from Spain’s Jewish community, a public university in Madrid dismantled an exhibition that attributed false quotes about killing Palestinian children to Ariel Sharon.
The exhibition in the economics department of the Autonomous University of Madrid was dismantled last week after the Federation of Jewish Communities in Spain, or FCJE, complained to the university’s administration that it was “incompatible with academic principles,” an FCJE spokesperson told JTA Wednesday.
The exhibition featured a number of posters, including one with an undated quote attributed to the late Israeli prime minister Ariel Sharon. “I don’t recognize such a thing called international principles,” the poster quoted Sharon as saying. “I swear I will burn every Palestinian child who could be born in this area. The Palestinian woman and child are much more dangerous than the man. Because the existence of a Palestinian child ensures future generations while the man causes more limited damage.”
“This exposition of falsehoods under a pedagogic pretense is incompatible with academic values,” a spokesperson for FCJE told JTA. “The fact that this is being held with taxpayers’ money is particularly disturbing.”
The posters carried the logo of the nongovernmental organization Solidarity for Development and Peace, or Sodepaz [1], which has in recent years received frequent funding that comes from the Spanish foreign ministry. Another poster at the exhibition showed a map of Israel emblazoned with the words: “Israel = aggression” and a swastika connecting four red arrows pointing from Israel’s territory outward, ostensibly to suggest expansionism. The university did not immediately reply to questions about faculty and administration’s involvement in the exposition.
[1] In this article Sodepaz condemns Israel for carriying out a genocide against Palestinians referring to Euro MPs Javier Couso and Ángela Vallina.
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Espagne
Le faux parallèle entre Gaza et l'Irlande du Nord (Eamonn MacDonagh)
Dans un essai brillant, Eamonn MacDonagh @ The Tower démontre l'ineptie du parallèle entre la situation à Gaza et celle qu'a conue l'Irlande du Nord. Selon lui, les tentatives tendant à comparer les "Troubles" et le conflit israélo-arabe ne sert qu'à trouver des excuses au terrorisme et obscurcir les vrais enjeux. Extraits:
[...] In order to grasp just how far this is from the Middle East conflict, readers should imagine a future in which terrorist masterminds Mohammed Deif (if he is still alive) and Khaled Mashaal are prominent political leaders of a Judea and Samaria Autonomous Region of Israel.
They stand politely when “Hatikvah” is played, condemn political violence in all its forms, speak the language of human rights and equality, and claim that their new role is simply a continuation of the struggle for Palestinian national rights by other means. Even more amazingly, the bulk of their followers believe and vote for them. Just how ridiculous this scenario sounds illustrates the chasm separating Hamas from the Provisional IRA in terms of political culture, methods, and aims.
The Provisional IRA was like Hamas in that it was indeed a terrorist organization that deliberately set about killing civilians and attacking soldiers and other security forces. There, however, the similarities end.
Unlike Islamic radicalism, Irish nationalism has always been somewhat ideologically underdeveloped. Nonetheless, a few things can be said with certainty about the worldview of the Provisional IRA. Most importantly, perhaps, the Provos did not see the conflict as a zero-sum game. They did not advocate the genocide or ethnic cleansing of the Protestant majority, did not claim that London was the true capital of Ireland, and were not motivated by an ideology of racial or religious supremacism. Their slogan “Brits Out!” referred to the British state alone, not the Protestant community loyal to it.
On a larger scale, the Provisional IRA did not see itself as just one part of a grand holy war against the presence of a Protestant community in Northern Ireland. Unlike Hamas, the Provos never had the benefit of an Iran or a Qatar to provide it with consistent material and moral support. They did not enjoy the solidarity of a global movement of fundamentalist Catholics willing to use terrorism and mass murder to achieve their religious aims. Nor did they have a growing chorus of sympathizers in the Western liberal democracies. At best, they had to rely on the occasional gift of arms from the crazed Libyan tyrant Muammar Qaddafi and what money deluded immigrants in the bars of Boston and New York could be persuaded to part with. [...]
The Islamic radicalism that motivates Hamas, in contrast, is completely incapable of including non-Muslims. While the Provisionals sought inspiration from Wolfe Tone and others who tried to build an Irish national identity that would transcend religious divisions, the ideology of Hamas is based on racial hatred and the supremacy of one religion over all others. Those with doubts on this point would be well advised to read the organization’s founding Covenant. Hamas is a lot of things, but they are not hypocrites.
Finally, the Provisional IRA never embraced a cult of death or a self-sustaining and self-justifying culture of “resistance.” While many Provos ended up dying for their cause, their objective was always to make others die for theirs. It is as impossible to imagine a member of the IRA committing a suicide bombing as it is to imagine an IRA leader ordering him to do so. The seven members of the Provisional IRA who died on hunger strike in prison in 1981 do not constitute an exception to this; they were engaged in a battle of wills with the British government over the conditions of their confinement and would have happily stopped starving themselves at any time had the British administration ceded to their demands.[...]
Via: Simply Jews
[...] In order to grasp just how far this is from the Middle East conflict, readers should imagine a future in which terrorist masterminds Mohammed Deif (if he is still alive) and Khaled Mashaal are prominent political leaders of a Judea and Samaria Autonomous Region of Israel.
They stand politely when “Hatikvah” is played, condemn political violence in all its forms, speak the language of human rights and equality, and claim that their new role is simply a continuation of the struggle for Palestinian national rights by other means. Even more amazingly, the bulk of their followers believe and vote for them. Just how ridiculous this scenario sounds illustrates the chasm separating Hamas from the Provisional IRA in terms of political culture, methods, and aims.
The Provisional IRA was like Hamas in that it was indeed a terrorist organization that deliberately set about killing civilians and attacking soldiers and other security forces. There, however, the similarities end.
Unlike Islamic radicalism, Irish nationalism has always been somewhat ideologically underdeveloped. Nonetheless, a few things can be said with certainty about the worldview of the Provisional IRA. Most importantly, perhaps, the Provos did not see the conflict as a zero-sum game. They did not advocate the genocide or ethnic cleansing of the Protestant majority, did not claim that London was the true capital of Ireland, and were not motivated by an ideology of racial or religious supremacism. Their slogan “Brits Out!” referred to the British state alone, not the Protestant community loyal to it.
On a larger scale, the Provisional IRA did not see itself as just one part of a grand holy war against the presence of a Protestant community in Northern Ireland. Unlike Hamas, the Provos never had the benefit of an Iran or a Qatar to provide it with consistent material and moral support. They did not enjoy the solidarity of a global movement of fundamentalist Catholics willing to use terrorism and mass murder to achieve their religious aims. Nor did they have a growing chorus of sympathizers in the Western liberal democracies. At best, they had to rely on the occasional gift of arms from the crazed Libyan tyrant Muammar Qaddafi and what money deluded immigrants in the bars of Boston and New York could be persuaded to part with. [...]
The Islamic radicalism that motivates Hamas, in contrast, is completely incapable of including non-Muslims. While the Provisionals sought inspiration from Wolfe Tone and others who tried to build an Irish national identity that would transcend religious divisions, the ideology of Hamas is based on racial hatred and the supremacy of one religion over all others. Those with doubts on this point would be well advised to read the organization’s founding Covenant. Hamas is a lot of things, but they are not hypocrites.
Finally, the Provisional IRA never embraced a cult of death or a self-sustaining and self-justifying culture of “resistance.” While many Provos ended up dying for their cause, their objective was always to make others die for theirs. It is as impossible to imagine a member of the IRA committing a suicide bombing as it is to imagine an IRA leader ordering him to do so. The seven members of the Provisional IRA who died on hunger strike in prison in 1981 do not constitute an exception to this; they were engaged in a battle of wills with the British government over the conditions of their confinement and would have happily stopped starving themselves at any time had the British administration ceded to their demands.[...]
Via: Simply Jews
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mardi 9 décembre 2014
Antisémitisme: Internet et le FN ont bon dos... mais ça ne marche plus
En effet c'est facile d'accuser Internet. Alors qu'en Europe on tait soigneusement les effrayants appels à la haine lancés dans le monde arabe, comme ceux du prédicateur palestinien Omar Abu Sara à la mosquée al-Aqsa, à tuer ces ordures de Juifs, qu'Allah a transformés en porcs et singes. La mosquée est considérée comme le haut lieu de l'islam et est bien entendu comme modérée.
Ivan Rioufol: Internet, cible injustifiée du gouvernement
Internet doit rester ce grand forum de la libre expression. Pour le meilleur comme pour le pire. La Toile offre en effet un reflet, plus ou moins exact, de ce qu’est la société. Vouloir briser ce miroir au prétexte que l’image ainsi "monstrée" (montrée, en vieux français) peut être révoltante ou choquante reviendrait à casser un thermomètre pour ne plus mesurer une fièvre. Or c’est ce choix que soutient le gouvernement, au prétexte de lutter contre l’affolante montée de l’antisémitisme. C’est ce qu’a expliqué dimanche le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve. [...] Reste que le gouvernement s’aveugle sur les causes de la nouvelle haine anti-juive.
La Toile a bon dos. Tout comme le Front national, d’ailleurs, qui n’est pas mêlé en l’occurrence aux violences judéophobes qui s’observent dans les cités depuis les années 2000 et qui accélèrent le départ des Français juifs vers Israël. En réalité, s’observe une réticence des autorités publiques à désigner la source arabo-musulmane de cette intolérance, aggravée par le conflit israélo-palestinien.
Quand Cazeneuve avoue, cet été, qu’il aurait manifesté avec les pro-palestiniens s’il n’avait été ministre, il laisse voir un refus de s’interroger plus avant sur l’idéologie violemment anti-juive du Hamas, qui applique une lecture littérale du Coran valorisant le djihad. Les assauts contre des synagogues françaises en étaient une illustration. Ce fond culturel est au cœur des préjugés anti-juifs de beaucoup de musulmans. Il permet au plus exaltés de passer parfois à l’acte. Ne pas oublier non plus que les barbares qui égorgent les mécréants au Moyen-Orient reproduisent le comportement de Mahomet eut lui-même, avec l’appui de fidèles, contre 600 à 900 des membres de la tribu juive de Banu Qurayza. Plutôt que de chercher à censurer Internet, qui permet de repérer les endoctrinements, le gouvernement ferait mieux d’appliquer son intransigeance contre les prêcheurs de haine qui le défient. "On manque d’indignation", a estimé Manuel Valls, hier soir sur France 2. Ce qui est indigne est de ne pas oser regarder en face les nouveaux antisémites.
Internet doit rester ce grand forum de la libre expression. Pour le meilleur comme pour le pire. La Toile offre en effet un reflet, plus ou moins exact, de ce qu’est la société. Vouloir briser ce miroir au prétexte que l’image ainsi "monstrée" (montrée, en vieux français) peut être révoltante ou choquante reviendrait à casser un thermomètre pour ne plus mesurer une fièvre. Or c’est ce choix que soutient le gouvernement, au prétexte de lutter contre l’affolante montée de l’antisémitisme. C’est ce qu’a expliqué dimanche le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve. [...] Reste que le gouvernement s’aveugle sur les causes de la nouvelle haine anti-juive.
La Toile a bon dos. Tout comme le Front national, d’ailleurs, qui n’est pas mêlé en l’occurrence aux violences judéophobes qui s’observent dans les cités depuis les années 2000 et qui accélèrent le départ des Français juifs vers Israël. En réalité, s’observe une réticence des autorités publiques à désigner la source arabo-musulmane de cette intolérance, aggravée par le conflit israélo-palestinien.
Quand Cazeneuve avoue, cet été, qu’il aurait manifesté avec les pro-palestiniens s’il n’avait été ministre, il laisse voir un refus de s’interroger plus avant sur l’idéologie violemment anti-juive du Hamas, qui applique une lecture littérale du Coran valorisant le djihad. Les assauts contre des synagogues françaises en étaient une illustration. Ce fond culturel est au cœur des préjugés anti-juifs de beaucoup de musulmans. Il permet au plus exaltés de passer parfois à l’acte. Ne pas oublier non plus que les barbares qui égorgent les mécréants au Moyen-Orient reproduisent le comportement de Mahomet eut lui-même, avec l’appui de fidèles, contre 600 à 900 des membres de la tribu juive de Banu Qurayza. Plutôt que de chercher à censurer Internet, qui permet de repérer les endoctrinements, le gouvernement ferait mieux d’appliquer son intransigeance contre les prêcheurs de haine qui le défient. "On manque d’indignation", a estimé Manuel Valls, hier soir sur France 2. Ce qui est indigne est de ne pas oser regarder en face les nouveaux antisémites.
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lundi 8 décembre 2014
Retour de bâton: 2 mois après la reconnaissance d’un Etat palestinien, le gouvernement suédois saute!
JSS News: Le premier ministre de la Suède a déclaré mercredi qu’il fera appel à de nouvelles élections le 22 mars. Il va donc dissoudre le parlement deux mois après avoir reconnu un Etat palestinien. Cette annonce a été faite après le rejet du budget.
Le social-démocrate Stefan Löfven, qui a pris ses fonctions il y a un peu plus de deux mois, a vu son premier budget rejeté par 182 législateurs contre 153. Ce seront les premières élections anticipées du pays depuis 1953!
En octobre, le gouvernement de Löfven a officiellement reconnu l’Etat palestinien. La Suède a été le premier grand pays de l’UE à émettre une telle reconnaissance.
Cet échec du gouvernement est perçu comme un signe par certain qui disent que "ceux qui s’en prennent à Israël se prennent toujours un retour du bâton".
Et comme une bonne nouvelles ne vient jamais seule. Ca saute aussi à Malmö (The Local):
Shooting rocks southern Sweden's Malmö
A man was rushed to hospital on Thursday after being shot at after thieves tried to rob a currency exchange, in the latest of a string of shootings to take place in the southern city of Malmö. [...] Malmö has been rocked by a spike of high profile crimes in recent months. On Monday a justice centre was bombed for the second time this year and there have been several car bomb attacks.
Swedish courts hit with multiple bomb threats
Ambiance aussi à Jönköping: Swedish court evacuated after new bomb threat
Le social-démocrate Stefan Löfven, qui a pris ses fonctions il y a un peu plus de deux mois, a vu son premier budget rejeté par 182 législateurs contre 153. Ce seront les premières élections anticipées du pays depuis 1953!
En octobre, le gouvernement de Löfven a officiellement reconnu l’Etat palestinien. La Suède a été le premier grand pays de l’UE à émettre une telle reconnaissance.
Cet échec du gouvernement est perçu comme un signe par certain qui disent que "ceux qui s’en prennent à Israël se prennent toujours un retour du bâton".
Et comme une bonne nouvelles ne vient jamais seule. Ca saute aussi à Malmö (The Local):
Shooting rocks southern Sweden's Malmö
A man was rushed to hospital on Thursday after being shot at after thieves tried to rob a currency exchange, in the latest of a string of shootings to take place in the southern city of Malmö. [...] Malmö has been rocked by a spike of high profile crimes in recent months. On Monday a justice centre was bombed for the second time this year and there have been several car bomb attacks.
Swedish courts hit with multiple bomb threats
Ambiance aussi à Jönköping: Swedish court evacuated after new bomb threat
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dimanche 7 décembre 2014
Les étudiants israéliens évitent massivement les universités françaises
Parmi les 300.000 étudiants étrangers qui fréquentent les universités françaises, on compte à peine 150-200 étudiants israéliens. Par ailleurs, environ 15.000 jeunes israéliens étudient ou sont chercheurs à l'étranger et à peine 1% choisit d'aller étudier en France. Jacques Baudier, attaché scientifique auprès de l'ambassade de France en Israël, voudrait attirer davantage d'Israéliens dans les universités françaises et a organisé une journée d'information pour encourager de candidats potentiels.
Il a confié au Jerusalem Post qu'il y a un réel manque d'attractivité pour la France chez les étudiants israéliens. L'ambassade s'est penchée sur le phénomène et est arrivé à la conclusion - vraiment étonnante - que ce désintérêt s'explique tout simplement par un déficit d'information.
Malheureusement, a-t-il confié au JPost, il y a environ 15.000 Israéliens qui étudient ou mènent des recherches à l'étranger et seulement 150-200 choisissent la France, et parmi, ceux-ci, la majorité a des racines françaises. Or, a-t-il précisé, "Il y a un grand intérêt en France à attirer les meilleurs étudiants israéliens en raison de leur enthousiasme pour l'étude, leurs connaissances et leur talent".
A la question de savoir si ce manque d'intérêt ne proviendrait au fait que l'antisémitisme ne cesse de croître en France, M. Baudier a répondu qu'il ne pense pas que cela est pris en considération dans le choix des Israéliens de ne pas étudier en France. "Il y a de l'antisémitisme chez nous, mais ça n'explique pas le peu d'intérêt pour la France. La France est le seul pays en Europe qui interdit le discours antisémite. Malheureusement, beaucoup de pays européens connaissent une vague d'antisémitisme. Les incidents antisémites sont beaucoup plus élevés au Royaume-Uni et en Allemagne, et malgré cela les étudiants israéliens choisissent d'étudier dans ces pays".
Cette analyse reflète un manque de connaissance affligeant de la réalité de l'antisémitisme en France. Il n'y a qu'en France qu'un Dieudonné et un Soral, pour ne mentionner qu'eux, deviennent des icônes grâce à leurs discours antisémites. Que des gens comme Merah, Nemouche, Amastaibou, Fofana et son gang tuent des Juifs. Que toute récemment une petite fille s'est fait insulter et agresser dans son école. Qu'une jeune femme s'est fait violer, séquestrer et braquer avec son compagnon parce que juifs. Que beaucoup de Juifs quittent la France. Faut-il rappeler l'affaire al-Durah et le déchaînement de haine et de terreur anti-juive qu'elle a provoquée, "made in France" également? Et les campagnes BDS? On pourrait poursuivre sur des pages et des pages. Visiblement, les étudiants israéliens s'informent et connaissent le climat anti-israélien, voire anti-juif, qui règne dans les universités françaises et dont on parle si peu. Pour eux c'est non. Non. Plus jamais ça.
L'article du Jerusalem Post:
The French embassy is looking to attract more Israeli students to study abroad in France, scientific attaché Jacques Baudier recently told The Jerusalem Post.
The embassy held an information day on Friday to inform and encourage potential students about the numerous study and research opportunities in France.
“There is a real lack of attractiveness for France among Israeli students, and we wondered why this is and realized it was simply a lack of information,” said Baudier.
Il a confié au Jerusalem Post qu'il y a un réel manque d'attractivité pour la France chez les étudiants israéliens. L'ambassade s'est penchée sur le phénomène et est arrivé à la conclusion - vraiment étonnante - que ce désintérêt s'explique tout simplement par un déficit d'information.
Malheureusement, a-t-il confié au JPost, il y a environ 15.000 Israéliens qui étudient ou mènent des recherches à l'étranger et seulement 150-200 choisissent la France, et parmi, ceux-ci, la majorité a des racines françaises. Or, a-t-il précisé, "Il y a un grand intérêt en France à attirer les meilleurs étudiants israéliens en raison de leur enthousiasme pour l'étude, leurs connaissances et leur talent".
A la question de savoir si ce manque d'intérêt ne proviendrait au fait que l'antisémitisme ne cesse de croître en France, M. Baudier a répondu qu'il ne pense pas que cela est pris en considération dans le choix des Israéliens de ne pas étudier en France. "Il y a de l'antisémitisme chez nous, mais ça n'explique pas le peu d'intérêt pour la France. La France est le seul pays en Europe qui interdit le discours antisémite. Malheureusement, beaucoup de pays européens connaissent une vague d'antisémitisme. Les incidents antisémites sont beaucoup plus élevés au Royaume-Uni et en Allemagne, et malgré cela les étudiants israéliens choisissent d'étudier dans ces pays".
Cette analyse reflète un manque de connaissance affligeant de la réalité de l'antisémitisme en France. Il n'y a qu'en France qu'un Dieudonné et un Soral, pour ne mentionner qu'eux, deviennent des icônes grâce à leurs discours antisémites. Que des gens comme Merah, Nemouche, Amastaibou, Fofana et son gang tuent des Juifs. Que toute récemment une petite fille s'est fait insulter et agresser dans son école. Qu'une jeune femme s'est fait violer, séquestrer et braquer avec son compagnon parce que juifs. Que beaucoup de Juifs quittent la France. Faut-il rappeler l'affaire al-Durah et le déchaînement de haine et de terreur anti-juive qu'elle a provoquée, "made in France" également? Et les campagnes BDS? On pourrait poursuivre sur des pages et des pages. Visiblement, les étudiants israéliens s'informent et connaissent le climat anti-israélien, voire anti-juif, qui règne dans les universités françaises et dont on parle si peu. Pour eux c'est non. Non. Plus jamais ça.
L'article du Jerusalem Post:
The French embassy is looking to attract more Israeli students to study abroad in France, scientific attaché Jacques Baudier recently told The Jerusalem Post.
The embassy held an information day on Friday to inform and encourage potential students about the numerous study and research opportunities in France.
“There is a real lack of attractiveness for France among Israeli students, and we wondered why this is and realized it was simply a lack of information,” said Baudier.
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France
jeudi 4 décembre 2014
La plupart des intellectuels juifs new yorkais sont anti-Israël, selon Kenneth Lonergan
Michael Cera et Tavi Gevinson dans une scène de This Is Our Youth |
Kenneth Lonergan Is the Greatest Jewish Playwright You Didn’t Know Was Jewish @ The Tablet:
Lonergan told me that he was brought up with a very keen awareness of the Holocaust and with plenty of exposure to anti-Israel sentiments.
“I remember hearing the same comments over Thanksgiving, endlessly. Broadly speaking, most New York Jewish intellectuals tend to be anti-Israel, and I disagree with a lot of my friends on this,” he said. “Someone asked me recently if I was pro-Israel. I said, ‘Well I’m not pro-Hamas!’ The standard comment is, yes we know they’re terrible, the Islamic extremists and anti-Israel factions in the Middle East, but - and then they go on about how horrible Israel is.”
He said he felt that this common posture was a sort of liberal racism, “where you have an overly benevolent and understanding position toward non-white cultures that behave just as appallingly as white cultures that you are very quick to jump on and condemn. That’s a very common feature of the atmosphere I grew up in. It accounts for quite a lot of the strange bias that you hear in left-wing circles and it fits the pattern just as well as the clearly racist xenophobia that you hear in right wing circles.”
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Alterjuifs
mercredi 3 décembre 2014
Merci pour ce moment à Me Gilbert Collard, un non-juif ami d'Israël
Michel Garroté réd chef @ DREUZ — [...] je dis merci au député Collard. Je suis un non-juif ami d’Israël. Collard se révèle être un autre non-juif ami d’Israël. Je ne choisis pas les amis d’Israël à la place des Israéliens. Et ils décideront eux-mêmes si Me Collard est – ou n’est pas – leur ami. Je pense que certains amis présumés d’Israël ne le sont pas et qu’Israël s’en passerait volontiers.
Oui, je dis merci à Me Collard. Je sais déjà que le clan «antisioniste» jeanmarienesco-gollnischoïde du Front National va accuser Me Collard d’être un «agent du Mossad» et un «agent du Likoud». Ne serait-ce que pour cela, je lui dis publiquement merci. En France, en 2014, défendre Israël est un acte de courage moral et physique. C’est un acte qui peut vous coûter cher au plan politique et médiatique. Encore une fois: merci pour ce moment Me Collard.
Me Gilbert Collard, député du Rassemblement Bleu Marine à l’Assemblée nationale française, lors du débat du vendredi 28 novembre 2014 sur une résolution favorable à une reconnaissance de la «Palestine» par la France, a notamment déclaré (extraits; voir lien vers vidéo et lien vers source écrite): «Vous embrassez le Hamas, vous embrassez le terrorisme, vous embrassez la haine, vous embrassez la mort. (…) Israël n’est pas un État raciste, il n’y a pas d’apartheid en Israël ! Mettez-vous cela dans la tête!».
http://www.dailymotion.com/video/x2b9sbf_israel-n-est-pas-un-etat-raciste-mettez-vous-cela-dans-la-tete-gilbert-collard_news?start=1
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Amis d'Israël et des Juifs
,
France
mardi 2 décembre 2014
Claude Lévi-Strauss: "combien la France est en train de devenir musulmane" ('Tristes Tropiques')
A assister au comble de ferveur, excitation, bonheur, joie qu'envahit chez élites françaises l'idée de la reconnaissance de la Palestine au Parlement, on pense à ces propos du grand anthropologue et ethnologue Claude Lévi-Strauss:
"ll m’a fallu rencontrer l’Islam pour mesurer le péril qui menace aujourd’hui la pensée française. Je pardonne mal au premier de me présenter notre image, de m’obliger à constater combien la France est en train de devenir musulmane.
Chez les Musulmans comme chez nous, j’observe la même attitude livresque, le même esprit utopique, et cette conviction obstinée qu’il suffit de trancher les problèmes sur le papier pour en être débarrassé aussitôt. A l’abri d’un rationalisme juridique et formaliste, nous nous construisons pareillement une image du monde et de la société où toutes les difficultés sont justiciables d’une logique artificieuse, et nous ne nous rendons pas compte que l’univers ne se compose plus des objets dont nous parlons".
"ll m’a fallu rencontrer l’Islam pour mesurer le péril qui menace aujourd’hui la pensée française. Je pardonne mal au premier de me présenter notre image, de m’obliger à constater combien la France est en train de devenir musulmane.
Chez les Musulmans comme chez nous, j’observe la même attitude livresque, le même esprit utopique, et cette conviction obstinée qu’il suffit de trancher les problèmes sur le papier pour en être débarrassé aussitôt. A l’abri d’un rationalisme juridique et formaliste, nous nous construisons pareillement une image du monde et de la société où toutes les difficultés sont justiciables d’une logique artificieuse, et nous ne nous rendons pas compte que l’univers ne se compose plus des objets dont nous parlons".
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lundi 1 décembre 2014
Pays-Bas: les jeunes juifs se sentent menacés et veulent partir
Comme partout en Europe...
Le journal Reformatorisch Dagblad rapporte que les jeunes juifs hollandais se sentent très menacés et que beaucoup envisagent de quitter le pays (Jonge joden voelen zich bedreigd en willen weg). Le discours de haine dans les médias sociaux atteint des proportions intolérables.
L'alerte a été donnée à l'occasion de la visite, notamment à une école, d'une délégation britannique qui se penche sur l'antisémitisme. "Nous avons été surpris par nombre d'élèves qui nous ont dit qu'ils voulaient quitter les Pays-Bas et s'installer en Israël", a déclaré John Mann, député travailliste. La délégation britannique ne comprend pas que le gouvernement néerlandais garde le silence sur cette question.
Via: The New Antisemite
Et sur un autre registre. Selon un sondage, la majorité des Néerlandais estime que l'intégration a échoué. A peine 14% considèrent que l'intégration a été un succès. BNFN.
Le journal Reformatorisch Dagblad rapporte que les jeunes juifs hollandais se sentent très menacés et que beaucoup envisagent de quitter le pays (Jonge joden voelen zich bedreigd en willen weg). Le discours de haine dans les médias sociaux atteint des proportions intolérables.
L'alerte a été donnée à l'occasion de la visite, notamment à une école, d'une délégation britannique qui se penche sur l'antisémitisme. "Nous avons été surpris par nombre d'élèves qui nous ont dit qu'ils voulaient quitter les Pays-Bas et s'installer en Israël", a déclaré John Mann, député travailliste. La délégation britannique ne comprend pas que le gouvernement néerlandais garde le silence sur cette question.
Via: The New Antisemite
Et sur un autre registre. Selon un sondage, la majorité des Néerlandais estime que l'intégration a échoué. A peine 14% considèrent que l'intégration a été un succès. BNFN.
dimanche 30 novembre 2014
Le Vicaire Andrew White qui a défendu les 6 Juifs restant à Bagdad est maintenant à Jérusalem
"I am British and very pro-Israel, whichwould place me at incredibly high risk" |
Michael Leeden @ Pajamas Media:
"I’ve been shot at and bombed and they’ve tried to blow me up. People say, “Aren’t you afraid where you are?” Never, not one day; I love it. I feel really sad that I’m not there now."
General Mattis? General Suleimani? James Bond? No, it’s a man of the cloth, Canon Andrew White, an Anglican who tended to Christians (and Jews, too, it turns out) in Baghdad in good times and bad, who tirelessly negotiated for the release of hostages, worked for inter-religious harmony throughout Iraq, traveled constantly to “the West” in a quest for moral, financial, diplomatic and military support for the dwindling Christian population of his adopted country, and just recently was recalled to his native England, where he is clearly frustrated beyond words. At least the words he has been educated to use in public. [...]
Is it the end of Christianity in the Middle East? Could be, he says, at least so far as Iraq is involved:
"What is a Christian life there now? The Bishop of Mosul said recently that for the first time in 2,000 years there was no church in Nineveh [an ancient city that is now part of Mosul]. That’s the reality."
It is indeed the reality, and not just in Iraq. And “the West” is silent, as it has been so often when it faces evil far from its own boundaries. Meanwhile, Andrew has moved on, to the one country in the Middle East that provides its citizens with religious freedom and the security to practice their faith. He’s in Jerusalem, trying to achieve reconciliation between Muslim and Jewish religious leaders. It’s not an altogether new venture for him; in his last days in Baghdad, he was the “rabbi” for the city’s remaining six Iraqi Jews. And back at that conference in Copenhagen, the guest of honor at the closing banquet was the former chief rabbi of Denmark.
Guess what? During the week, all the Iraqi religious leaders arranged for private meetings with said rabbi. Why? They’d looked at the map, and they knew that if things were going to be ok for them, they’d need help from the Jews in Israel. Andrew knew it too. He still knows it. That’s no doubt why he’s working in Jerusalem.
At this time of year we give thanks for all kinds of good things and great people. Andrew’s earned a high place on our lists.
Lire également
The ‘Vicar of Baghdad’ comes to Jerusalem. David Horovitz: "The Vicar of Baghdad loves the Jews and Israel. He studied in an ultra-Orthodox yeshiva in Jerusalem and at the Hebrew University. He and his wife Caroline named their two sons Yossi (Josiah) and Jacob. Now in his late 40s, he did his doctorate at Cambridge on the role of Israel in Christian theology. He also served for a time as the Kashrut officer at Cambridge’s Jewish Society, “though I was too frum for them.” The Vicar of Baghdad is Reverend Canon Andrew White, and he is one of the most remarkable people you could ever wish to meet."
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Chrétiens et Juifs ensemble
,
U.K.
Beaucoup d'Arabes regrettent l'expulsion des Juifs et maintenant les Chrétiens partent...
Visiblement l'Europe n'a pas appris les leçons de la Shoah et de la persécution des Juifs européens... "My Arab colleague was brave enough to admit this simple truth that the world has learned over and over again, and yet seems to never internalize: It starts with the Jews. It never ends with the Jews."
Irish Examiner:
The promotion of pluralism and tolerance is the primary challenge for Europe and the Middle East. In its absence thank goodness for the Jewish state, argues Dr. Einat Wilf.
JUST the other day, my Christian Lebanese colleague, whom I haven’t seen in two years, sat down across from me at the lobby of a Washington DC hotel and said, “We miss you”. As much as we are friends, he didn’t mean "me" personally. He elaborated, “We, the Arabs of the Middle East, miss you – the Jews.” I smiled at the irony.
He went on to explain that while it has been more than sixty years since nearly a million Jews of the Arab Middle East have been expelled and forced out of their home countries, it is now becoming evident that this merely foreshadowed things to come.
He recounted his horror by the rising tide of Islamic brutality, genocide, and ethnic cleansing of Christian communities that is taking place everywhere the Islamic State is gaining ground. Just like the Jewish communities, those Christian communities – gone overnight - have been there before the birth of Islam and the Arab conquest of the region.
He said that he is terrified to think of an Arab Middle East without minorities. He expressed fear that the intolerance demonstrated towards the Jews decades ago is now being turned towards almost all other minorities from Christian to Allewaites to Shiites to the Sunni Muslims who fail to uphold the demented standards for Muslim piety set by the Islamic State.
My Arab colleague was brave enough to admit this simple truth that the world has learned over and over again, and yet seems to never internalize: It starts with the Jews. It never ends with the Jews. [...]
Tragically, Europe worked out its identity as a continent, its ideologies and its loyalties, on the back and ultimately, on the ashes, of the Jews, nearly destroying the entire European civilization in the process.
When Europe is experiencing yet again rising tides of hatred and intolerance towards Jews – whatever else it might call it and however it might seek to mask it. It is time for Europe to ask what is wrong with Europe and not what is wrong with the Jews. Europe’s vision of itself is challenged from within and without, and this time around, it seems that many Jews don’t plan to stick around to find out how Europe will resolve the European Question "this time around”.
The Arab world is no different with respect to the “Jewish Question”. It is not about the Jews, and not even about Israel and Zionism, it is about the question of Arab and Muslim identity. And, like Europe before it and, sadly perhaps still today, it is working out its identity, ideologies, and loyalties - initially on the back of the Jews and now on the back of other minorities.
Irish Examiner:
The promotion of pluralism and tolerance is the primary challenge for Europe and the Middle East. In its absence thank goodness for the Jewish state, argues Dr. Einat Wilf.
Iraqi-Jewish refugee arrives in Israel, 1951. |
He went on to explain that while it has been more than sixty years since nearly a million Jews of the Arab Middle East have been expelled and forced out of their home countries, it is now becoming evident that this merely foreshadowed things to come.
He recounted his horror by the rising tide of Islamic brutality, genocide, and ethnic cleansing of Christian communities that is taking place everywhere the Islamic State is gaining ground. Just like the Jewish communities, those Christian communities – gone overnight - have been there before the birth of Islam and the Arab conquest of the region.
He said that he is terrified to think of an Arab Middle East without minorities. He expressed fear that the intolerance demonstrated towards the Jews decades ago is now being turned towards almost all other minorities from Christian to Allewaites to Shiites to the Sunni Muslims who fail to uphold the demented standards for Muslim piety set by the Islamic State.
My Arab colleague was brave enough to admit this simple truth that the world has learned over and over again, and yet seems to never internalize: It starts with the Jews. It never ends with the Jews. [...]
Tragically, Europe worked out its identity as a continent, its ideologies and its loyalties, on the back and ultimately, on the ashes, of the Jews, nearly destroying the entire European civilization in the process.
When Europe is experiencing yet again rising tides of hatred and intolerance towards Jews – whatever else it might call it and however it might seek to mask it. It is time for Europe to ask what is wrong with Europe and not what is wrong with the Jews. Europe’s vision of itself is challenged from within and without, and this time around, it seems that many Jews don’t plan to stick around to find out how Europe will resolve the European Question "this time around”.
The Arab world is no different with respect to the “Jewish Question”. It is not about the Jews, and not even about Israel and Zionism, it is about the question of Arab and Muslim identity. And, like Europe before it and, sadly perhaps still today, it is working out its identity, ideologies, and loyalties - initially on the back of the Jews and now on the back of other minorities.
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samedi 29 novembre 2014
Des Juifs français affluent vers Montréal pour bâtir une nouvelle vie
French Jews Flock to Montreal To Build a New Life @ JTA/Jewish Forward via anti-semitism.net
C'est une tendance et elle n'est pas près de s'inverser...
When Dan Charbit and his wife, Gaelle Hazan, moved to Montreal from Paris two summers ago, it was meant to be a temporary fix — a year-long attempt for Charbit to reboot his stalled career as a special-effects artist in Quebec’s thriving film and television industry. They agreed to fly home if the experiment failed.
Fourteen months after arriving in Canada, the couple has no desire to return to France. The 43-year-old Charbit, who won an Emmy earlier this year for work on the fourth season of the hit HBO show “Game of Thrones,” started a new job last month as a supervisor at Mokko, a Montreal-based special-effects studio serving the film and television industries. Hazan, 39, has found employment as a construction project manager.
Charbit and Hazan are part of a new wave of French Jews who have resettled in French-speaking Quebec, fleeing France’s dismal unemployment rate, which hit 10.5 percent in September, as well as the shock of anti-Semitism that has reverberated throughout the country in recent months and crested over the summer during waves of anti-Israel demonstrations.
France’s Jewish Community Protection Service reported 527 anti-Semitic incidents in the first half of 2014, compared with 276 in the same period last year. In recent months — and especially in the wake of the most recent Gaza war — there have been incidents of Jews being harassed, even physically assaulted, in the streets, and synagogues and Jewish-owned stores and restaurants being torched. And notably, in 2012, four people, including three children, were killed during a shooting rampage at a Jewish school in Toulouse.
While Israel remains the destination of choice — 5,063 French Jews made aliyah between Jan. 1 and Sept. 30, according to the Jewish Agency for Israel, the most from any European country — Quebec, and its largest city of Montreal in particular, is quietly becoming a popular alternative for émigrés.
“I hear and I know of young couples moving to Quebec,” said Serge Cwajgenbaum, the Lyon, France-born secretary general of the European Jewish Congress. “The reason is not necessarily related to the rise of anti-Semitism, but it’s more to find a proper future, in terms of good work, good salaries and a cheaper way of life.” There are some 90,000 Jews in the Montreal metropolitan area. [...]
Monique Lapointe, director of Agence Ometz, Montreal’s primary Jewish social services and resettlement organization, told JTA she has noticed a significant increase in newcomers, especially over the past year. Inquiries, Lapointe said, have poured in through Ometz’s email system and Facebook page — including from French Jews currently living in Israel. “I wouldn’t say it’s a huge number of [immigrants],” Lapointe said. “But it’s a trend. We’ll be anticipating more.”
Lapointe described the average immigrant as single, between the ages of 25 and 35, “very well educated and looking for a new kind of life.” The wider Montreal Jewish community, Lapointe said, is now in the early stages of crafting a coordinated approach to handle the inflow. Thus far, it has been difficult to track newcomers, she added, partly because French Jews keep looser ties to Jewish community organizations than do their North American counterparts.
“In France, people don’t talk about Jewishness,” Lapointe said. “They’re not used to community organizations. Some will never come to see us. They don’t have this reflex.” [...]
Families with children also reported a fear of anti-Semitism, and anxieties about their ability to practice Judaism safely amid a rise in anti-Semitic rhetoric and attacks.
For Julie Weill, a 31-year-old mother of three, the decision to leave her home in Strasbourg five years ago was prompted by the increasing sense of unease she and her husband, Nathanael, felt as Jews in France. While the modern Orthodox couple was never victimized by anti-Semitism, they heard stories from friends and family, and it was considered dangerous, Weill said, to walk around downtown Strasbourg wearing a yarmulke. [...]
Weill still finds it difficult to let her two boys, who attend a Sephardic Jewish day school, wear yarmulkes in public, an old habit from the family’s life in Strasbourg. But the concern, she acknowledged, is largely “irrational.”
Charbit and Hazan, both non-observant, have also felt a difference in Quebec society treats its Jewish community. “In France, you don’t put your mezuzah outside,” Charbit said. “Jewish life in Montreal is safer.”
C'est une tendance et elle n'est pas près de s'inverser...
When Dan Charbit and his wife, Gaelle Hazan, moved to Montreal from Paris two summers ago, it was meant to be a temporary fix — a year-long attempt for Charbit to reboot his stalled career as a special-effects artist in Quebec’s thriving film and television industry. They agreed to fly home if the experiment failed.
Fourteen months after arriving in Canada, the couple has no desire to return to France. The 43-year-old Charbit, who won an Emmy earlier this year for work on the fourth season of the hit HBO show “Game of Thrones,” started a new job last month as a supervisor at Mokko, a Montreal-based special-effects studio serving the film and television industries. Hazan, 39, has found employment as a construction project manager.
Charbit and Hazan are part of a new wave of French Jews who have resettled in French-speaking Quebec, fleeing France’s dismal unemployment rate, which hit 10.5 percent in September, as well as the shock of anti-Semitism that has reverberated throughout the country in recent months and crested over the summer during waves of anti-Israel demonstrations.
France’s Jewish Community Protection Service reported 527 anti-Semitic incidents in the first half of 2014, compared with 276 in the same period last year. In recent months — and especially in the wake of the most recent Gaza war — there have been incidents of Jews being harassed, even physically assaulted, in the streets, and synagogues and Jewish-owned stores and restaurants being torched. And notably, in 2012, four people, including three children, were killed during a shooting rampage at a Jewish school in Toulouse.
While Israel remains the destination of choice — 5,063 French Jews made aliyah between Jan. 1 and Sept. 30, according to the Jewish Agency for Israel, the most from any European country — Quebec, and its largest city of Montreal in particular, is quietly becoming a popular alternative for émigrés.
“I hear and I know of young couples moving to Quebec,” said Serge Cwajgenbaum, the Lyon, France-born secretary general of the European Jewish Congress. “The reason is not necessarily related to the rise of anti-Semitism, but it’s more to find a proper future, in terms of good work, good salaries and a cheaper way of life.” There are some 90,000 Jews in the Montreal metropolitan area. [...]
Monique Lapointe, director of Agence Ometz, Montreal’s primary Jewish social services and resettlement organization, told JTA she has noticed a significant increase in newcomers, especially over the past year. Inquiries, Lapointe said, have poured in through Ometz’s email system and Facebook page — including from French Jews currently living in Israel. “I wouldn’t say it’s a huge number of [immigrants],” Lapointe said. “But it’s a trend. We’ll be anticipating more.”
Lapointe described the average immigrant as single, between the ages of 25 and 35, “very well educated and looking for a new kind of life.” The wider Montreal Jewish community, Lapointe said, is now in the early stages of crafting a coordinated approach to handle the inflow. Thus far, it has been difficult to track newcomers, she added, partly because French Jews keep looser ties to Jewish community organizations than do their North American counterparts.
“In France, people don’t talk about Jewishness,” Lapointe said. “They’re not used to community organizations. Some will never come to see us. They don’t have this reflex.” [...]
Families with children also reported a fear of anti-Semitism, and anxieties about their ability to practice Judaism safely amid a rise in anti-Semitic rhetoric and attacks.
For Julie Weill, a 31-year-old mother of three, the decision to leave her home in Strasbourg five years ago was prompted by the increasing sense of unease she and her husband, Nathanael, felt as Jews in France. While the modern Orthodox couple was never victimized by anti-Semitism, they heard stories from friends and family, and it was considered dangerous, Weill said, to walk around downtown Strasbourg wearing a yarmulke. [...]
Weill still finds it difficult to let her two boys, who attend a Sephardic Jewish day school, wear yarmulkes in public, an old habit from the family’s life in Strasbourg. But the concern, she acknowledged, is largely “irrational.”
Charbit and Hazan, both non-observant, have also felt a difference in Quebec society treats its Jewish community. “In France, you don’t put your mezuzah outside,” Charbit said. “Jewish life in Montreal is safer.”
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vendredi 28 novembre 2014
Quel rôle pour l'UE dans le conflit israélo-plestinien? par Brice Couturier
Tout est dit dans cet article.
Quel rôle pour l'UE dans le conflit israélo-plestinien? par Brice Couturier @ France Culture (via Extrême Centre)
[...] Dans une étude pour le think tank américain Carnegie Endowment, Richard Youngs rappelle que l’Union européenne a été, et de loin, le premier donateur de l’Autorité palestinienne. L’aide financière prodiguée par l’UE en tant qu’institution, additionnée à celle fournie par les différents gouvernements européens, se monte à plusieurs milliards d’euros. Aucune autre région du monde n’a bénéficié, de la part de l’Europe, d’une aide aussi massive par habitant. Or, écrit Richard Youngs, cette aide s’inscrivait dans le cadre d’une stratégie précise: la création et la consolidation d’institutions para-étatiques palestiniennes solides, capables de fonctionner le jour où un accord de paix interviendrait enfin entre l’Autorité palestinienne et un gouvernement israélien.
L’UE visait la marginalisation du Hamas, qu’elle considère comme un mouvement terroriste, et la restauration de l’Autorité palestinienne sur Gaza. L’accord donné par ce parti islamiste à la constitution d’un «gouvernement de réconciliation» avec l’OLP est apparu comme prometteur. Elle concrétisait l’isolement international du Hamas et son affaiblissement. Branche palestinienne des Frères musulmans, il avait perdu le soutien de l’Egypte, avec l’emprisonnement du président Morsi, celui de la Syrie d’el-Assad, à cause de son soutien à la rébellion sunnite, celui de l’Iran, dont proviennent la plupart de ses armements, notamment les milliers de roquettes qu’il a tirées sur Israël, l’été dernier.
Mais l’opération «Bordure protectrice», lancée par Israël contre Gaza, durant l’été dernier, pour mettre fin à cette campagne de tirs sur les villes du Sud du pays, a remis en selle le Hamas, devenu très populaire parmi la population palestinienne de Cisjordanie. Et cela remet sérieusement en cause la politique européenne. [...]
Parce que les Etats membres de l’Union européenne se sont engagés à participer généreusement à la reconstruction de Gaza, et que les sommes qui y seront consacrées (un demi-milliard d’euros) seront en partie prélevées sur les aides financières destinées à l’Autorité palestinienne.
Enfin, parce que celle-ci inefficace et corrompue. L’appareil judiciaire manque d’indépendance, les procédures a minima d’un fonctionnement démocratique ne sont pas respectées – le Conseil législatif palestinien n’a pas été convoqué depuis 2007, l’exécutif n’est pas contrôlé. Les emplois de «fonctionnaires» payés dans une large mesure par l’UE ne sont que des sinécures où le Fatah place ses amis et clients. Enfin, depuis la démission du premier ministre Salam Fayyad, l’économie des territoires occupés de Cisjordanie a replongé dans la corruption et le népotisme. La «bonne gouvernance» que l’Union européenne est censée inculquer fait cruellement défaut.
Quel rôle pour l'UE dans le conflit israélo-plestinien? par Brice Couturier @ France Culture (via Extrême Centre)
[...] Dans une étude pour le think tank américain Carnegie Endowment, Richard Youngs rappelle que l’Union européenne a été, et de loin, le premier donateur de l’Autorité palestinienne. L’aide financière prodiguée par l’UE en tant qu’institution, additionnée à celle fournie par les différents gouvernements européens, se monte à plusieurs milliards d’euros. Aucune autre région du monde n’a bénéficié, de la part de l’Europe, d’une aide aussi massive par habitant. Or, écrit Richard Youngs, cette aide s’inscrivait dans le cadre d’une stratégie précise: la création et la consolidation d’institutions para-étatiques palestiniennes solides, capables de fonctionner le jour où un accord de paix interviendrait enfin entre l’Autorité palestinienne et un gouvernement israélien.
L’UE visait la marginalisation du Hamas, qu’elle considère comme un mouvement terroriste, et la restauration de l’Autorité palestinienne sur Gaza. L’accord donné par ce parti islamiste à la constitution d’un «gouvernement de réconciliation» avec l’OLP est apparu comme prometteur. Elle concrétisait l’isolement international du Hamas et son affaiblissement. Branche palestinienne des Frères musulmans, il avait perdu le soutien de l’Egypte, avec l’emprisonnement du président Morsi, celui de la Syrie d’el-Assad, à cause de son soutien à la rébellion sunnite, celui de l’Iran, dont proviennent la plupart de ses armements, notamment les milliers de roquettes qu’il a tirées sur Israël, l’été dernier.
Mais l’opération «Bordure protectrice», lancée par Israël contre Gaza, durant l’été dernier, pour mettre fin à cette campagne de tirs sur les villes du Sud du pays, a remis en selle le Hamas, devenu très populaire parmi la population palestinienne de Cisjordanie. Et cela remet sérieusement en cause la politique européenne. [...]
Parce que les Etats membres de l’Union européenne se sont engagés à participer généreusement à la reconstruction de Gaza, et que les sommes qui y seront consacrées (un demi-milliard d’euros) seront en partie prélevées sur les aides financières destinées à l’Autorité palestinienne.
Enfin, parce que celle-ci inefficace et corrompue. L’appareil judiciaire manque d’indépendance, les procédures a minima d’un fonctionnement démocratique ne sont pas respectées – le Conseil législatif palestinien n’a pas été convoqué depuis 2007, l’exécutif n’est pas contrôlé. Les emplois de «fonctionnaires» payés dans une large mesure par l’UE ne sont que des sinécures où le Fatah place ses amis et clients. Enfin, depuis la démission du premier ministre Salam Fayyad, l’économie des territoires occupés de Cisjordanie a replongé dans la corruption et le népotisme. La «bonne gouvernance» que l’Union européenne est censée inculquer fait cruellement défaut.
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Union européenne
mercredi 26 novembre 2014
EI/Hamas/Abbas: la continuation du génocide par d’autres moyens
J.C. Durbant @ Extrême Centre: Attention: un génocide peut en cacher un autre!
Alors qu’un récent rapport d’Amnesty International confirme qu’un nettoyage ethnique est bien en cours en Irak …
Et à l’heure où le plus grand canard boiteux de l’histoire américaine moderne pousse les feux pour obtenir coûte que coûte un accord sur le nucléaire avec un pays qui prône l’effacement de la carte d’un de ses voisins …
Et où, nous avertit le Financial Times, "la patience de l’UE pour l’Etat hébreu est à bout" …
Pendant que, suite à un nouveau massacre de civils dans une synagogue, le Hamas salue comme "acte héroïque" et "appelle à poursuivre" les assassinats à l’arme blanche ou à la voiture bélier lancées, comme on le sait, par l’Etat islamique …
Et que le président de l’Autorité palestinienne renouvelle ses appels à "protéger la mosquée Al Aqsa de la contamination juive"…
Comment ne pas voir, avec Jeffrey Goldberg, la nature proprement génocidaire du projet palestinien?
Pour le dossier complet de cette infamie, cliquer ICI.
mardi 25 novembre 2014
L'Union européenne ne condamne pas l'antisémitisme virulent de l'Autorité palestinienne et du Hamas
Enfants de Gaza |
Day 1: Counting the Days till EU Condemns PA Incitement to Kill Jews
Palestinian officials, from both Hamas and Fatah, regularly incite their populace to kill Jews.
As a rule, the West responds by pretending such incitement does not exist.
Incitement kills Jews.
Incitement by PA officials kills Jews worldwide.
European leaders speak strongly about antisemitic incitement in their own countries, but at the same time, European leaders support the PA.
I am therefore introducing a new feature on this blog. I will count the days until one European country will step forward and condemn the PA for its incitement.
It is not enough to ask the PA to stop inciting.
It is not enough to condemn the terror attacks caused by such incitement.
European leaders must make it clear to the PA that incitement to kill Jews is unacceptable. That such incitement will mean no support for Palestinian aspirations for statehood. Until then, European leaders are encouraging Palestinians to kill Jews.
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Europe
lundi 24 novembre 2014
Israël a vaincu seul le Hamas mais pour Da’ech il faut une coalition entière pour tenter de le terrasser (Benjamin Netanyahou)
Netanyahou aux Juifs de France: «Israël est votre foyer» @ JSS News. Extraits:
Le Premier Ministre Benjamin Netanyahou s’est adressé à l’assemblée et a déclaré :
«Israël est le foyer juif, l’Etat-nation du Peuple Juif. Nous voulons voir arriver ici un nombre considérable de Juifs du monde entier. Il s’agit évidemment d’une décision personnelle, cependant je pense qu’aujourd’hui lorsque nous voyons ce qui se passe dans le monde, on comprend qu’il existe un seul foyer national pour chaque Juif, où qu’il se trouve.
«Je m’adresse particulièrement aux juifs de France, communauté que je connais, estime, et apprécie. J’ai des amis (français) de longue date. Nous voyons en vous non seulement des frères et sœurs, mais notre propre chair.» [...]
Au sujet de la situation sécuritaire difficile, le Premier ministre a dû répondre à une question délicate: «Comment rassurer les Juifs qui veulent quitter la France pour des raisons de sécurité et craignent aujourd’hui la situation en Israël»? Benjamin Netanyahou a d’abord rappelé «que les Juifs qui vivent en Israël subissent le terrorisme depuis plus d’un siècle, avec des périodes de pic et d’accalmies». Il a poursuivi en indiquant «que le gouvernement menait une lutte sans merci contre la violence terroriste par des moyens offensifs et défensifs» et a rappelé un certain nombre de mesures concrètes prises récemment, notamment la destruction de maisons de terroristes, la déchéance de citoyenneté ou du statut de «résident fixe» ainsi que l’augmentation notoire des effectifs des forces de l’ordre sur le terrain. Il a annoncé «qu’il y aurait encore de nouvelles mesures très sévères pour ceux qui jettent de pierres ou qui incitent à la violence». Il a aussi rappelé «qu’Israël avait vaincu seul le Hamas durant cet été alors que pour Da’ech il faut une coalition entière pour tenter de le terrasser».
Sur ce point Netanyahou a tenu à rappeler une vérité historique: «Aucun dirigeant sioniste ni les pères fondateurs de l’Etat n’ont jamais assuré que la création d’un Etat ferait cesser les attaques contre les Juifs, mais la différence était qu’il y aurait désormais une armée qui pourrait livrer une guerre sans merci pour nous défendre. C’est là toute la différence!»
Autre question d’actualité brûlante: «Que tient le Premier ministre israélien à dire aux députés français qui s’apprêtent à voter en faveur de la reconnaissance d’un Etat palestinien?» Netanyahou estime «qu’ils font une grossière erreur car ils reconnaissent un Etat palestinien alors qu’il n’y a pas de paix et alors que l’Autorité Palestinienne refuse catégoriquement de reconnaître Israël comme Etat du peuple juif». Netanyahou a rappelé «que tout territoire qui a été cédé aux Arabes avait été transformé en base terroriste contre Israël et en bastion avancé de l’Islam radical». Le Premier ministre s’est demandé «si c’était vraiment la seule chose qui importait actuellement aux députés français alors que tout le Moyen-Orient est à feu et à sang sous l’offensive de l’Islam, que les têtes tombent et que des terroristes européens s’apprêtent à retourner dans leurs pays d’origine pour y amener le Jihad».
Benjamin Netanyahou, la ministre de l’Alya et de l’Intégration Sofia Landver et le député français Meyer Habib |
«Israël est le foyer juif, l’Etat-nation du Peuple Juif. Nous voulons voir arriver ici un nombre considérable de Juifs du monde entier. Il s’agit évidemment d’une décision personnelle, cependant je pense qu’aujourd’hui lorsque nous voyons ce qui se passe dans le monde, on comprend qu’il existe un seul foyer national pour chaque Juif, où qu’il se trouve.
«Je m’adresse particulièrement aux juifs de France, communauté que je connais, estime, et apprécie. J’ai des amis (français) de longue date. Nous voyons en vous non seulement des frères et sœurs, mais notre propre chair.» [...]
Au sujet de la situation sécuritaire difficile, le Premier ministre a dû répondre à une question délicate: «Comment rassurer les Juifs qui veulent quitter la France pour des raisons de sécurité et craignent aujourd’hui la situation en Israël»? Benjamin Netanyahou a d’abord rappelé «que les Juifs qui vivent en Israël subissent le terrorisme depuis plus d’un siècle, avec des périodes de pic et d’accalmies». Il a poursuivi en indiquant «que le gouvernement menait une lutte sans merci contre la violence terroriste par des moyens offensifs et défensifs» et a rappelé un certain nombre de mesures concrètes prises récemment, notamment la destruction de maisons de terroristes, la déchéance de citoyenneté ou du statut de «résident fixe» ainsi que l’augmentation notoire des effectifs des forces de l’ordre sur le terrain. Il a annoncé «qu’il y aurait encore de nouvelles mesures très sévères pour ceux qui jettent de pierres ou qui incitent à la violence». Il a aussi rappelé «qu’Israël avait vaincu seul le Hamas durant cet été alors que pour Da’ech il faut une coalition entière pour tenter de le terrasser».
Sur ce point Netanyahou a tenu à rappeler une vérité historique: «Aucun dirigeant sioniste ni les pères fondateurs de l’Etat n’ont jamais assuré que la création d’un Etat ferait cesser les attaques contre les Juifs, mais la différence était qu’il y aurait désormais une armée qui pourrait livrer une guerre sans merci pour nous défendre. C’est là toute la différence!»
Autre question d’actualité brûlante: «Que tient le Premier ministre israélien à dire aux députés français qui s’apprêtent à voter en faveur de la reconnaissance d’un Etat palestinien?» Netanyahou estime «qu’ils font une grossière erreur car ils reconnaissent un Etat palestinien alors qu’il n’y a pas de paix et alors que l’Autorité Palestinienne refuse catégoriquement de reconnaître Israël comme Etat du peuple juif». Netanyahou a rappelé «que tout territoire qui a été cédé aux Arabes avait été transformé en base terroriste contre Israël et en bastion avancé de l’Islam radical». Le Premier ministre s’est demandé «si c’était vraiment la seule chose qui importait actuellement aux députés français alors que tout le Moyen-Orient est à feu et à sang sous l’offensive de l’Islam, que les têtes tombent et que des terroristes européens s’apprêtent à retourner dans leurs pays d’origine pour y amener le Jihad».
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Alyah des Juifs de France
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France
dimanche 23 novembre 2014
La journaliste irlandaise Carol Hunt dénonce le lobby anti-sioniste européen
Carol Hunt écrit dans Sunday Independent (Irlande) Why do we keep saying it's not anti-Semitic? Left must admit that its actions are leading to anti-Jewish feeling.
"Meanwhile, in Europe the, 'It's not anti-Semitism, it's anti-Zionism' lobby refuse to take responsibility for their role in the increase in attacks against Jews and Jewish properties. Yes certainly, some right-wing groups throw the "anti-Semitism" tag around in order to shut down dialogue on Israeli actions, but that doesn't mean it doesn't exist. Currently anti-Jewish sentiment in Europe is able to rise unopposed because of the "pro-Palestinian" (but only against Israel) Left's refusal to admit that its anti-Israeli campaigning is contributing hugely to it.
Yes, I know that accusation will be meet with hostility and disbelief. But think about it: when people campaign vociferously against any cultural events that involves Israel, they seek to boycott everything to do with that country and its people. How do you think that makes Jewish people feel? How can you support actions which make Jewish people feel they are outsiders and yet insist that you mean no anti-Semitism? To do so reveals an ignorance of how central Israel is to the identity, religion and culture of Jewish people worldwide."
Lire également de Carol Hunt: Mais quel mal Israël nous a-t-il jamais fait?
"Meanwhile, in Europe the, 'It's not anti-Semitism, it's anti-Zionism' lobby refuse to take responsibility for their role in the increase in attacks against Jews and Jewish properties. Yes certainly, some right-wing groups throw the "anti-Semitism" tag around in order to shut down dialogue on Israeli actions, but that doesn't mean it doesn't exist. Currently anti-Jewish sentiment in Europe is able to rise unopposed because of the "pro-Palestinian" (but only against Israel) Left's refusal to admit that its anti-Israeli campaigning is contributing hugely to it.
Yes, I know that accusation will be meet with hostility and disbelief. But think about it: when people campaign vociferously against any cultural events that involves Israel, they seek to boycott everything to do with that country and its people. How do you think that makes Jewish people feel? How can you support actions which make Jewish people feel they are outsiders and yet insist that you mean no anti-Semitism? To do so reveals an ignorance of how central Israel is to the identity, religion and culture of Jewish people worldwide."
Lire également de Carol Hunt: Mais quel mal Israël nous a-t-il jamais fait?
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Irlande
vendredi 21 novembre 2014
La détresse des jeunes juifs européens, Deborah Lipstadt @ The Forward
"Young Jews repeatedly spoke of their contemporaries who “are going underground.” Students feel it increasingly uncomfortable to say “I’m Jewish.” They disengage from campus Jewish life." Quel sentiment d'humiliation!
L'historienne américaine Deborah Lipstadt faisait partie de la délégation de la Maison Blanche qui a participé à la conférence de l'OSCE sur l'antisémitisme qui s'est tenue à Berlin les 12-13 novembre.
Ce ne furent pas habituels discours officiels des différents intervenants qui retinrent essentiellement son attention. Mais ce qu'elle a entendu en privé. Autour d'une tasse de café des Juifs européens se sont confiés. Cette spécialiste du négationnisme et du révisionnisme et les membres de la délégation américaine furent bouleversés par le vécu notamment des jeunes. Voici son témoignage publié dans Forward - clair et concis sans pathos et hystérie. Anti-Semitism Creeps Into Europe's Daily Routines. Extraits:
[...] But in addition to the physical assault another attack is occurring. But for the fact that it does not take lives or break bones (no small thing), its long-term consequences may be more profound. Jews face an inner spiritual and psychological assault. Young people described being Jewish as having become a negative, a burden. “We are continuously on the defensive. It’s depressing.” Guy, a young Dutchman, recalled that not long ago a bunch of his Jewish friends gathered to celebrate his birthday. “What,” he asked us with an ironic smile, “do a group of young men talk about when they gather to drink beer and enjoy themselves? The Holocaust, anti-Semitism, and insecurity.”
In certain countries children who attend Jewish schools are warned — if not “forbidden” — from wearing anything that would single them out as Jews. No school insignias on the book bags, no school symbols on their jackets, no kippot. Nothing.
Many Jews feel abandoned by former allies. Jewish groups, both on campus and in the broader community, have long participated in coalitions of human rights organizations. “The problem is,” a young Belgian Jew observed, “that these human rights groups don’t consider Jews to be ‘victims.’ We may not face job discrimination. But we face violence.” Even after four Jews were murdered at the Brussels Jewish museum, some European human rights activists dismissed anti-Semitism as “only words” and of no real importance. Some of their colleagues even suggested that this all happened “because of Israel,” i.e. it was justified. “In short,” one young woman observed, “we have no allies.” [...]
Some Jews, unsure that they have a “future” in Europe are leaving countries where generations of their families have lived. They head to Israel, London, the United States, and Canada. Their friends predict: “They will never come back.”
Many will probably stay put — emigrating is not an easy task — but will become “invisible Jews.” Young Jews repeatedly spoke of their contemporaries who “are going underground.” Students feel it increasingly uncomfortable to say “I’m Jewish.” They disengage from campus Jewish life.
L'historienne américaine Deborah Lipstadt faisait partie de la délégation de la Maison Blanche qui a participé à la conférence de l'OSCE sur l'antisémitisme qui s'est tenue à Berlin les 12-13 novembre.
Ce ne furent pas habituels discours officiels des différents intervenants qui retinrent essentiellement son attention. Mais ce qu'elle a entendu en privé. Autour d'une tasse de café des Juifs européens se sont confiés. Cette spécialiste du négationnisme et du révisionnisme et les membres de la délégation américaine furent bouleversés par le vécu notamment des jeunes. Voici son témoignage publié dans Forward - clair et concis sans pathos et hystérie. Anti-Semitism Creeps Into Europe's Daily Routines. Extraits:
[...] But in addition to the physical assault another attack is occurring. But for the fact that it does not take lives or break bones (no small thing), its long-term consequences may be more profound. Jews face an inner spiritual and psychological assault. Young people described being Jewish as having become a negative, a burden. “We are continuously on the defensive. It’s depressing.” Guy, a young Dutchman, recalled that not long ago a bunch of his Jewish friends gathered to celebrate his birthday. “What,” he asked us with an ironic smile, “do a group of young men talk about when they gather to drink beer and enjoy themselves? The Holocaust, anti-Semitism, and insecurity.”
In certain countries children who attend Jewish schools are warned — if not “forbidden” — from wearing anything that would single them out as Jews. No school insignias on the book bags, no school symbols on their jackets, no kippot. Nothing.
Many Jews feel abandoned by former allies. Jewish groups, both on campus and in the broader community, have long participated in coalitions of human rights organizations. “The problem is,” a young Belgian Jew observed, “that these human rights groups don’t consider Jews to be ‘victims.’ We may not face job discrimination. But we face violence.” Even after four Jews were murdered at the Brussels Jewish museum, some European human rights activists dismissed anti-Semitism as “only words” and of no real importance. Some of their colleagues even suggested that this all happened “because of Israel,” i.e. it was justified. “In short,” one young woman observed, “we have no allies.” [...]
Some Jews, unsure that they have a “future” in Europe are leaving countries where generations of their families have lived. They head to Israel, London, the United States, and Canada. Their friends predict: “They will never come back.”
Many will probably stay put — emigrating is not an easy task — but will become “invisible Jews.” Young Jews repeatedly spoke of their contemporaries who “are going underground.” Students feel it increasingly uncomfortable to say “I’m Jewish.” They disengage from campus Jewish life.
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Europe
mercredi 19 novembre 2014
Juifs européens aux Américains: Aidez-nous à lutter contre l’antisémitisme!
Quel aveu d'impuissance - même sur les réseaux sociaux. Et dire qu'au moins, cinq conférences sur l'antisémitisme en Europe ont eu lieu en 5 semaines...
Times of Israel (extraits):
La délégation du Congrès juif israélien s’est rendue à Washington pour participer au troisième dialogue trilatéral – une initiative conjointe parrainée par le CJI et les FJNA réunissant les dirigeants des communautés juives d’Europe, d’Amérique du Nord, et d’Israël autour d’une table ronde sur les questions clés préoccupant leurs communautés respectives. L’initiative a été lancée en novembre 2013, et selon les participants, la session de cette semaine fut un moment clé.
«C’est la première fois aux États-Unis que le CJI et les JFNA ont coopéré étroitement au profit d’Israël, de la communauté juive américaine et, bien sûr, de notre population en Europe», déclare Dr Benjamin Albalas, vice-président du Congrès juif mondial et président du Conseil central des communautés juives de Grèce. «La situation financière en Europe n’est pas bonne, l’antisémitisme se développe et les partis extrémistes ont gagné en pouvoir lors des dernières élections de l’Union européenne», déclare Albalas.
Il affirme que ses homologues américains sont conscients que les problèmes des Juifs en Europe sont différents qu’aux États-Unis. «L’antisémitisme en Europe est un problème multifactoriel, et c’est la raison pour laquelle il est difficile d’y faire face», explique Albalas. [...]
«La communauté juive américaine peut aider de façon pratique. Ils ont le savoir-faire pour faire face aux médias traditionnels et sociaux – Google, Twitter et autres. Ils ont aussi le savoir-faire pour inciter les leaders d’opinion à changer le climat ambiant», dit Albalas.
Les membres du dialogue espèrent que le gouvernement américain fera pression sur les gouvernements européens afin qu’ils adoptent une position plus ferme contre l’antisémitisme, dit Albalas, expliquant que «l’antisémitisme n’est pas seulement un problème pour les Juifs, mais pour leurs démocraties».
L'article a provoqué un seul commentaire! Celui d'un Libanais qui vit en France et qui avec ses amis sort sur Facebook toute sa quincaillerie antisémite:
Lacsap Traineuq · Lebanese University
Times of Israel (extraits):
La délégation du Congrès juif israélien s’est rendue à Washington pour participer au troisième dialogue trilatéral – une initiative conjointe parrainée par le CJI et les FJNA réunissant les dirigeants des communautés juives d’Europe, d’Amérique du Nord, et d’Israël autour d’une table ronde sur les questions clés préoccupant leurs communautés respectives. L’initiative a été lancée en novembre 2013, et selon les participants, la session de cette semaine fut un moment clé.
«C’est la première fois aux États-Unis que le CJI et les JFNA ont coopéré étroitement au profit d’Israël, de la communauté juive américaine et, bien sûr, de notre population en Europe», déclare Dr Benjamin Albalas, vice-président du Congrès juif mondial et président du Conseil central des communautés juives de Grèce. «La situation financière en Europe n’est pas bonne, l’antisémitisme se développe et les partis extrémistes ont gagné en pouvoir lors des dernières élections de l’Union européenne», déclare Albalas.
Il affirme que ses homologues américains sont conscients que les problèmes des Juifs en Europe sont différents qu’aux États-Unis. «L’antisémitisme en Europe est un problème multifactoriel, et c’est la raison pour laquelle il est difficile d’y faire face», explique Albalas. [...]
«La communauté juive américaine peut aider de façon pratique. Ils ont le savoir-faire pour faire face aux médias traditionnels et sociaux – Google, Twitter et autres. Ils ont aussi le savoir-faire pour inciter les leaders d’opinion à changer le climat ambiant», dit Albalas.
Les membres du dialogue espèrent que le gouvernement américain fera pression sur les gouvernements européens afin qu’ils adoptent une position plus ferme contre l’antisémitisme, dit Albalas, expliquant que «l’antisémitisme n’est pas seulement un problème pour les Juifs, mais pour leurs démocraties».
L'article a provoqué un seul commentaire! Celui d'un Libanais qui vit en France et qui avec ses amis sort sur Facebook toute sa quincaillerie antisémite:
Lacsap Traineuq · Lebanese University
et pourquoi ils ne vont pas en Utah jouer a moise avec les mormons,il y a de place dans cet état,et,ils verront si les américains vont les accepter si facilement
Il y en a des dizaines comme ça...
Scarlett Somoude La France est sous occupation sioniste, le monde aussi bien sûr, la seule solution c'est d'être uni contre les rats de tel aviv qui sont là bas et ici,
mardi 18 novembre 2014
Pour Cohn-Bendit, "juif de la diaspora", "Israël, c'est la fin des Juifs"
Interviewé la semaine passé par le quotidien belge Le Soir, l'inénarrable Daniel Cohn-Bendit, animateur-pontificateur à Europe 1, déclare à propos de sa judéité:
"Longtemps, je me suis considéré comme un "juif sartrien": "Ce sont les autres me font juif". Mais en fait c'est faux... Je suis un Juif de la diaspora. Donc une citoyenneté universelle, sans frontière, ce qui explique mon positionnement européen.
Israël change la nature des Juifs. Pour moi, Israël, c'est la fin des Juifs. Pour moi, un Juif comme je comprends, c'est un Juif de la diaspora."
Son modèle?
"Marek Edelman, le dernier survivant de la révolte du ghetto de Varsovie - qui est toujours resté en Pologne, qui n'est pas israélien."
Et il ajoute:
"A propos, c'est drôle de savoir que l'idéologue de Marine le Pen est juif [Eric Zemmour]"...
Toujours la grande grande classe... Et l'excellentissime opinion qu'il a de lui-même.
"Longtemps, je me suis considéré comme un "juif sartrien": "Ce sont les autres me font juif". Mais en fait c'est faux... Je suis un Juif de la diaspora. Donc une citoyenneté universelle, sans frontière, ce qui explique mon positionnement européen.
Israël change la nature des Juifs. Pour moi, Israël, c'est la fin des Juifs. Pour moi, un Juif comme je comprends, c'est un Juif de la diaspora."
Son modèle?
"Marek Edelman, le dernier survivant de la révolte du ghetto de Varsovie - qui est toujours resté en Pologne, qui n'est pas israélien."
Et il ajoute:
"A propos, c'est drôle de savoir que l'idéologue de Marine le Pen est juif [Eric Zemmour]"...
Toujours la grande grande classe... Et l'excellentissime opinion qu'il a de lui-même.
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lundi 17 novembre 2014
Cinq conférences sur l'antisémitisme en Europe en 5 semaines
En cinq semaine ont eu lieu au moins cinq grandes conférences sur l'antisémitisme en Europe. Quel est le constat? A quoi ont-elles servi? Combien d'autres suivront? Pour quel résultat?
A Bruxelles:
- Colloque du CCLJ «Brun-vert-rouge, les nouvelles couleurs de l’antisémitisme» (12 octobre)
Le francophone CCLJ/JCALL a invité trois Français (Alain Finkielkraut, Mohamed Sifaoui et Jacques Tarnero), mais aucun Flamand... La très active Ligue Belge contre l'Antisémitisme ne participa pas non plus à la conférence... Un comble.
A Barcelone:
- 3e conférence internationale sur l'antisémitisme (5-6 novembre)
A Berlin:
- Conférence de l'OSCE contre l’antisémitisme: "Résultats très mitigés, climat peu optimiste" (12-13 novembre)
A Paris:
- Convention annuelle du CRIF La France sous tensions (16 novembre)
- Convention du CRIF Demain les Juifs de France (20 novembre)
Voir l'indispensable compte-rendu de Véronique Chemla
A Bruxelles:
- Colloque du CCLJ «Brun-vert-rouge, les nouvelles couleurs de l’antisémitisme» (12 octobre)
Le francophone CCLJ/JCALL a invité trois Français (Alain Finkielkraut, Mohamed Sifaoui et Jacques Tarnero), mais aucun Flamand... La très active Ligue Belge contre l'Antisémitisme ne participa pas non plus à la conférence... Un comble.
A Barcelone:
- 3e conférence internationale sur l'antisémitisme (5-6 novembre)
A Berlin:
- Conférence de l'OSCE contre l’antisémitisme: "Résultats très mitigés, climat peu optimiste" (12-13 novembre)
A Paris:
- Convention annuelle du CRIF La France sous tensions (16 novembre)
- Convention du CRIF Demain les Juifs de France (20 novembre)
Voir l'indispensable compte-rendu de Véronique Chemla
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