Tandis que nous nous taisions, nous entendions le brouhaha des classes voisines.
Par Gilles William Goldnadel
Le Figaro de ce lundi, rapporte que: «Diverses réactions de soutien au meurtrier inquiètent la police ». Entre autres témoignages, une enseignante d’Argenteuil relate: «Au moment de la minute de silence, à 11 heures, deux élèves de ma classe ont refusé d’y participer, en jetant: je ne vais pas me lever pour des Juifs!» Le professeur a toutefois fait obtempérer les deux élèves, mais manifeste son inquiétude: «Il faut savoir que régulièrement les débats autour du conflit israélo-palestinien empoisonnent les cours, tous les cours.»
«Beaucoup d’enseignants n’ont pas imposé cette minute de recueillement, souvent par crainte des comportements des élèves, témoigne un autre professeur. Tandis que nous nous taisions, nous entendions le brouhaha des classes voisines.»
François, adolescent de 15 ans scolarisé à Paris, est encore choqué par les propos entendus la semaine passée: «Un élève de ma classe s’est insurgé, expliquant qu’il n’acceptait pas que l’on fasse une minute de silence pour des Juifs et pas pour les morts en Palestine… raconte-t-il. Le professeur a essayé de botter en touche, puis il a lâché: «Enfin, c’étaient des enfants!» et, là, l’élève a marmonné: « C’est aussi bien qu’ils soient morts ». Le pire, c’est que dans la classe, il n’était pas le seul à penser de cette façon : une dizaine d’élèves ont ricané pendant la minute de silence… »
[Notre note: Une étude belge a révélé que 50% des élèves musulmans à Bruxelles sont antisémites.]
Manifestation parisienne de SOS-Racisme
On ne s’étonnera pas davantage de la faible participation à la manifestation parisienne d’un SOS-Racisme à la dérive, flanqué de ses affidés juifs et socialistes, aux slogans tellement lénifiants que Richard Prasquier, irréprochable de rectitude lors de cette semaine infernale, se sentira dans l’obligation de les réprouver. Il est vrai, que ce dimanche, le cœur de la France qui se bat était à Toulouse.
Belles scènes de fraternité sans apprêts, que la main d’un rabbin dans celle, ferme et sure de l’imam Chalgoumi de Drancy, écrasant dans une même poigne, l’islamisme, l’antisémitisme et la haine de la France.
Ce site est dédié aux millions d'Européens qui, malgré d'incessantes campagnes de désinformation, ne croient pas que les Juifs ne sont capables que du pire; ne dissimulent pas leur antisémitisme dans le langage de l'antisionisme; et savent qu'Israël représente ce qu'il y a de meilleur dans une démocratie.
4 commentaires :
"Des élèves français ricanent de la minute de silence pour les enfants juifs tués"
Ces élèves sont surement aussi français que le terroriste musulman.
Ils sont français - mais visiblement la France qui donne des leçons au monde entier n'a pas su s'en occuper correctement.
Ces élèves ne sont pas français : quand on ne respecte pas ni ses professeurs, ni les policiers, ni les pompiers, ni les médecins (ces trois corps de profession ne peuvent quasiment plus entrer ou exercer dans certaines cités à majorité musulmane), alors il faut retourner dans son pays ou le pays de ses parents ou de ses grands-parents.
Les politiques ou les médias à force d'avoir la trouille des musulmans ou d'être d'une extrême connivence avec eux finiront par plonger la France dans le chaos. Cela commence par les juifs puis ce sera autour des chrétiens et des athées : il ne faut pas se leurrer. Tous ceux (associations anti-racistes, experts en géopolitique et autres experts, journalistes, etc... ) qui font preuve d'un angélisme béat et ne voient jamais rien venir (dans le même ordre mais pas le même sujet, beaucoup d'experts en économie nous avaient dit en 2008 lors de la crise des subprimes - qu'ils n'avaient pas vu venir non plus - que dans 4 ans, nous serions sortis de l'auberge : nous sommes en 2012 et nous sommes encore en pleine crise)tomberont de haut, s'enferreront dans leurs idées jusqu'à la bêtise (ils le font déjà si bien) ou retourneront leurs vestes.
Face à tant d'imbécilité et de couardise, il faut se ccnstruire une tour d'ivoire et devenir sourd. (Cinéma, romans policiers, broderie sont mon autre Finistère).
Merah n'était pas français, contrairement à ce que les médias ont prétendu longuement : il avait une carte d'identité algérienne.
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