La prochaine session du Tribunal Russell sur la Palestine aura donc lieu à New York.
Campagne anti-israélienne organisée par Pierre Galand (Association Belgo-Palestinienne Wallonie-Bruxelles) |
"As you know, I have been active with The Russell Tribunal on Palestine since its inception. This year, it comes to the U.S.! The Russell Tribunal on Palestine will host its 4th and final session in New York in October 2012.
Please contact the following people if you require more information or wish to make a donation:
General Coordinator: Pierre Galand - trp_int@yahoo.com
London: Frank Barat - russelltribunaluk@gmail.com
Brussells: Virginie Vanhaeverbeke, coordinatrice du Tribunal Russell sur la Palestine - trp_int@yahoo.com
Le site du Frites-Russell révèle le nom d'autres Européens qui participeront à la session de New York: Vera Gowlland-Debas et Gianfranco Fattorini du MRAP, également conspirationniste:
"[...] A la 18ème minute, Brice Couturier revient sur le contenu d’une lettre que Gianfranco Fattorini a adressé au Président de la République en mars 2008, dans le cadre du suivi du programme d’action de la conférence de Durban :
«Sur les Tours jumelles, je peux vous interrompre ? Parce que vous écrivez quelque chose qui m’a intéressé dans la lettre au Président de la République, vous dites: "Trois jours après la fin de la conférence de Durban, les tours jumelles de Manhattan se sont écroulées, rares sont ceux qui connaissent exactement les tenants de cet événement". Qu’est-ce que vous voulez dire par là ? "rares sont ceux qui connaissent exactement les tenants de cet événement" ? c’est-à-dire que, pour vous, il y a un doute sur les auteurs de cet attentat, c’est ça?»
Visiblement gêné si l'on en juge par le ton de sa voix, Gianfranco Fattorini répond: «Il n’y a pas de doutes mais, dans le sens que "comment ça a pu arriver", personne ne le sait exactement. Et on ne le saura jamais, personne ne pourra donner exactement la réponse de savoir comment cet événement a pu arriver. Mais là n’est pas la question».
Habile manière d'éluder la question... Gianfranco Fattorini dit une chose et son contraire, dans la même phrase: «Il n'y a pas de doutes»,(sous-entendu, «sur l'identité des auteurs des attentats»). Puis: «Personne ne sait exactement», «on ne saura jamais comment cela a pu arriver»... Relisons le passage dans lequel le représentant du MRAP fait part de sa vision du 11-Septembre (cliquez sur l'extrait ci-dessous pour l'agrandir) :
«Sur les Tours jumelles, je peux vous interrompre ? Parce que vous écrivez quelque chose qui m’a intéressé dans la lettre au Président de la République, vous dites: "Trois jours après la fin de la conférence de Durban, les tours jumelles de Manhattan se sont écroulées, rares sont ceux qui connaissent exactement les tenants de cet événement". Qu’est-ce que vous voulez dire par là ? "rares sont ceux qui connaissent exactement les tenants de cet événement" ? c’est-à-dire que, pour vous, il y a un doute sur les auteurs de cet attentat, c’est ça?»
Visiblement gêné si l'on en juge par le ton de sa voix, Gianfranco Fattorini répond: «Il n’y a pas de doutes mais, dans le sens que "comment ça a pu arriver", personne ne le sait exactement. Et on ne le saura jamais, personne ne pourra donner exactement la réponse de savoir comment cet événement a pu arriver. Mais là n’est pas la question».
Habile manière d'éluder la question... Gianfranco Fattorini dit une chose et son contraire, dans la même phrase: «Il n'y a pas de doutes»,(sous-entendu, «sur l'identité des auteurs des attentats»). Puis: «Personne ne sait exactement», «on ne saura jamais comment cela a pu arriver»... Relisons le passage dans lequel le représentant du MRAP fait part de sa vision du 11-Septembre (cliquez sur l'extrait ci-dessous pour l'agrandir) :
«Rares sont ceux qui connaissent exactement les tenants de cet événement». Sous-entendu: «une poignée d'initiés savent, eux, exactement comment tout cela s'est passé».
Il va de soi que tous les événements historiques conservent, à jamais, une part d'indicible compte tenu de l'impossibilité qui est la nôtre de reconstituer, a posteriori et dans le détail, les faits et gestes de chacun de leurs protagonistes - qui peuvent se compter par centaines, par milliers, parfois par dizaines de milliers pour des événements tels que les attentats du 11 septembre 2001.
Mais est-ce bien là ce à quoi Gianfranco Fattorini fait référence lorsqu'il dit qu'«on ne saura jamais comment cela a pu arriver»?"
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