Source: catho.be [Nous attirons l'attention de nos lecteurs sur le fait que ce site - qui est "le portail francophone de l'Église catholique en Belgique" - est très hostile à Israël. Voir par exemple: «Apartheid» en Israël?]. Cet article est à comparer avec celui paru dans La Croix sur le même sujet, au ton beaucoup plus modéré. On notera que si catho.be donne la version des Palestiniens, l'article ne mentionne pas celle ces Israéliens... tout en soulignant en guise de conclusion que "Des hauts responsables, au sommet de l’Eglise, ont fait part récemment de leurs doutes à l’agence Apic [agence de presse internationale catholique] quant à la réelle volonté d’Israël de conclure un tel accord…" Clair, n'est-ce pas? Les Israéliens mènent le Vatican en bateau. [1]
Vatican-Israël: l’accord qui inquiète les palestiniens
Démentant les allégations parues dans la presse israélienne et palestinienne, Mgr Ettore Balestrero a réaffirmé que le Vatican ne reconnaît pas, même indirectement, la souveraineté israélienne sur Jérusalem-Est. Le trouble est apparu à l’occasion des nouvelles négociations entre Israël et le Saint-Siège sur le statut fiscal des propriétés du Vatican et d’institutions catholiques en Israël. Ces négociations, qui durent depuis 13 ans, sont menées par une commission bilatérale qui a produit un document de travail. Or, selon des sources palestiniennes publiées par le quotidien israélien «Haaretz», ce document ne ferait pas de différence de statut entre les propriétés situées de part et d’autre de la «ligne verte», c’est-à-dire des frontières de 1967. Il reconnaitrait ainsi, indirectement, l’occupation par Israël de Jérusalem-est et des Territoires palestiniens. Mgr Balestrero, sous-secrétaire du Saint-Siège, a démenti ces informations sur Radio-Vatican, en expliquant que le document de travail en question était «dépassé depuis longtemps». Il a indiqué que les pourparlers visait un accord global, purement économique, «en marge des disputes territoriales». « Il est donc inexact d’affirmer que le Saint-Siège, avec cet accord, violerait la 4e Convention de Genève pour la protection des civils en temps de guerre », a-t-il ajouté.
Crainte de l’OLP - Mais quand bien même ce fameux accord avec Israël ne ferait pas mention des propriétés se trouvant à Jérusalem-Est ou en Cisjordanie, le prélat reconnaît toutefois qu’il pourrait concerner ces propriétés situées dans la zone occupée en 1967 et annexée illégalement par Israël en regard du droit international… [...]
[1] Nous avons voulu savoir comment Kerk.net, le site de l'église catholique néerlandophone, avait traité l'information, mais ayant subi une cyber-attaque, il n'est plus actif depuis le mois d'avril.
Ce site est dédié aux millions d'Européens qui, malgré d'incessantes campagnes de désinformation, ne croient pas que les Juifs ne sont capables que du pire; ne dissimulent pas leur antisémitisme dans le langage de l'antisionisme; et savent qu'Israël représente ce qu'il y a de meilleur dans une démocratie.
2 commentaires :
L'église belge doute de l'honnêteté d'Israël. Faut-il rire ou pleurer? L'église belge est mal placée pour donner des leçons à Israël alors qu'elle est encore dans le feu de la critique pédophilie. Sa poutre est plus grosse que la paille d'Israël.
Je vous renvoie à notre post du 13 juin:
Le journaliste britannique Anton La Guardia a publié en 2001 un ouvrage intitulé "Holy Land, Unholy War, Israelis and Palestinians". Anton La Guardia a reçu le Prix Orwell de journalisme et est actuellement le correspondant de l'Economist à l'UE et y tient la rubrique "Charlemagne". Dans les années 1990 il était le correspondant du Daily Telegraph au Moyen-Orient. Dans le livre, M. La Guardia, qui est catholique, raconte sa rencontre en Israël avec un prêtre italien (page 10).
Le prêtre lui montre qu'il parle hébreu en déchiffrant une inscription et confie: "L'hébreu est la langue que Dieu parlait. C'est comme quand on rencontre une belle femme. Si vous parlez sa langue, c'est plus intéressant". Le prêtre reconnaît que la langue de Dieu était l'hébreu, mais rejette l'héritage juif du christianisme. Pour lui le Christianisme est issu des enseignements de Jésus car ce sont eux et eux seulement qui sont la vraie révélation.
Il donna ensuite son avis sur Israël et les Juifs: "Israël est un pays très organisé. Imaginez que tout seuls, ils ont tenu bon face à des millions d'Arabes et au reste du monde musulman. Mais les Juifs sont trop fiers. Toutes les choses terribles que les Allemands leur ont faites, à leur tour il les font aux Arabes."
Commentaire d'Anton La Guardia: "Les Juifs étaient les super-héros et les super-dépravés, le peuple choisi et les éternels pécheurs".
C'est ce que les catholiques européens disent et continuent à dire des Juifs et du judaïsme depuis plus de mille ans - avec en prime la nazification des Juifs, déjà en 2001 et probablement bien avant! Voir également: David Meyer, le rabbin français qui prône la fin d'Israël enseigne à l'Université Pontificale de Rome... et la conviction de Joaquim Maria Cymbron, un catholique portugais, que le Juif est agioteur et idolâtre de sa race. Et bien sûr les ONG catholiques comme Pax Christi, de véritables machines multinationales d'incitation à la haine des Juifs israéliens.
http://philosemitismeblog.blogspot.be/2012/06/un-pretre-italien-nazifie-les-juifs-et.html
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