mercredi 10 octobre 2012

Roger Waters des Pink Floyd s'en prend au lobby juif

Alan A @ Harry's Place (Roger Waters at the Russell ‘Tribunal’: Hello – Is There Anybody In There?)

Logo du 'tribunal' - 
admirez la petite moustache...
Sohrab Ahmari a écrit un article pour le Wall Street Journal sur le "tribunal" Russell sur la Palestine (merci la Belgique, merci l'Université libre de Bruxelles, merci le PS), qui s'est réuni le week-end passé à New York. Le "jury" était composé par des gloires vieillissantes telles que  Roger Waters des Pink Floyd, la romancière Alice Walker, l'ancienne panthère noire Angela Davis (Angela Davis dénigre Israël à l'Université Libre de Bruxelles) [1], l'ex-Congresswoman et conspirationniste Cynthia McKinney.  Et bien sûr le fabuleux Stéphane Hessel qui est la mascotte de Pierre Galand, le grand ponte du "tribunal".  Noam Chomsky qui était la star absolue du spectacle n'est pas venu...

Sohrab Ahmari rapporte l'intervention de Roger Waters:  "Après le témoignage de [Ben] White [2], ce fut le tour de Mr. Waters du célèbre groupe Pink Floyd d'intervenir. “Nous trouvant réunis ici à New York City,” dit-il, “il est difficile d'ignorer l'éléphant dans la pièce - cet éléphant étant l'énorme influence dans les coulisses du pouvoir des lobbies israélien et juif.”"

[1] Sohrab Ahmari: "J'ai ensuite demandé à Mme Davis si elle s'oppose à certaines politiques israéliennes ou si, comme beaucoup d'autres participants au tribunal, est contre l'existence de l'Etat juif. "Nous avons adopté cette nouvelle notion appelée sociocide", a-t-elle dit. "C'est proche du génocide. C'est la décomposition d'une société particulière. Il se peut que ce ne soit pas un génocide dans le sens où toutes les personnes sont tuées ou la capacité biologique de reproduction de la population est agressée, mais plutôt la notion que les structures de la société sont démantelées au point de rendre impossible que les Palestiniens continuent à exister en tant que peuple."
[2] Sohrab Ahmari décrit Ben White: "the British journalist and anti-Israel activist Ben White, who spent 40 minutes calling for the “decolonization” of the Levant and denouncing “ethnic cleansing” by Israel since its founding in 1948. On the Counterpunch website in 2002, Mr. White wrote: “I do not consider myself an anti-Semite, yet I can also understand why some are.”  C'est clair, n'est-ce pas? Personnellement, il ne se considère pas comme antisémite, mais peut comprendre qu'on le soit.

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