mardi 11 janvier 2011

Les blogueurs empêchent les médias français de créer une nouvelle affaire al Durah

Comme le démontre "le cas Jawaher Abu Rahma" (photo), les médias français étaient prêts à créer une nouvelle affaire al Durah. Mais la donne a changé.  Les journalistes doivent dorénavant compter avec les nombreux blogs anglophones et français qui ont compris les effets dévastateurs de l'affaire al Durah et sont très attentifs à établir la vérité - la vérité qui n'a rien à voir avec la vérité médiatique européenne.  Sur le cas Abu Rahma voir également l'excellente analyse de Victor Perez : Laurent Zecchini et Le Monde à l’ouvrage et l'article du politologue Barry Rubin : Woman Dies Not From Israeli "Poison" Tear Gas But From Palestinian Medical Malpractice

"C’est la seconde fois en plusieurs mois que les "gaz lacrymogènes" sont accusés de semer la mort chez les palestiniens (le seul peuple au monde à qui cela arrive). En octobre ils accusaient ces gaz d’avoir provoqué la mort d’un nourrisson de 18 mois. L’histoire n’a jamais fait les gros titres puisqu’elle ne tenait déjà pas debout (sauf pour les organisations qui militent contre l’interdiction des juifs de vivre en Israël)."

Source: JSSNews (L’affaire Abu Rahma : du grand Pallywood !, Jonathan-Simon Sellem)

Cela fait plusieurs semaines que l’Autorité Palestinienne tente et foire ses coups de soulèvements anti-israéliens. Pour cela et comme pour l’affaire Al Dura, ils mettent en scène des accusations fortes pour faire croire qu’Israël est un pays de sauvages. Dernièrement, on pourrait citer l’embuscade médiatique sur le "renversement d’un enfant de Jérusalem-Est" ou encore plus récemment le cas "Abu Rahma". Fort heureusement, Charles Enderlin et Huggy les bons tuyaux (son cadreur) passent la main (petit à petit) et ne peuvent plus promouvoir les mensonges aussi gros qu’ils ne le faisaient par le passé. (Comme l’a remarqué Joël dans les commentaires, «pour la petite histoire, le nom de famille du caméraman est Talal Hassan Abu Rahma… La lutte contre Israël est une affaire de famille chez les "Abu Rahma"»).  Hier nous expliquions pourquoi nous doutons de la thèse palestinienne officielle qui dit qu’Israël a tué une femme non armée lors des confrontations de Bil’in.

Parmi nos premiers arguments :
- Pourquoi les palestiniens refusent d’ouvrir une enquête conjointe sur la mort de la victime avec Israël ?
- Pourquoi refusent-ils une autopsie par des experts internationaux ?
- Pourquoi le dossier médical est-il consultable par les organisateurs de la manifestation mais pas par Israël (enfin, ils disent l’avoir consulté mais il semble surtout qu’ils savent parfaitement répéter les histoires qu’on a bien voulu leur raconter).
- Les FDI ont reçu un rapport palestinien indiquant que 2 manifestantes ont été traitées pour inhalation de gaz lacrymogène. Le vendredi soir, Tsahal apprenait que les Palestiniennes étaient saines et sauves et avaient pu rentrer chez elles. Le samedi, nouveau rapport : l’une des deux est morte !

- Malgré ce rapport, un organisateur (Jonathan Pollak) affirme que "Rahma était inconsciente quand elle est arrivée à l’hôpital et qu’elle n’a jamais repris conscience".
- Comment Pollak connait-il la composition du gaz lacrymogène utilisé par Tsahal (puisqu’il dit qu’elle est mort à cause de substances retrouvées dans du gaz lacrymogène) ?
- Comment cette manifestante peut-elle avoir été tuée par Tsahal puisque son cousin affirme qu’elle était chez elle au moment des faits (à un demi kilomètre des affrontements) ?
- Tout devient encore plus suspect et étrange quand on lit : "La cause de la mort est une asphyxie due au gaz lacrymogène mélangé à du phosphore".

A toutes ces questions préalables, il faut désormais répondre à toute une série de nouvelles interrogations qui ne font que me renforcer dans mes convictions.  [...]

L’ambassade d’Israël à Paris explique que "l’enquête actuelle indique que son analyse de sang a été effectuée à l’hôpital -, mais une heure avant que l’on signale son arrivée. Contrairement à ce que disent les Palestiniens, Abou Rahma avait également des antécédents médicaux – et était atteinte d’un cancer. Pour preuve, son dossier médical, dans lequel il est fait état de nombreux médicaments, habituellement utilisés pour traiter l’empoisonnement et la leucémie".

Enfin bref… Encore du grand Pallywood !

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