mardi 3 juillet 2012

Les mensonges éhontés de l'activiste allemande anti-israélienne Irena Wachendorff

Contrairement à ce que prétendait Irena Wachendorff, ses parents ne sont pas Juifs (son père servait le IIIème Reich, il fut officier dans l’armée nazie), sa mère n'a pas été à Auschwitz, elle n'a pas fait son service militaire chez Tsahal.  Elle s'est servie de la Shoah à des fins personnelles et commerciales: «elle a utilisé cette histoire de su"Elle a utilisé cette histoire de survivante de la Shoah pour faire sa propre publicité et, dans le même temps, pour donner une vision perfide et fausse d’Israël et des Juifs."

JSS: Une activiste allemande anti-israélienne, par ailleurs poétesse, a finalement reconnue ces dernier jours s’être inventée une vie pour paraître «non-antisémite». Parmi ses mensonges : son service dans Tsahal, son appartenance au Judaïsme, sa mère à Auschwitz, son père conseiller d’un rabbin… Que du très lourd!

«J’ai dit que j’étais dans l’armée israélienne, mais c’était un mensonge», a donc finalement avoué Irena Wachendorff, 51 ans, au Jerusalem Post. Il y a encore peu de temps, cette Allemande osait comparer Tsahal aux troupes néo-nazies et se servait de son ancienne appartenance à l’armée israélienne pour appuyer son point de vue. Elle avait par ailleurs exprimé tout son soutien au mouvement terroriste palestinien Hamas.

Mais la petite menteuse en devient une encore plus grande quand on retrace toutes ses affirmations. Wachendorff affirmait en outre que son père était «un Juif qui s’est enfuit d’Angleterre en 1936, et sa mère a survécu à Auschwitz».  Oui mais voilà, journaliste d’investigation au Post, Jennifer Pyka affirme avoir obtenue des preuves qui contredisent le lien entre Wachendorff et le judaïsme. Pire encore: son père servait le IIIème Reich dans l’armée nazie et sa mère dément avoir été incarcérée à Auschwitz.


Au pied du mur, la mythomane anti-israélienne avoue: «mon père était en effet officier dans la Wehrmacht et non conseiller d’un rabbin et Tsadik».  Par ailleurs, contrairement à ce que disait la coupable, «aucun numéro n’a jamais été tatoué sur le bras de sa mère, comme ce fut le cas pour tous ceux qui entraient dans les camps».

Selon les recherches de la journaliste du Post, il n’y a pas non plus la moindre preuve de l’attache de Wachendorff au judaïsme: « elle dit qu’elle se sent juive et qu’elle est membre d’une communauté libérale. Rien ne le prouve et personne ne la connaît».

Pyka a ainsi vivement critiqué Wachendorff pour s’être servi de la Shoah à des fins personnelles et commerciales: «elle a utilisé cette histoire de survivante de la Shoah pour faire sa propre publicité et, dans le même temps, pour donner une vision perfide et fausse d’Israël et des Juifs », affirme la journaliste.

De plus, la CDU (Union des Démocrates Chrétiens, parti de la Chancelière Merkel) a augmenté ses critiques contre Wachendorff ces derniers jours, accusant la mythomane d’avoir transformé son mur Facebook en «un pôle d’attraction pour Jihadistes aux commentaires antisémites, pour les ennemis d’Israël et les membres de l’extrême gauche». On pouvait par exemple lire sur le mur de cette femme, il y a encore quelques heures, que « les Juifs riches, souvent industriels, ont planifié l’holocauste afin de créer Israël».

Dans un autre poste on peut lire que si «l’UsRael (Etats-Unis et Israel) attaquent, je me transformerait en kamikaze, pas pour des motifs islamiques, simplement pour des motifs humanitaires ». Il faut croire que se faire sauter au milieu des Juifs est humanitaire!

Finalement, Irena Wachendorff a fermé son compte Facebook ce week-end…

Delphine Haziza – Tiré d’un article de Benjamin Weinthal – JPOST - JSSNews

2 commentaires :

Monique a dit…

Définition du faux juif mais vrai antisioniste :

1 - Il y a ceux qui s'inventent comme cette dame un ou des parents juifs pour essayer de légitimer leur antisionisme : il y en a beaucoup plus qu'on ne le croit.

2 - Il y a ceux qui n'ont qu'un père juif ou grand-père juif comme Stéphane Hessel et qui par cette filiation n'arrête pas de crier haut et fort qu'il est juif (alors que la religion juive est transmise par la mère) donc qu'il "aime" les juifs même s'il haït Israël, créé pourtant pour les juifs, peuplé par des juifs (80%) et seul terre de refuge des juifs. Cette filiation soi-disant juive est mise en avant pour "excuser" des propos haineux vis-à-vis d'Israël : que de mauvaise foi.

3 - Et puis, il y a ceux qui, malgré le fait qu'ils soient nés d'une mère juive ou d'une mère et d'un père juifs, détestent Israël, c'est-à-dire leur propre peuple, c'est ce que j'appelle les traîtres.

Je ne suis pas juive mais par mon amour pour le peuple juif et Israël, je me sens plus juive que tous ces faux juifs dans mon coeur et mon âme.

Anonyme a dit…

Les ‘Haredim, la Shoah et le discours politique en Israël, Pierre Itshak Lurçat


http://vudejerusalem.20minutes-blogs.fr/archive/2012/01/07/les-haredim-la-shoah-et-le-discours-politique-en-israel-pier.html