Contexte: La saga de l’été : une veuve blonde, un labo suisse, Arafat, SIDA, pas SIDA ? En tout cas pas le polonium..., par Hélène Keller-Lind et Gérard de Villiers et la mort d'Arafat: la Palestine est un mot obscène pour les dirigeants israéliens.
Le politologue Barry Rubin du Gloria Center revient sur les accusations par la jet-setter millionnaire et veuve d'Arafat que son mari a été empoisonné. Barry Rubin démontre que ces accusations s'inscrivent dans une perspective bien plus large et sinistre que le débat complotiste sur le dossier médical d'Arafat.
Festival culturel (PLO) en présence du ministre de la 'Culture' de l'Autorité palestinienne: "Hier ils [les Juifs] ont crucifié Jésus; aujourd'hui il ont empoisonné le père, le sage [Arafat]". |
Il est clair que les observateurs occidentaux ne sont pas au conscients de ce narratif — pourtant répété quotidiennement dans les mosquées du Moyen Orient lors de sermons qui incitent à la haine des Juifs. Un tel manque de connaissance les conduit naturellement à croire que le conflit est facile à résoudre et que de nouvelles concessions israéliennes permettraient de le régler rapidement et que si'l se prolonge c'est en raison de la politique israélienne. Or les causes sont beaucoup plus profondes et les solutions bien plus hors de portée qu'ils ne le pensent.
Une des obsessions des sociétés occidentales aujourd'hui est de traquer partout le racisme et la propagande incitant à la haine d'autrui. Eh bien, l'idée que les Juifs ont assassiné Arafat (plutôt qu'Arafat a passé la majeure partie de sa carrière à assassiner des Juifs) tombe dans cette catégorie."
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