La bassesse absolue du "mouvement palestinien" est difficile à appréhender pour nous qui avons grandi dans des sociétés civilisées, comme les Etats-Unis et Israël. C'est la raison pour laquelle beaucoup d'entre nous les croyons quand ils parlent de sujets comme les droits de l'homme ou la justice.
Mais de occasionnellement l'opportunité nous est donnée de voir ce qui se cache derrière cette façade.
Même la police et le personnel de sécurité en Israël, qui ont vu des choses terribles, ont été choqués l'année dernière par l'assassinat sadique de cinq membres de la famille Fogel commis par deux adolescents palestiniens arabes, Amjad et Hakim Awad, deux cousins du village de Awarta. Ils ont même tranché la gorge d'un bébé de quatre mois.
Arrêtés après une traque intensive, les Awad onté jugés, reconnus coupables et condamnés à des peines de prison à vie multiples.
On aurait pu s'attendre à ce que la réaction officielle palestinienne - après tout ils préparent leur demande d'adhésion aux Nations unies - soit une formule du genre "nous condamnons l'extrémisme violent, même si nous comprenons leur frustration, etc". Mais non et ils ne font même pas semblant. La réaction officielle est de considérer ces hommes qui ont commis une boucherie sont des héros!
La voici rapportée par "Palestinian Media Watch", une organisation de surveillance des médias basée en Israël :
La présentatrice: "Nous avons un appel de la famille du prisonnier Hakim Awad. Bonsoir."
La mère d’Hakim Awad : "Bonjour. Merci de me mettre en relation avec mon fils, parce que, pour des raisons de sécurité, moi et ma famille avons reçu l’interdiction de lui rendre visite."La présentatrice: "Vas-y ma sœur, nous pouvons transmettre ta parole."
La mère d’Hakim Awad: "Mes salutations au cher Hakim d'Awarta, la prunelle de mes yeux, qui à 17 ans a effectué l'opération à Itamar (tuant 5 membres de la famille Fogel), et a été condamné à 5 condamnations à perpétuité et 5 ans de prison."
La tante d’Hakim Awad: "Bonsoir. Je suis la sœur du prisonnier Hassan Awad et de Salah Awad. Je suis Umb Habib d’Awarta. Mes chaleureuses salutations à tous les grands prisonniers héroïques, à mon frère Hassan Awad, chef du conseil du village, à mon frère Salah Awad, l’héroïque journaliste fait prisonnier, au héros, lui aussi prisonnier, le lion, mon neveu Yazid Awad, et à mon neveu Hakim Awad, le héros, la légende, je vous salue."
La présentatrice: "Nous leur exprimons également nos salutations."
La tante d’Hakim Awad: "A Hassan Awad, Yazid Awad, Hakim Awad et Salah Awad, qui sont tous en prison, je leur dédis cette chanson : Mon frère, en isolement cellulaire, ta voix m’appelle. Ne jette pas le fusil, c'est ce que la patrie demande. Dans tes yeux, nous sommes tous des combattants sacrifiés. Mes salutations au son des balles d'Ahmad Saadat et Hakim Awad."
La présentatrice: "Merci d’être avec nous, la famille des prisonniers Hassan et Salah Awad, d’Awarta ."
Ce n'est pas nouveau. Selon l'ethos palestinien, tuer des civils juifs, y compris (surtout) des enfants, est non seulement légitime, mais louable. Les sympathisants de la cause palestinienne diront: "Est-ce que Tsahal n'a pas tué des enfants dans la bande de Gaza?" En fait, non. La propagande pro-arabe tend à inverser la réalité et à accuser Israël de se comporter comme des nazis, ou (ce serait plus exact) comme des terroristes arabes. La suite ICI.
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