"Bonsoir l'Europe! Je vous salue, cher continent ... Le plan a été conçu sur votre sol, les camps y furent construits et les trains les y conduisaient, les tombes ont été creusées sur votre sol, et le sang coulait dans vos fleuves. Dans un court laps de temps, vous avez éliminé une présence significative de 1000 ans de vie juive [six millions de Juifs exterminés dont un million et demi d'enfants]. Vous avez assassiné et expulsé des millions de bons et loyaux citoyens juifs. Ce n'est pas seulement eux que vous avez éliminés physiquement, vous avez avez également éliminé leurs apports à la culture, à l'économie, à l'art, aux sciences humaines, aux universités, à la littérature, à la médecine, à l'éducation, au commerce, à la banque, et à la vie en général." [Photo: enfants juifs norvégiens]
Source: Y Net News (Europe prepare for flood, Op-ed: Open letter to Europeans, who killed Jews and are now contending with radical Islam, Avi Rath)
Good evening Europe!
Hello to you, dear continent. For a while now I've been meaning to write you a few words, as a close neighbor here in the Middle East who loves traveling through your beautiful landscape, and whose roots lie deep within the continent.
You were our home for thousands of years, and especially for the past 1,000 years. We've known good times of neighborly relations as well as economic, cultural and spiritual prosperity. Yet we had also known difficult days of hatred, expulsions, humiliation, and blood libels. Oh, did we ever know such days.
Somehow, we survived; both you and us. To our regret, and shamefully for you, we were not the ones who chose to end our affair with you, dear continent. We could have maintained neighborly relations and cooperation for many more years, yet for reasons of your own you chose to put an end to this partnership, literally.
The plan was formulated on your soil, the camps were built there and the trains traveled there; the graves were dug on your soil, and the blood flowed to your rivers. Within a short period of time, you cut off a significant, 1,000-year Jewish presence. You murdered and expelled millions of loyal Jewish citizens. You eliminated not only them, but also all their contributions to the culture, economy, art, humanities, academics, literature, medicine, education, commerce, banking, and life in general.
I've been meaning to write you for a long time, yet it hasn't worked out. However, this week, after seeing two things, I decided that I must say a few words.
First, I saw reports drafted by all sorts of demography and sociology experts, who claim that within a few years, you, Europe, will be turning Muslim. In some European states, 50% of all births at this time already are Muslim. If we add this to the low birthrates of non-Muslim European - where you, the white, Christian Europe, shall turn into a Muslim continent.
You are indeed trying to engage in rearguard battles against this phenomenon – against mosques in Switzerland, against burqas in France, against immigration, and against all sorts of other things. Yet you too realize that this train cannot be stopped. Nobody will be able to forbid a Muslim woman from putting on a veil. Indeed, the liberal, enlightened, and scantily-clad European women realize that a day may come where radical Islam gains enough strength to end the party.
The second thing I saw was the travel advisories issued by many states to warn their citizens against heading to Europe for fear of terrorism. Someone already noted (and it wasn't necessarily a Jew) that while not all Muslims are terrorists, for some reason most terrorists are Muslim.
Slowly, our dear continent, you are starting to understand what you're dealing with here. You are starting to understand the kind of religion and culture brought along by radical Islam. Suddenly, you discover hatred and the culture of martyrs, as well as intolerance and isolation, alienation in the face of real democracy, and the shunning of human and women's rights.
Suddenly, radical Islam is stuck like a bone in Europe's throat. You cannot eject it – because that would immediately raise cries of racism, human rights, and the usual babble – but you cannot swallow it either, because the white, democratic, liberal and Christian European culture cannot contain such radical cultural and religious elements. It will end with a major explosion, in more than one way.
Dear continent, there is no vacuum in the world. You expelled and exterminated us, and got the Muslim world instead. At first it was nice, getting a little Mideastern atmosphere and breeze, yet with the passage of time the radical Islamic storm arrived and now threatens to sweep you away, our dear neighbor.
Now you are starting to sleep in the bed you made. Suddenly you are discovering women wearing veils, zealous eyes, and mosques at every corner. Suddenly you need to contend with high birthrates, a culture with radical characteristics which you cultivated, and terrorism and violence which you ignored. You cannot deny this for much longer. The confrontation is already here. Unfortunately we are already experts on the issue, even though here too there is no shortage of naïve, self-righteous individuals.
The first time the Creator decided to raze the world as result of our conduct, he agreed to grant humanity another chance. He asked Noah to go into the ark in order to create a new basis for the world and produce a more decent humanity. The ark was the world's chance; a momentary shelter.
So dear Europe, will you be wise enough to prepare ahead of time a physical and cultural Noah's Ark in order to survive and preserve yourself? Or will your aggressiveness, arrogance, and hypocrisy not allow you to admit to the disaster you brought upon yourself, turning into a continent living on borrowed time?
Regards,
Your Jewish neighbor from the Middle East
Ce site est dédié aux millions d'Européens qui, malgré d'incessantes campagnes de désinformation, ne croient pas que les Juifs ne sont capables que du pire; ne dissimulent pas leur antisémitisme dans le langage de l'antisionisme; et savent qu'Israël représente ce qu'il y a de meilleur dans une démocratie.
4 commentaires :
Merci Pour cet excellent article
L'Europe: terre du nazisme, du fascisme, du communisme, des buchés, des inquisitions, des pogroms, des génocides.....
fonce dans le mur !
Parce qu’il est à la fois religion et projet de société et qu’il est très difficile de dénouer ces deux aspects l’un de l’autre, où situer la "modération" et l'intégrisme ?
L’Islam tire sa force, avant tout, de la nature et du contenu de sa foi ainsi que des certitudes qui en résultent. Le monothéisme islamique est d’une grande simplicité, que traduit bien sa profession de foi : "Il n’y a de dieu que Dieu et Mahomet est son envoyé ". C’est une croyance qui repose sur une évidence venue d’En-Haut à travers le Coran, qui s’impose à l’homme, ne laisse place ni à l’interrogation, ni au doute et n’ouvre pas la voie à la recherche théologique.
Par ailleurs, ses normes morales rendent la religion islamique aisée à pratiquer parce qu’en raison de son statut de "communauté de juste milieu" (Coran 2, 143), elle se contente d’être ajustée aux capacités naturelles de l’homme.
Les "commandements" du Coran n’ont pas le caractère absolu du Décalogue. Des exceptions ou des atténuations sont toujours possibles. Cela se vérifie en ce qui concerne le respect de la vie. Le meurtre par vengeance est autorisé en vertu de la loi du talion (Coran 17, 33) ; tuer les infidèles ou les musulmans impies peut être un devoir dans le cadre du djihâd (Coran 9, 29 ; 9, 5 ; 9, 36, etc.) ; l’avortement est permis dans certains cas, en particulier lors d’une grossesse illégitime, l’honneur de la famille passant alors avant la vie de l’enfant à naître.
Quoi qu’il en soit, le mal n’apparaît vraiment comme tel que lorsqu’il constitue une violation de la Loi islamique (la charia). Le mariage musulman comporte lui aussi des facilités, telles que la permission polygamique (Coran 4, 3) et la répudiation (Coran 2, 226-232). Ce qu’il faut retenir c’est que le Dieu du Coran n’invite pas au dépassement de soi.
De surcroît, l’Islam procure une réelle sécurité spirituelle à ses fidèles. En effet, malgré certaines apparences, c’est une religion facile, qui semble contenir le minimum capable de satisfaire l’essentiel des besoins religieux de l’homme. Dans l’Islam, les exigences sont plus extérieures qu’intérieures. Il suffit en principe, pour gagner le Paradis, d’observer les prescriptions coraniques, notamment les cinq piliers : la profession de foi, la prière rituelle (cinq fois par jour), le jeûne du Ramadan, l’aumône légale et le pèlerinage à La Mecque (au moins une fois dans la vie, sauf exemptions prévues). La fidélité à ces aspects contraignants constitue donc aussi une garantie pour l’Au-delà.
Il faut ajouter que l’Islam a su résister à la désacralisation de la vie et à la privatisation de la foi. Tous les actes humains, depuis ceux qui accompagnent les grandes étapes de l’existence jusqu’aux plus insignifiants du quotidien, sont placés visiblement sous le signe de Dieu. De même, la société islamique est organisée selon des modalités voulues par Dieu. Sans être obligatoirement théocratique (cas de l’Arabie Saoudite ou de l’Iran de Khomeyni), l’Etat musulman ne peut être que confessionnel. La laïcité, concept étranger à l’Islam, est souvent assimilée à l’athéisme.
Face à un Occident sécularisé et matérialiste, qui a perdu le sens de la Transcendance divine, le monde musulman affirme donc sans complexe sa dimension religieuse. Le record de participation au grand pèlerinage, en cette année qui a suivi les attentats du 11 septembre (près de deux millions de musulmans), répond sans doute tout autant à une authentique démarche spirituelle qu’à une volonté d’affirmation identitaire. Le rendez-vous mecquois est d’ailleurs pour beaucoup de musulmans venus de tous les continents, l’occasion de faire l’expérience concrète de l’universalité de la oumma.
Au-delà des divisions politiques qui affaiblissent le monde musulman, la fraternité islamique, qui se traduit par une cohésion manifestée lors de certaines dates du calendrier religieux (ceci est valable, bien que dans une moindre mesure à cause de sa dimension locale, pour le Ramadan, toujours vécu en communauté), renvoie l’image d’une portion d’humanité forte de ses convictions, fière de son appartenance à "la meilleure des communautés suscitée pour les hommes", selon ce que Dieu dit dans le Coran (3, 110) et donc peu encline à l’autocritique sur ses actions passées et présentes.
Cette communauté "sait" de science coranique que l’Islam, destiné à l’humanité entière, triomphera au moment voulu par Dieu (34, 28-30). Certitude quant au résultat, incertitude quant à la date : si le musulman se sent ainsi invité à la patience (vertu éminente dans l’Islam), il ne s’en considère pas moins comme investi du devoir de tout faire pour hâter l’islamisation du monde. Aussi la oumma est-elle organisée à l’intérieur d’un cadre socio-juridique conçu de façon à la protéger de toute "corruption" et à assurer sa croissance numérique.
C’est ainsi qu’il faut comprendre l’interdiction coranique faite à une musulmane d’épouser un non-musulman, sauf si ce dernier embrasse l’Islam (2, 221), tandis que rien n’empêche le mariage d’un musulman avec une non-musulmane, celle-ci pouvant même, en principe, conserver sa religion.
Mais, dans ce cas, elle ne peut pas hériter de son mari, droit alors réservé aux enfants qui sont automatiquement musulmans étant donné qu’en Islam, la religion se transmet par le père. Même la Tunisie, pourtant à l’avant-garde du monde arabe pour ce qui concerne l’amélioration du statut de la femme, n’a pas supprimé cette interprétation stricte du Coran. Il s’agit là d’une pratique doublement avantageuse pour l’Islam puisqu’elle favorise l’accroissement du nombre de ses fidèles et leur enrichissement.
Si, en Europe, l’épouse chrétienne d’un musulman ne peut pas être lésée en matière d’héritage, en revanche, laïcité oblige, aucune loi n’interdit à son mari d’imposer sa religion aux enfants du couple. De même l’Eglise, en vertu du respect de la liberté religieuse, ne dispose d’aucun moyen efficace d’empêcher l’un de ses fidèles de devenir musulman pour se marier. Il est donc certain que l’augmentation du nombre d’unions matrimoniales islamo-chrétiennes constitue un facteur non négligeable de progression de l’Islam sur le Vieux Continent.
Le même souci d’assurer la pérennité de la oumma explique l’impossibilité juridique et sociologique, pour un musulman, de renoncer à l’Islam. Malgré le verset coranique qui proclame "Pas de contrainte en religion" (2, 256), il ne peut pas, formellement tout au moins - par le baptême chrétien par exemple -, opter pour une autre religion.
Des sanctions pénales et civiles s’appliquent à celui qui se rend coupable du délit de ridda, c’est-à-dire qui trahit sa communauté et apostasie sa foi. On sait qu’il peut encourir la peine de mort, non pas en vertu d’un énoncé du Coran mais en vertu d’une parole de Mahomet qui aurait dit : "Celui qui quitte la religion [l’islam], tuez-le". Or, les hadiths (faits et paroles du prophète de l’Islam) font partie de la Tradition (Sunna), laquelle a une valeur équivalente au Coran en tant que fondement du droit.
Cette sanction n’est pas inscrite dans tous les codes des pays ayant l’Islam comme religion d’Etat, mais elle demeure ancrée dans les mentalités, si bien qu’en général l’auteur du meurtre d’un apostat ne sera pas poursuivi en justice.
Quant à la propagation de l’Islam, elle peut se faire par des moyens pacifiques, comme l’appel (dawa) et la persuasion, le financement de mosquées et de centres culturels (de ce point de vue, l’argent du pétrole est considéré comme une bénédiction divine) ou la démographie.
La polygamie sert cet objectif, mais la natalité est aussi favorisée par l’attitude spirituelle des musulmans : enclins à se soumettre à la volonté de Dieu et à Lui faire confiance, ils se posent moins que les occidentaux d’aujourd’hui la question de savoir s’ils pourront pourvoir aux besoins d’une famille nombreuse. En outre, plus la femme est mère de garçons, plus elle est respectée.
Mais, par ailleurs, le recours aux armes est permis dès lors qu’il vise l’extension du règne de l’Islam. Tel est le but du djihâd dans sa définition coranique, obligation de communauté à laquelle le vrai croyant ne saurait se soustraire et qui n’a pas besoin de l’ordre explicite d’une autorité humaine constituée.
Cette conception de la oumma qui fait de ses membres des hommes et des femmes de devoirs explique les réticences du monde musulman envers la doctrine des droits de l’homme et des libertés individuelles.
Quant aux intellectuels, éclairés soient-ils, leurs propos semblent avoir du mal à sortir d’un cercle restreint, occidentalisé et habitué au dialogue interreligieux. L’Islam n’ayant pas d’autorité magistérielle, ils s’expriment sans réelle représentativité et n’ont que peu de prise sur la base.
Les premières générations d’immigrés, qui pratiquent souvent un Islam tranquille, sont peu concernées par ces débats d’idées, tandis que chez les jeunes la tendance serait plutôt à une réislamisation dogmatique et militante qui se manifeste par une affirmation identitaire et un rejet du modèle occidental, considéré comme décadent et amoral. Le port du hidjab (foulard) par les filles et les actes de délinquance commis par tant de jeunes musulmans en sont les signes les plus visibles.
Cette conception fondamentaliste est promue avec un zèle non dénué d’habileté par Tariq et Hani Ramadan, et animateurs du centre islamique de Genève. Depuis une dizaine d’années, grâce à un réseau associatif efficace, l’un des deux, Tariq, passe de ville en ville pour confier à la jeunesse musulmane d’Europe une mission, celle de donner aux sociétés matérialistes et déchristianisées une âme, musulmane bien entendu. Les éléments idéologiques et religieux sur lesquels repose la force de l’Islam dans son aire traditionnelle, négligés, refoulés ou parfois rejetés par les premiers musulmans venus vivre en Europe, font l’objet d’une réappropriation par leurs enfants qui sont pourtant nés dans un milieu non islamique.
Que faut-il en conclure, sinon que cette force resurgit dans un contexte d’affaiblissement spirituel, moral et politique, et qu’elle s’en nourrit ? Là réside le cœur du problème. Les sociétés européennes, qui ont oublié ou renié leur héritage religieux, sont-elles prêtes à répondre à cette "interpellation de l’histoire" ?
Enregistrer un commentaire