mercredi 13 octobre 2010

Il y a 10 ans, lynchage de deux réservistes israéliens à Ramallah

Oui, c’était un 12 octobre, il y a 10 ans déjà. Et chaque année depuis, il m’est impossible d’oublier que Vadim Norzich (Z’’L) et Asi Avrahami (Z’’L), ces deux jeunes réservistes israéliens, nouvellement mariés et pères de famille, entrant involontairement dans Ramallah, furent aussitôt arrêtés par l'«Autorité palestinienne», émanation des criminels «accords» d’Oslo, dirigée par le non moins criminel Arafat, le plus grand tueur de Juifs depuis la seconde guerre mondiale (1). Et chaque année depuis, je reprends ce que j’écrivis à l’époque en actualisant avec de nouveaux événements !

Au lieu d’être reconduits à la frontière, comme le stipulaient lesdits «accords» d’Oslo, les 2 Israéliens furent menottés et emmenés au poste de police. La foule, la populace devrais-je plutôt écrire, défonça la porte du bâtiment, y entra et, aidée par certains policiers, oui, vous avez bien lu, certains policiers, s’acharna sur les deux malheureux avant de les défenestrer et de traîner leur corps démembrés dans les rues.

lynchage-2.jpg La scène du massacre fut filmée par un caméraman italien (2) et il nous fut donné de voir à la télévision l’horreur dans l’horreur, la sauvagerie dans la sauvagerie, la sauvagerie à l’état pur ! Mais, volontairement, tout ne fut pas montré tellement l’acharnement de ces sauvages était insoutenable.

En effet, avant d’être lynchés, les malheureux Israéliens auraient été violés puis frappés à la tête à coups de poings, de pieds, de crosses de fusils. Le crâne de l’un d’eux éclata et, à nouveau, mais tout est nouveau avec ces sauvages, horreur dans l’horreur, le cerveau fut sorti à mains nues et montré à la foule hurlant de haine et applaudissant.

J'ai toujours en mémoire l’image de ce jeune Arabe fier de lui, à la fenêtre du commissariat, montrant ses mains rouges du sang des malheureux Israéliens qui venaient d’être battus à mort et défenestrés.

J'ai toujours en mémoire les corps informes, disloqués et horriblement mutilés des deux Israéliens que ces sauvages continuaient à piétiner et à traîner dans les rues de Ramallah attachés au pare-chocs d'une voiture à la grande joie des enfants arabes amenés sur place pour assister au « spectacle » et de toutes ces femmes distribuant des gâteaux et poussant des «you-you» hystériques, stridents, joyeux et triomphants. Que fit Israël face à cet acte de barbarie d'un autre âge ?
Lire la suite sur le site JerusalemPlus.tv, par Charles Etienne NEPHTALI (merci à JPD)

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