Jeu anti-Israël financé par l'Union européenne est lancé par une ONG israéliennne

Source: CIF Watch (Une ONG israélienne subsidiée par l'Union européenne lance un jeu vidéo (dans ce qui s'apparente à une tentative de capturer le marché de diabolisation d'Israël pour adolescents) :  EU-funded Israeli NGO launches anti-Israel video game (in an apparent attempt to capture the teen Demonization market)


L'ONG israélienne Gisha - qui a pour objectif déclaré de "protéger la liberté de mouvement des Palestiniens" - a lancé jeu en ligne "Safe Passage". Gisha compte parmi ses généreux donateurs le New Israel Fund, l'Union européenne, la Norvège, les Pays-Bas, l'Irlande, l'Allemagne, [il est indispensable de souligner que l'Amérique ne finance pas ce type de projets visant à délégitimer Israël - ni le peuple américain, ni son gouvernement, ni les association juives ne le permettraient], Oxfam GB etc.  Gisha est une des ONG qui utilisent la rhétorique de l'apartheid contre Israël [lire l'article en anglais]. 

Le jeu en fait suggère qu'ATTENDRE À LA FRONTI`ÈRE est une violation des droits humains.  Il est clair que si cela était établi, les fonctinnaires des douanes des US, du Canada, et du Mexique seraient immédiatement arrêtés et envoyés à la Haye.

Comme la plupart des jeux vidéos interactifs modernes, on peut choisir un personnage. Adam Levick, l'auteur de l'article, a choisi l'un des très sympatiques et nombreux fabricants de crème glacée de Gaza :

Un beau jour, son personnage conçoit le projet de commencer à expédier ses excellentes glaces aux enfants de Cisjordanie :

En Cisjordanie, les enfants attendent avec impatience l'arrivée des bonnes glaces, bien parfumées et bien crémeuses, fabriquées à Gaza.

Héles, les Israéliens ne permettent pas que le rêve des ces enfants se réalise:

La réalisation de cette vidéo, que j'aimerais intituler affectueusement "Israël refuse la crème glacée aux enfants", a été possible grâce à l'aide généreuse de l'Union européenne ... mais celle-ce n'en assume pas la responsabilité ... :

Pour avoir une idée de la prose de Gisha, lire Israël assure la mort économique de Gaza (2007)