Source : Solomonia
C'est sympa d'être au courant des projets que les Européens financent en Palestine. L'agence de presse palestiniennne Ma'an rapporte les propos du belge Marc Otte, envoyé spécial de l'Union européenne au Proche-Orient pour le processus de paix israélo-palestinien, à l'occasion de la visite d'un commissariat de police à Bethléem financé par l'Union européenne (EU: Police project to help Jerusalem become Palestinian capital)
"[...] I know that a political solution include the resolution of other problems like refugees, Jerusalem, as east Jerusalem should become the capital of the Palestinian state. All that needs to be done ... I think the honor of the police is to have started to be pioneer in creating the condition for that state," he continued [...]."
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Par ailleurs, le quotidien La Libre Belgique, qui publie beaucoup sur Israël en évitant soigneusement le moindre article un tant soi peu favorable à ce pays, fait paraître aujourd'hui une "opinion" de Pierre Piccinin, collaborateur scientifique à l'Université Libre de Bruxelles et professeur d'histoire et de sciences-politiques à l'Ecole européenne de Bruxelles I. Celui-ci s'insurge contre l'octroi du prix Nobel au Président Obama. Voici un extrait:
"[...] s’il [Obama] a effectivement convaincu le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas de poser avec lui pour la photo à New York, M. Obama n’est cependant nullement intervenu pendant que les bombes s’abattaient sur les populations civiles de Gaza. Et son action aurait même plutôt empêché toute condamnation d’Israël par les Nations unies. Mais n’avait-il pas affirmé : "Si quelqu’un lançait des roquettes sur ma maison la nuit ( ), je ferais tout mon possible pour l’en empêcher" ? Résultat : plus de mille morts et de cinq mille blessés."
Le 28/09/2009, LLB publiait une autre tribune de Pierre Piccinin à laquelle nous avons fait référence : La Libre Belgique: pas de trêve de Kippour dans le dénigrement d'Israël.
Ce site est dédié aux millions d'Européens qui, malgré d'incessantes campagnes de désinformation, ne croient pas que les Juifs ne sont capables que du pire; ne dissimulent pas leur antisémitisme dans le langage de l'antisionisme; et savent qu'Israël représente ce qu'il y a de meilleur dans une démocratie.
mercredi 14 octobre 2009
EU: Police project to help Jerusalem become Palestinian capital
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1 commentaire :
Le programme EUPOL COPPS représente 40 millions d'euros pour les formations et les équipements en 2009, et le même montant pour 2010 !
A voir : European Commission Technical Assistance office.
http://www.delwbg.ec.europa.eu/en/
funding/pegas_documents.htm
Pour mémoire, pendant la campagne présidentielle de 1992, Bill Clinton a dit : " Je reconnais Jérusalem comme une ville indivisible, la capitale éternelle d’Israël, et je crois dans le principe de déménager notre ambassade à Jérusalem. " Il n’a pas réitéré cette opinion durant la présidence et, en conséquence, la politique officielle des États-Unis demeure sur le fait que le statut de Jérusalem est une question de négociation.
Dans un effort pour changer cette politique, le congrès a voté massivement " The Jérusalem ambassade Act de 1995 ". Ce projet de loi historique dans une déclaration officielle sur la politique américaine, stipule que Jérusalem devrait être reconnue comme l’indivisible capitale éternelle d’Israël et exigeait que l’ambassade des États-Unis s’établisse à Jérusalem au plus tard en mai 1999. La législation comportait également une "option" permettant au président américain d’ignorer l’essentiel de la législation s’il juge que c’est dans le meilleur intérêt des États-Unis et donc annuler la dérogation. Le président Clinton a exercé cette option.
Pendant la campagne présidentielle de 2000, George W. Bush a promis qu’en tant que Président, il "commencerait le processus de déménagement de l’ambassade des États-Unis dans la ville que Israël a choisi comme capitale " (Discours à la Conférence Politique de l’AIPAC, 22 mai 2000). En tant que Président, cependant, il a continué comme ses prédécesseurs, la politique d’annulation des dérogations pour éviter l’implémentation de la législation.
Conclusion : que les palestiniens cessent de fantasmer sur Jérusalem, de même que tous les dirigeants qui se croient investis d'une mission pour régler ce problème, à la place des Israëliens. C'est à Gaza, qu'il faut investir, pour former une police civile !
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