Mais y a des tonnes d'experts et d'expertes en Israël-bashing, dont une grande partie sont juifs, et l'offre a fini par surpasser largement la demande (il est vrai que le sujet intéresse peu les gens, comme s'en est plaint le belge Michel Collon). Les anciens experts et expertes pérorent depuis des lustres et ne sont pas près de céder leur glorieuse place au soleil de la haine d'Israël voire de la judaïté aux nouveaux venus.
L'une de ces stars, le professeur américain Norman Finkelstein, qui avait eu, il faut le rappeler, le "courage" de dénoncer les ploucs du BDS, se plaint d'avoir été complètement mis à l'écart par ceux qui l'adulaient naguère. Personne ne veut de lui dans le milieu académique, personne ne lit ses livres, personne ne le publie.
Pire, explique-t-il, de nos jours, Facebook, les tweets et les SMS contribuent démocratiser l'Israël-bashing et enlever le monopole de l'industrie de l'industrie de l'Israël-bashing aux grands experts (Dieudonné en est un bel exemple...):
"Somebody said to me yesterday you should write a book on the Palestine industry, because so many people are capitalizing on the Palestine struggle and making a career, and I said “Write a book?” [Nowadays] you do two text messages, three tweets, and one Facebook posting".
Finkelstein avait deux espoirs de pouvoir poursuivre sa brillante carrière d'Israël-basher: l'Iran et la Turquie. Il semble qu'il ne lui reste que la Turquie, l'Iran n'étant plus intéressé ou ayant trouvé mieux que lui.
Pauvres Israël-bashers - c'est la crise, c'est le chômage. La blogosphère est en train de vous supplanter.
@ Israelly Cool: Norman Finkelstein Hits Hard Times.
1 commentaire :
Le sort de tous les traîtres de tous les pays et de toutes les religions est toujours le même depuis la nuit des temps. Rejetés par leurs soi-disant amis et rejetés par leurs anciens coreligionnaires, ils n'ont que deux solutions : la disparition ou la mort.
Les traîtres sont légion dans la communauté juive mais ils ne sont jamais arrivés à leurs fins, c'est-à-dire détruire l'identité, la religion, la patrie juives, parce que, à la fin du combat, ils disparaissent toujours.
Pour leurs amis antisionistes, ils resteront toujours des juifs et ces "amis" ne les protègent pas au moment venu et quant aux juifs, ils ne veulent plus de ces individus, qui menacent leur existence, en leur sein et ne les protègent pas non plus.
Alors, avis aux amateurs : ils ont tout à perdre mais ne le savent pas par bêtise.
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