dimanche 16 février 2014

Peter Hitchens: la Cisjordanie a besoin de Scarlett Johansson et non des dogmes d'Oxfam

Le Daily Mail a publié une opinion pleine de bon sens de Peter Hitchens, l'un des plus grands éditorialistes britanniques.  Hitchens évoque sa rencontre avec un Arabe israélien qui regrette le temps où le monde ne se mêlait pas d'imposer la paix aux deux peuples qui vivaient dans une relative harmonie: "le bon vieux temps avant qu'on ne nous impose 'la Paix'".  Quand les Arabes se rendaient en Israël pour y travailler et faire vivre leur famille en toute dignité plutôt que de dépendre de l'aide internationale.  Et que les Israéliens profitaient de la vie nocturne du bord de mer à Gaza qui n'était pas encore sous la férule des islamistes du Hamas. C'est pour ça que Peter Hitchens donne raison à Scarlett Johansson contre Oxfam qui l'a condamnée pour avoir fait de la publicité pour l'usine SodaStream qui appartient à des Israéliens et où Palestiniens et Israéliens travaillent en parfaite harmonie.  N'en déplaise aux ONG comme Oxfam.

THE WEST BANK NEEDS SCARLETT JOHANNSON, NOT DOGMA

One of my favourite people in the Middle East is a witty and wry Arab citizen of Israel (yes, they do exist and very interesting they are too). On my last visit to Jerusalem, he drove me up to Ramallah through the wearisome security barriers that now divide Israeli territory from the West Bank.
And he sighed: ‘Oh, for the good old days before we had “Peace” .’ What he meant was that, until the world began seeking to solve the Israeli-Arab question, the two peoples lived reasonably happily together.

Arabs worked in Israel, crossing freely backwards and forwards and supporting their families instead of relying on political handouts.  Incredibly, Israelis used to go to Gaza (now behind an impassable barrier) for its beach-front nightlife (now suppressed with Islamic ferocity).

Actually, some of this sensible human pragmatism has recently begun to return. Israeli settlers help Arabs decode the Hebrew labels in a cut-price supermarket on the road to Nablus. Tamallah’s town centre, once gruesomely adorned with the dangling corpses of alleged collaborators, is now a pleasant spot for an evening out. It has a shopping mall with a cinema multiplex, just as Israeli towns do.  This is why I side with Scarlett Johansson, left, and against Oxfam, which has condemned her for promoting an Israeli-owned factory in the West Bank.

She is right. Helping to promote and sustain the normal things of life – work, homes, ordinary pleasure, mutual interdependence – is the road to peace. Oxfam’s dogmatic utopian desires lead to murder and terror. Oxfam was not founded to preach politics, but to relieve hunger. It should go back to doing that, and I for one won’t give it another penny until it does.

1 commentaire :

Anne juliette a dit…

Proverbe : "Le mieux est l'ennemi du bien".
Le monde entier veut imposer, en faisant pression sur leurs dirigeants, la paix aux palestiniens et aux israëliens de la rue sans qu'ils aient leurs mots à dire. C'est devenu même une obsession occidentale et je pense que c'est cette attitude qui a permis le développement de mouvements terroristes à Gaza, comme l'obsession du conflit du Proche-Orient a permis un Merah en France.
Pour eux, cette paix décidée par tous les autres sauf par eux, sera alors amère comme un fruit empoisonné, et cette guerre finale que veut mener les islamistes, ne sera pas la leur mais les enterrera tous.
Ils seront sacrifiés sur l'autel de la paix...et de la guerre.