"I would remind this House that the so-called fact-finding commission was the creation of one of the United Nation's most flawed bodies, the Human Rights Council, which includes some of the UN's least democratic states. In commissioning this study, the Human Rights Council pre-emptively assumed Israel's culpability. This government has never equated Israel, a democratic state, with terrorists groups which seek to destroy both it and its people." (Hon. Peter Kent, Minister of State of Foreign Affairs)L'administration Obama et le Canada ont critiqué le rapport Goldstone de l'ONU sur la guerre de Gaza et défendent le droit d'Israël à se défendre. A la différence des dirigeants européens qui gardent le silence le plus absolu.
Source: UN Watch
Canada slams U.N.'s Goldstone report for "pre-emptively assuming Israel's culpability"
Au Parlement canadien le 17 septembre
Mr. James Lunney (Nanaimo-Alberni, CPC):
Mr. Speaker, this week the UN Human Rights Council released its latest anti-Israel missive.
The Goldstone report began with a mandate to condemn the Jewish state in a process that Canada and many other nations would not support. The report accuses Israel of war crimes in the recent Gaza conflict.
Regrettably, war crimes is the same claim made by the Leader of the Opposition during the conflict with Hezbollah in Lebanon.
Could the minister of state please inform this House what the government’s response is to this report?
Hon. Peter Kent (Minister of State of Foreign Affairs (Americas), CPC):
Mr. Speaker, I would remind this House that the so-called fact-finding commission was the creation of one of the United Nation’s most flawed bodies, the Human Rights Council, which includes some of the UN’s least democratic states.
In commissioning this study, the Human Rights Council pre-emptively assumed Israel’s culpability. This government has never equated Israel, a democratic state, with terrorist groups which seek to destroy both it and its people.
Mr. Speaker this government will continue to remind Canadians and members opposite that it is one thing to offer supportive words to Israel when it’s convenient, and quite another to stand firm in its hour of need.
- L'Administration Obama critique le rapport de l'ONU sur Israël
1 commentaire :
Le juge Goldstone, en tant que chef de la Commission a insisté lourdement sur le fait que cette dernière ne menait pas une enquête judiciaire et que, par conséquent, “elle ne pouvait pas aboutir à des conclusions juridiques”. Il a justifié, sur cette base, l'inclusion des membres partisans de la commission, admettant que leur implication “ne serait pas appropriée pour une enquête judiciaire”. Ce rapport est par nature, cependant, fortement juridique, aboutissant à des accusations de culpabilité conclusives et comprenant des “conclusions légales détaillées”, même en l'absence d'informations sensibles provenant des renseignements qu'Israël ne s'est pas senti capable de fournir. Ces résolutions sont présentées bien que le rapport admette qu'il “ne prétend pas atteindre la norme des preuves applicables dans les procès pénaux”.
Dans un rapport qui repose si lourdement sur les organisations des droits de l'homme en Israël et qui fait aussi appel à la Cour suprême israélienne sur des questions sensibles de sécurité, une attention considérable est donnée à la “répression des dissidents en Israël”. Il fonde sa revendication en grande partie sur le fait que la majorité des israéliens a soutenu l'opération militaire, présupposant qu'Israël a “créé un climat politique dans lequel les dissidents ne sont pas tolérés”. La notion que la plupart des israéliens ont sincèrement soutenu ces opérations afin de mettre un terme à des années d'attaques continuelles de roquettes et de missiles contre les civils israéliens ne semble pas avoir été envisagée par la Commission.
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