vendredi 5 avril 2013

"Islamophobes?", l'antiracisme est devenu une escroquerie intellectuelle et financière

C'est également au nom de l'antiracisme que les autorités belges francophones financent généreusement l'Association Belgo-Palestienne Wallonie-Bruxelles qui est une officine présidée par Pierre Galand et qui distille depuis des décennies la haine d'Israël.  Voici un excellent texte d'Alain Destexhe, député MR @ La Libre Belgique.  Il est clair que ce fut une erreur impardonnable d'avoir instrumentalisé - chez certains cyniquement chez d'autres par naïveté - la Shoah pour combattre l'extrême droite.  

L'antiracisme est aujourd'hui devenu une escroquerie intellectuelle et financière. Elle vise à nous convaincre que notre société est fondamentalement raciste et xénophobe.

Selon un titre de "La Libre" de ce mardi (26/3/2013), "les Européens (sont) toujours islamophobes". Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, nous découvrions, stupéfaits, l’horreur de la Shoah. La Solution finale fut un traumatisme tel que les démocrates européens se firent la promesse de ne plus jamais vivre pareille tragédie. Des mouvements antiracistes émergèrent et imposèrent au fil du temps une ligne rouge invisible: le politiquement correct.

Ces trente dernières années, concomitamment à l’explosion de nos flux migratoires, celui-ci n’a cessé de censurer tout débat sur des sujets de société pourtant fondamentaux : la neutralité, l’immigration, l’intégration, la sécurité. Le combat antiraciste, créé pour servir de garde-fou contre la résurgence de l’extrême-droite, devenait soudain le porte-drapeau d’une idéologie vouant à l’excommunication quiconque tenterait de remettre en cause la fuite en avant initiée par la gauche dans les domaines précités.  L’antiracisme est aujourd’hui devenu une escroquerie intellectuelle et financière. Elle vise à nous convaincre que notre société est fondamentalement raciste et xénophobe. Il faut être vigilants, sinon la bête nauséabonde, l’hydre du fascisme serait prête à resurgir. Drapée d’une légitimité établie grâce au soutien de la gauche (avec des objectifs électoralistes évidents), son idéologie est petit à petit devenue la doctrine officielle de nos institutions.

L’antiracisme s’est également mué en un business totalement subventionnné. Les organisations qui s’en font une spécialité ont comme caractéristique de ne compter quasiment aucun militant bénévole mais d’être animées par des permanents salariés qui ne vivent que de la générosité publique. Ils utilisent ces fonds pour convaincre ceux qui les financent, les contribuables, que ces derniers sont bourrés de préjugés, des salauds potentiels plus ou moins (in) conscients de cet état, tout en véhiculant leur propre idéologie (dans laquelle se retrouvent, pêle-mêle, la régularisation des sans-papiers, les accommodements raisonnables ainsi qu’une promotion du multiculturalisme, du relativisme culturel, de relents de tiers-mondisme ainsi que la promotion d’une société fondée sur le communautarisme).

Les partis du centre ou de droite n’osent pas remettre en cause ces subventions inutiles. Le traumatisme de la Shoah évoqué plus haut les convainc inconsciemment qu’ils doivent, eux aussi, absolument apparaître à la pointe de l’antiracisme.
D’autant plus que les "gardiens du politiquement correct" les soupçonnent en permanence d’avoir des arrières-pensées troubles et de flirter avec le racisme (alors que la pureté des intentions est consubstantielle à la gauche). De soi-disant rapports objectifs, largement relayés par les médias, cherchent régulièrement à nous culpabiliser en nous démontrant à quel point nous serions fondamentalement et ouvertement racistes et xénophobes.  [...]

1 commentaire :

Anonyme a dit…

SOS racisme est une officine du PS à la sensibilité sélective.

http://24heuresactu.com/2013/01/22/ps-les-droles-de-comptes-de-sos-racisme/

http://www.youtube.com/watch?v=MX8SljhtqI4

Il y a des rentiers de l'antiracisme comme Harlem Désir.

http://www.liberation.fr/societe/0101262059-les-salaires-embarrassants-de-harlem-desir-avec-un-autre-ex-responsable-de-sos-racisme-il-comparaissait-hier-devant-le-tribunal

L’antisémitisme de l’extrême-gauche (on peut y inclure les écologistes) n'a rien à celui de l’extrême-droite.

Pour les premiers, il se cache derrière un antisionisme radical.
Financé souvent avec l'argent public.

http://pcf-morbihan.over-blog.com/pages/UN_BATEAU_POUR_GAZA-5188304.html

http://www.europe-israel.org/2011/03/bateau-pour-gaza-sncf-le-comite-dentreprise-cgt-de-la-sncf-persiste/

http://europeecologie.eu/La-deuxieme-Flottille-de-la

Franco