RFI: Les soulèvements populaires qui ont secoué l’Afrique du Nord et le Proche-Orient ces dix derniers mois ont coûté près de 56 milliards de dollars selon une analyse se basant sur les données du Fonds monétaire international (FMI) réalisée par le cabinet de consultants Geopolicity. La Libye et la Syrie où les conflits les plus violents perdurent supportent le plus gros de la charge, suivies par l’Egypte, la Tunisie, Bahreïn et le Yémen.
Fin 2010, ce qui devait prendre le nom de «printemps arabe» touchait la Tunisie. Puis, de semaine en semaine, des soulèvements populaires se sont produits en Libye, en Syrie, en Egypte, à Bahreïn et au Yémen. Mises à part les pertes humaines importantes et inestimables, Geopolicity a évalué les pertes de revenus des pays les plus touchés à 55,84 milliards de dollars.
Une note salée
Le cabinet Geopolicity détaille ainsi l’impact qu’a eu le «printemps arabe» sur chaque pays tout en précisant bien qu’il ne s’agit que d’un bilan provisoire compte tenu de la difficulté à accéder à certains indicateurs économiques et de la situation qui demeure instable dans ces pays :
On peut voir que le produit intérieur brut de ces six pays (PIB) a subi une perte de 20,56 milliards de dollars alors que leurs finances publiques se voyaient priver de plus de 35 milliards de dollars du fait de la baisse des recettes et de la hausse des dépenses. Lire la suite ICI
Une note salée
Le cabinet Geopolicity détaille ainsi l’impact qu’a eu le «printemps arabe» sur chaque pays tout en précisant bien qu’il ne s’agit que d’un bilan provisoire compte tenu de la difficulté à accéder à certains indicateurs économiques et de la situation qui demeure instable dans ces pays :
Geopolicity |
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