"Mais la passivité (pour employer un euphémisme) de l'Autorité palestinienne et l'incitation incessante du Hamas maintiennent à feu doux la haine extrême et la culture de mort qui permettent qu'une famille de cinq personnes soit égorgée dans son sommeil. Et qu'on ne vienne pas me dire qu'être colon ou ne pas être colon peut servir de justification pour atténuer la gravité du crime. Car penser ainsi c'est se mettre à un niveau proche de celui de l'auteur du crime."
Source: Rua da Judiaria (Um crime inqualificável par Nuno Guerreiro, traduit du portugais)
Udi Fogel (37 ans), Ruth Fogel (36 ans), et leurs enfants Yoav (10 ans), Elad (4 ans) et Hadas (3 mois) ont été tués vendredi soir pendant qu'ils dormaient. Le crime a été perpétré par un terroriste palestinien [l'enquête progresse et il semblerait qu'il y ait eu plusieurs terroristes] des Brigades d'Al-Aqsa (voir 'Al Aqsa Martyrs Brigades claims responsibility for attack').
La brutalité de ce massacre me laisse perplexe. Un lecteur inattentif pourrait se demander comment est-il possible que quelqu'un puisse jamais envisager la possibilité d'égorger une personne, sans parler de toute une famille, dont un enfant de dix ans, un de quatre et un bébé de trois mois. Mais un observateur attentif qui lit la description du massacre sur un blog palestinien (traduit en français par Google) comprend que le langage effusif et les chaleureuses félicitations à l'auteur du crime ne sont possibles que dans une société qui déshumanise "l'autre", ce qui justifie et encourage tout acte de terreur contre les Israéliens (même les bébés de trois mois).
Qui lit ce blog sait où je me situe, et saura certainement que j'ai toujours défendu et continuerai à défendre la nécessité d'arriver à la paix. Mais honnêtement, comment peut-on parler de paix avec quelqu'un qui regarde un bébé de trois mois dans les yeux pour l'égorger ensuite ?
Certains se souviendront que l'Autorité palestinienne a condamné le massacre. Et que le Hamas a nié toute implication. Mais la passivité (pour employer un euphémisme) de l'Autorité palestinienne et l'incitation incessante du Hamas maintiennent à feu doux la haine extrême et la culture de mort qui permettent qu'une famille de cinq personnes soit égorgée dans son sommeil. Et qu'on ne vienne pas me dire qu'être colon ou ne pas être colon peut servir de justification pour atténuer la gravité du crime. Car penser ainsi c'est se mettre à un niveau proche de celui de l'auteur du crime.
Examples of Palestinian Authority Incitement
Ce site est dédié aux millions d'Européens qui, malgré d'incessantes campagnes de désinformation, ne croient pas que les Juifs ne sont capables que du pire; ne dissimulent pas leur antisémitisme dans le langage de l'antisionisme; et savent qu'Israël représente ce qu'il y a de meilleur dans une démocratie.
1 commentaire :
"...le langage effusif et les chaleureuses félicitations à l'auteur du crime ne sont possibles que dans une société qui déshumanise "l'autre",..."
Non, c'est faux. Les betes féroces qui ont égorgé cette famille ne sont pas des être humains. Ce n'est pas moi qui les déshumanise, ce sont leurs actes qui le font. Ils n'égorgent pas des enfants parce qu'ils pensent qu'un Juif n'est pas un etre humain, ils le font parce qu'EUX MEME ne sont pas des humains. Ils égorgeraient de la meme façon un non-juif.
Je n'aime pas cette présentation car elle joue sur la réciprocité et elle nous rendrait quasiment responsables de la nature de ces betes féroces. Nous serions coupables de les voir inhumains et ils seraient inhumains parce que nous les deshumanisons.
Ce n'est surement pas un regard angélique sur eux qui changera leur nature.
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