Avertissement: il ne faut pas confondre cet individu qui enseigne en Pologne avec le Dr. Krzysztof Jasiewicz de l'Université Washington and Lee (Ames Professor of Sociology and head of the department at Washington and Lee University). (Il a a condamné les propos de son homonyme polonais: (Disclaimer: I am not the Krzysztof Jasiewicz who gave the outrageous interview in the Polish magazine Focus-Historia about the Holocaust. We do share the same name but are not related. Prof. Jasiewicz is affiliated with the Institute for Political Studies of the Polish Academy of Sciences. I was a research fellow there from 1990 until 2006 but am currently not affiliated with the institute. You may compare his record, available at http://www.isppan.waw.pl/ksiegarnia/jasiewicz_notka.htm, with mine (see tabs above).)
Times of Israel
Krzysztof Jasiewicz, historien réputé, professeur à l’Académie polonaise des sciences et expert renommé en matière de relations entre Polonais et Juifs, a provoqué un scandale en affirmant dans une interview accordée au magazine très populaire polonais Focus-Historia, que les Juifs avaient pris une part active dans le massacre d’autres Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans l'interview intitulée "Les Juifs sont-ils eux-mêmes coupables?", il affirme:
"La thèse ridicule qui veut que les Juifs furent essentiellement tués par des Polonais a été inventée pour cacher le plus grand secret des Juifs: l'ampleur du crime commis par les Allemands n'a été possible que grâce à une participation active des Juifs à l'assassinat de leur peuple".
"Le problème avec les Juifs est qu'ils sont convaincus qu’ils sont le peuple élu. Ils considèrent qu'ils ont le droit de tout interpréter, y compris la doctrine catholique... Je suis convaincu qu'il est inutile de dialoguer avec les Juifs, car ça ne mène à rien".
Evoquant le massacre de Juifs par 340 voisins catholiques polonais, il déclare: "Je suis absolument convaincu que le crime commis dans le village de Jedwabne et les autres pogroms n'ont pas été perpétrés pour voler les biens des Juifs ou par vengeance pour les choses horribles que les Juifs ont commises envers les Polonais dans le passé. Les pogroms ont été commis parce qu'il y avait une très grande peur des Juifs". Et l'historien a précisé que les assassins se trouvaient dans une situation désespérée et "devaient se dire qu'ils commettaient des atrocités, mais que leurs petits-enfants leur en seraient reconnaissants. C'est une interprétation possible, même si elle ne justifie pas le crime".
Toujours dans la même veine il explique que le comportement des Juifs a provoqué l'Holocauste: "Pendant de nombreuses générations, les Juifs, mais non l'Église catholique, ont tout fait pour provoquer l'Holocauste. Et il semble que les Juifs n'ont pas retenu leur leçon et n'en ont tiré aucun enseignement".
Ce site est dédié aux millions d'Européens qui, malgré d'incessantes campagnes de désinformation, ne croient pas que les Juifs ne sont capables que du pire; ne dissimulent pas leur antisémitisme dans le langage de l'antisionisme; et savent qu'Israël représente ce qu'il y a de meilleur dans une démocratie.
mercredi 10 avril 2013
Historien polonais: les Juifs ont provoqué la Shoah et participité activement à l'assassinat de leur peuple
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1 commentaire :
* Repenser les Polonais et les Juifs: passé trouble, un meilleur avenir: 1ère Edition (Broché)
par Annamaria Orla-Bukowska (Sous la direction) Robert Cherry (Auteur)
* Également : APRES LA CHUTE: ATTITUDES ENVERS LES JUIFS EN POST-1989 POLOGNE (Broché)
par Jolanta & Orla-Bukowska, Annamaria Ambrosewicz-Jacobs
Des décennies d'oppression et les vagues d'antisémitisme ont poussé la grande majorité des juifs de Pologne à émigrer. Cependant, les choses ont changé depuis 1989. L'avènement de la démocratie a permis la renaissance d'une petite communauté, composée de personnes aux origines juives redécouvertes après la chute du mur de Berlin.
C'était la plus grande communauté juive d'Europe. En 1945, seuls 10% avaient survécu aux plans d'extermination nazis.
Des 350 000 juifs polonais restant, une grande majorité choisit de quitter le pays pendant les vingt-cinq années qui suivirent. Et pour ceux qui sont restés, la quasi-totalité a jugé qu'il était trop dangereux de maintenir son identité juive.
Pour Michael Schudrich, grand rabbin de Pologne : « parmi ceux qui sont restés, beaucoup étaient d'accord avec ceux qui sont partis sur un point : si je veux rester juif et pouvoir dire que je suis juif en toute tranquillité, eh bien je dois quitter la Pologne. Mais si je décide de rester en Pologne, je dois arrêter d'être juif ». Au point que dans certaines familles, les parents et les grands-parents ont tu à leurs descendants cet héritage.
Le renouveau de la communauté juive repose aujourd'hui sur la deuxième et troisième génération de Polonais qui, à partir de 1989, ont pu questionner et rechercher librement un passé et une culture qui ne leur ont pas été transmis. Anna-Maria Orla-Bukowska, historienne et sociologue à l'université Jagellonne de Cracovie, décrit la quête d'identité d'une partie de la jeunesse polonaise après l'avènement de la démocratie en 1989.
* Rapport Annuel 2012 de la Fondation pour la Préservation de l'Héritage Juif en Pologne
http://www.crif.org/sites/default/fichiers/images/documents/fodz_annual_2012.pdf
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