lundi 24 août 2009

L'écrivain britannique Sebastian Faulks fait l'éloge de l'Ancien Testament

"Ce qui est fantastique dans l'Ancien Testament ce sont ses histoires merveilleuses. Des 100 meilleures histoires jamais racontées, 99 se trouvent probablement dans l'Ancien Testament et l'autre on la trouve chez Homère."

Le Daily Telegraph ("Koran has no ethics, says novelist", 24/08/2009, p. 7) rapporte les propos de l'écrivain britannique à succès Sebastian Faulks sur l'Ancien Testament :

"Ce qui est fantastique dans l'Ancien Testament ce sont ses histoires merveilleuses. Des 100 meilleures histoires jamais racontées, 99 se trouvent probablement dans l'Ancien Testament et l'autre on la trouve chez Homère."

Par contre, pour ce qui concerne le Coran, Sebastian Faulks affirme :

"Il n'y a pas d'histoires dans le Coran. Et il n'a pas une dimension éthique comme dans le Nouveau Testament, pas de plan de vie".

"Contrairement à Mohammed, Jésus avait un message intéressant. Il a proposé une nouvelle vision du monde: aime ton prochain, aime ton ennemi, sois bienveillant envers ton prochain, les humbles hériteront la terre. Le seul message de Mohammed se résume à 'Si vous ne croyez pas en Dieu, vous brûlerez à tout jamais'".

Pour lui, le Coran est "un livre unidimensionnel" et son message, en contraste avec celui de la Bible, semble stérile:

"C'est un livre déprimant. Vraiment déprimant. Ce ne sont que les divagations d'un schizophrène. C'est très unidimensionnel, et on parle de la beauté de la langue arabe et ainsi de suite, mais la traduction anglaise que j'ai lue, était très décevante d'un point de vue littéraire".

Sebastian Faulks risks Muslim anger after calling Koran the 'rantings of a schizophrenic'

3 commentaires :

Anonyme a dit…

Finally someone publicly sees the Emperor has no clothes and says so.

Only political and social brute force with threats of violence, plus the prospect of rape and plunder for the "believer" have maintained the power of this evil cult. See links under BLASPHEMY, MOHAMMED and KORAN at The Religion of Peace™ Subject Index

Gilles-Michel DEHARBE a dit…

Mahomet ne combat pas les mauvais instincts de son peuple ; il les exploite et, par politique, il transige avec eux. Il tolère la polygamie : mieux, il la pratique lui-même. Il ignore le prochain.

A l’esprit de tribu, il substitue la solidarité musulmane ; le prochain, c’est, exclusivement, le musulman, c’est-à-dire son partisan. Il reconnaît l’esclavage, le concubinage, la loi du talion.

Le Croyant, tel qu’il l’a défini, n’est pas un homme qui se distingue par ses vertus ; c’est simplement celui qui s’enrôle sous la bannière de l’Islamisme et l’Islamisme n’est pas, lui-même, une doctrine visant a la perfection de l’individu, mais seulement au groupement de ceux qui reconnaissent Mahomet comme le prophète de Dieu.

Le paradis musulman ne s’acquiert pas par la pratique de la vertu, mais par la foi seule. Il suffit, au pécheur le plus endurci, de prononcer à l’heure de la mort, la profession de foi, ( La Chahada ), pour être admis au séjour des élus.

On trouve dans les Commentaires de Beydaoui et dans le Miskat-el-Mesabih, une tradition qui ne laisse aucun doute sur la conception que Mahomet et ses contemporains se faisaient de la divinité. Quand Allah résolut de créer l’espèce humaine, il prit entre ses mains le limon qui devait servir à former l’humanité, et dans lequel tout homme préexistait ; il le divisa en deux portions égales, jeta l’une en l’enfer en disant :"Ceux-ci pour le feu éternel"; puis, avec la même indifférence , il jeta l’autre au ciel en ajoutant :"Ceux-ci pour le Paradis".

Est-il besoin de montrer ce qu’une pareille doctrine a de décevant ? Les actions regardées par les hommes comme bonnes ou mauvaises, deviennent en réalité indifférentes ; elles n’ont d’autre valeur que celle que leur attribue la volonté arbitraire du Tout-Puissant. C’est l’anéantissement de toute morale. Et comme les Musulmans se trouvent dans la fraction de l’humanité vouée aux délices du Paradis, il importe peu qu’ils soient bons ou mauvais : il leur suffit d’observer les pratiques extérieures qui permettent de distinguer le bon musulman de l’infidèle.

Gilles-Michel DEHARBE a dit…

Il en va différemment dans le christianisme. Répétons-le : selon cette religion, la parole de Dieu a certes été adressée aux hommes sous la forme de discours, mais cette forme n'y est pas considérée comme la seule, ni surtout comme la plus haute et la plus parfaite. Le coeur même du christianisme consiste justement à croire que la parole de Dieu, après s'être fait discours, s'est faite homme ; que la matérialité qu'elle s'est donnée pour entrer dans le monde n'est pas seulement celle des mots (parlés ou écrits), mais aussi celle d'un corps d'homme vivant. Plus précisément, cette seconde forme revêtue par la parole de Dieu est considérée, dans le christianisme, comme dépassant, achevant et accomplissant la première, et donc comme étant incomparablement plus parfaite et plus complète que celle-ci. Aussi, pour un chrétien, la référence ultime n'est pas quelque chose d'écrit, puisqu'à ses yeux ce n'est pas sous la forme d'un discours que la parole de Dieu a été adressée aux hommes de la façon la plus véritable et la plus accomplie. La Parole de Dieu existe avant tout comme un homme, cet homme est appelé Christ : le christianisme a pour centre et pour coeur la croyance dans la réalité de cette forme d'incarnation. Si donc le christianisme est religion "de" quelque chose, il ne peut être que la religion du Christ.


Et le Christ n’est pas un livre.