"Après deux ans d'enquête, nous concluons qu'Arafat est toujours mort." (James Whitworth) |
Nano & Mitz: Le Figaro relance [le 2 juillet 2014], la thèse totalement incohérente de empoisonnement de Yasser Arafat au polonium. Au moment où l’on pleure les 3 adolescents assassinés par le Hamas, au moment où Israël est attaqué de toutes parts (frontière syrienne, Golan, Judée-Samarie, Gaza, Sud d’Israël) y compris impunément sur le sol européen (Bruxelles). Sous le titre enquête, le Figaro publie une pleine page pour relancer l’histoire folle du polonium et attiser machiavéliquement la haine anti-israélienne et antisémite, notamment en France où la situation est explosive.
Ce nouveau dérapage est triplement irresponsable de la part des enquêteurs du Figaro. Tout d’abord parce que la thèse de l’empoisonnement d’Arafat au polonium est un sinistre canular démonté par les experts, ensuite car elle fait la part belle au camp anti-israélien et terroriste à un moment de haute-tension, enfin et surtout parce que le Figaro cite des espions français pour alimenter la rumeur. On se pince. Des agents français, court-circuiteraient en coulisse la diplomatie et le gouvernement, au mépris du devoir de réserve, et colporteraient juste pour le plaisir, bavardages et rumeurs diffamatoires anti-israéliennes? Ou bien ces fuites se font-elles avec l’approbation -nécessaire- de la hiérarchie?
Ce nouveau pataquès est d’autant plus ébouriffant et rocambolesque que le Gouvernement et les services jurent par devant, cœur sur la main que la coopération avec Israël est ex-cel-lente. Et par derrière distillent rumeurs et bavardages venimeux. Cette nouvelle attention délicate ira droit au cœur de Jérusalem à n’en pas douter:
2 commentaires :
Malbrunot ....ne cherchez pas, ca ne pouvait être que lui derrière cet article.
Il faudrait mettre ce qui reste d'Arafat dans une boite en carton. Ça éviterait la nième autopsie post-mortem. Ça ressemble de plus en plus à la légende de la mort "inexpliquée" de Marilyn Monroe. Ou comment "pondre un papier" quand on a plus grand chose à dire, bref du pur Gégé' Malbrunot
Franco
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