Une revue pour enfants tunisienne explique étape-par-étape la fabrication d'une bombe incendiaire, le fameux "cocktail molotov", et comment l'utiliser contre l'ennemi. L'origine de l'expression est également expliquée. Non seulement la revue incite à la violence, dans un pays déjà ravagé par la violence, mais met la vie de ses petits lecteurs en danger.
Source: Le ministère des Affaires de la Femme et de la Famille a indiqué dans un communiqué publié lundi que la déléguée générale pour la protection de l’enfance a déposé une plainte contre la société tunisienne de diffusion et des arts graphiques suite à la publication dans le numéro 302 du magazine pour enfants « Kaws Kouzah », d’un article apprenant aux enfants comment faire un cocktail molotov. L’article explique avec beaucoup de détails comment fabriquer un cocktail molotov, ses composants et ses domaines d’utilisation.
Ce site est dédié aux millions d'Européens qui, malgré d'incessantes campagnes de désinformation, ne croient pas que les Juifs ne sont capables que du pire; ne dissimulent pas leur antisémitisme dans le langage de l'antisionisme; et savent qu'Israël représente ce qu'il y a de meilleur dans une démocratie.
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vendredi 12 octobre 2012
jeudi 5 juillet 2012
France: une dame juive de 83 ans violée par un 'jeune' de 15 ans
Une histoire qui ne semble pas avoir ému les "indignés" français.
Nouvel Observateur: "A Marseille, on raconte l'histoire de cette vieille dame de 83 ans.
Cambriolée, elle a vu son voleur revenir après son forfait. "Il a dû voir sa mezouzah en sortant", souffle Michèle Teboul *. Alors, il l'a violée. "Ne me fais pas ça, je suis tunisienne comme toi", suppliait la dame. "Tu n'es pas tunisienne, tu es juive", lui aurait dit le violeur. Confondu par son ADN, il a été arrêté. Il a 15 ans."
* Responsable du Crif Marseille Provence.
Nouvel Observateur: "A Marseille, on raconte l'histoire de cette vieille dame de 83 ans.
Cambriolée, elle a vu son voleur revenir après son forfait. "Il a dû voir sa mezouzah en sortant", souffle Michèle Teboul *. Alors, il l'a violée. "Ne me fais pas ça, je suis tunisienne comme toi", suppliait la dame. "Tu n'es pas tunisienne, tu es juive", lui aurait dit le violeur. Confondu par son ADN, il a été arrêté. Il a 15 ans."
* Responsable du Crif Marseille Provence.
mercredi 27 juin 2012
Belle exposition du Club Photo de Djerba sur la GHRIBA
"Une exposition à propos de la coexistence entre les juifs et les musulmans à Djeba"
Source: Nessmania - Si vous passez vos vacances à Djerba n'hésitez pas à aller voir cette très belle exposition de photos de six photographes tunisiens organisée par Nesrine Cheikhali, une jeune architecte-photographe tunisienne, diplômé de l'ENAU, école nationale d'architecture et d'urbanisme. Du 20 au 29 juin à la Galerie de la Méditerranée. Vernissage le 20 juin à 17 heures. Et peut-être un jour à Paris ou à Bruxelles? Vous pouvez contacter Nesrine à son adresse email: ness_cheikhali@live.fr
Source: Nessmania - Si vous passez vos vacances à Djerba n'hésitez pas à aller voir cette très belle exposition de photos de six photographes tunisiens organisée par Nesrine Cheikhali, une jeune architecte-photographe tunisienne, diplômé de l'ENAU, école nationale d'architecture et d'urbanisme. Du 20 au 29 juin à la Galerie de la Méditerranée. Vernissage le 20 juin à 17 heures. Et peut-être un jour à Paris ou à Bruxelles? Vous pouvez contacter Nesrine à son adresse email: ness_cheikhali@live.fr
Voilà, après deux mois de la première exposition, le club photo revient avec une deuxième exposition. cette fois si on prend le pèlerinage de la ghriba comme thème, les photos exposées témoignent de la spiritualité et l'intimité de cette expérience qu'on a vécu nous les six photographes. cette découverte de nos concitoyens, qui nous ressemblent beaucoup (ce qui m a surpris un peu) c'est un exemple de fraternité , de coexistence de différentes croyances (qui ne sont pas trop différentes à vrai dire).

l'affiche de l'évènement
Je suis très heureuse d'organiser et de présenter ce travail surtout que ça sera en parallèle avec des journées d'études sur la sémiotique du portrait. c'est la 3ème exposition que j'organise jusqu'à maintenant et malgré que ça reste toujours fatiguant et stressant mais le succès qui viens avec me rempli de joie, c'est mes objectifs que je vois se réaliser et surtout mes amis photographes que je vois s'épanouir durant ce processus.
Je remercie les photographes participants pour leur patiance et coopération:
Aymen Barouni
Djamila Méliani
Mouaz Ben Daamar
Nesrine Cheikh ali
Seif Ben Jemaa
Wissem Ben Mechichi
le vernissage sera le 20 juin 2012 à l'honneur de monsieur Boris boillon, l'ambassadeur de France en Tunisie.

Quelques photos exposées à la galerie méditerranée jusqu au 29 juin 2012

prise par Aymen Barouni
prise par Djamila Méliani

prise par Mouaz Ben Daamar
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mardi 8 mai 2012
Réagissant à l'antisémitisme Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, annule sa visite en Tunisie
Source: Identité Juive
Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook a annulé sa visite prévue le 9 et 10 mai dans la plus ancienne synagogue d’Afrique sur l’île de Djerba.
Mark Zuckerberg, le co-fondateur et PDG de Facebook été l’invité d’honneur du pèlerinage de la Ghriba. Il a en effet été convié à participer à une grande cérémonie religieuse par la communauté juive de Djerba.
La visite de Zuckerberg aurait été une occasion pour réhabiliter l’image de Tunisie et promouvoir le tourisme national qui est en berne, mais les propos racistes d’une élue d’Ennahdha (le parti islamiste au pouvoir) ont découragé le créateur de Facebook à se rendre en Tunisie.
La semaine derniére, une islamiste qui siège à la constituante tunisienne, attirant l’attention sur la vente de terrains de l’île de Djerba à des juifs, avait fait comparé la situation dans la plus grande île des côtes d’Afrique du Nord avec une "seconde Palestine". L’élue raciste de parti au pouvoir d’Ennahdha a propopsé d’imposer des restrictions juridiques à l’acquisition légale de biens immobiliers par des juifs.
Ces déclarations ont choqués les membres de communauté juive de Djerba qui sont censés avoir les mêmes droits et les mêmes devoirs que ceux de tous les citoyens Tunisiens. Par cette proposition la député d’Ennahdha a dénigré les juifs tunisiens, ravivant ainsi les sentiments antisémites dans la rue tunisienne. Le parti islamiste en pouvoir n’ a pas condamné ces propos racistes et antisémites jusqu’à la rédaction de ces lignes.
Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook a annulé sa visite prévue le 9 et 10 mai dans la plus ancienne synagogue d’Afrique sur l’île de Djerba.
Mark Zuckerberg, le co-fondateur et PDG de Facebook été l’invité d’honneur du pèlerinage de la Ghriba. Il a en effet été convié à participer à une grande cérémonie religieuse par la communauté juive de Djerba.
La visite de Zuckerberg aurait été une occasion pour réhabiliter l’image de Tunisie et promouvoir le tourisme national qui est en berne, mais les propos racistes d’une élue d’Ennahdha (le parti islamiste au pouvoir) ont découragé le créateur de Facebook à se rendre en Tunisie.
La semaine derniére, une islamiste qui siège à la constituante tunisienne, attirant l’attention sur la vente de terrains de l’île de Djerba à des juifs, avait fait comparé la situation dans la plus grande île des côtes d’Afrique du Nord avec une "seconde Palestine". L’élue raciste de parti au pouvoir d’Ennahdha a propopsé d’imposer des restrictions juridiques à l’acquisition légale de biens immobiliers par des juifs.
Ces déclarations ont choqués les membres de communauté juive de Djerba qui sont censés avoir les mêmes droits et les mêmes devoirs que ceux de tous les citoyens Tunisiens. Par cette proposition la député d’Ennahdha a dénigré les juifs tunisiens, ravivant ainsi les sentiments antisémites dans la rue tunisienne. Le parti islamiste en pouvoir n’ a pas condamné ces propos racistes et antisémites jusqu’à la rédaction de ces lignes.
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Tunisie
vendredi 13 janvier 2012
La peur des Juifs tunisiens après la visite d'Haniyeh
Il est étonnant que moins d'un mois après son installation, le gouvernement "démocratique" tunisien se soit empressé d'inviter Haniyeh, l'homme fort du Hamas, un parti considéré comme terroriste par l'Union européenne. Et lui a assuré un accueil triomphal.
Source: Harry's Place, par Boushayb (Voir également Tunisian Jewish Community Horrified, Demanding Quick Government Response in Aftermath of Haniyeh Visit, par Kouichi Shirayanagi, et Marzouki, la Tunisie, les juifs, par David Apelbaum)
Jusqu'à présent, les médias internationaux et les blogs sont restés globalement silencieux face au décalage entre ce que le chef du parti Ennadah, Rachid Ghannouchi, dit au sujet de la visite d'Haniyeh, à savoir qu'il n'y avait "pas plus de cinq personnes [à l'aéroport]" qui tenaient des propos anti-israéliens, et le fait qu'il y a eu au moins quatre événéments distincts (il y en a eu plus) où Ismaïl Haniyeh, accompagné par Ghannouchi en personne, ou par le Premier ministre Hamadi Jebali [photo avec Haniyeh], ou par d'autres sbires d'Ennahda ou des membres de clergé fascisants, étaient présents lorsque des milliers de Tunisiens, parmi lesquels il y avait beaucoup de femmes et d'enfants, ont appelé à l'extermination du peuple juif en référence à un événement fondateur de l'histoire islamique et conçu pour infliger le maximum de terreur et de souffrance.
Au moins à quatre occasions distinctes - à l'intérieur de l'aéroport, à l'extérieur de l'aéroport, avant, pendant et après sermon de Haniyeh à la mosquée d'Uqba Ibn Nafia à Kairouan, et à un rassemblement Ennahda de soutien au Hamas dans un stade à Sfax, le chant de "Khaybar, Khaybar ya Yahud" [1] et autres insultes antisémites et génocidaires fusèrent en présence de représentants de premier du mouvement Ennahda, et, au moins à Sfax et à l'intérieur de la mosquée à Kairouan.
Pour aggraver les choses, les médias internationaux semblent se fier à un communiqué de presse d'Ennahda, approuvé par Ghannouchi, dont version est contredite clairement par les faits sur le terrain. L'existence même de cette version opposée à la réalité devrait empêcher que lui et les membres de son parti soient pris au sérieux ou inspirent dorénavant la moindre confiance. Lire la suite ICI
Source: Harry's Place, par Boushayb (Voir également Tunisian Jewish Community Horrified, Demanding Quick Government Response in Aftermath of Haniyeh Visit, par Kouichi Shirayanagi, et Marzouki, la Tunisie, les juifs, par David Apelbaum)
Jusqu'à présent, les médias internationaux et les blogs sont restés globalement silencieux face au décalage entre ce que le chef du parti Ennadah, Rachid Ghannouchi, dit au sujet de la visite d'Haniyeh, à savoir qu'il n'y avait "pas plus de cinq personnes [à l'aéroport]" qui tenaient des propos anti-israéliens, et le fait qu'il y a eu au moins quatre événéments distincts (il y en a eu plus) où Ismaïl Haniyeh, accompagné par Ghannouchi en personne, ou par le Premier ministre Hamadi Jebali [photo avec Haniyeh], ou par d'autres sbires d'Ennahda ou des membres de clergé fascisants, étaient présents lorsque des milliers de Tunisiens, parmi lesquels il y avait beaucoup de femmes et d'enfants, ont appelé à l'extermination du peuple juif en référence à un événement fondateur de l'histoire islamique et conçu pour infliger le maximum de terreur et de souffrance.
Au moins à quatre occasions distinctes - à l'intérieur de l'aéroport, à l'extérieur de l'aéroport, avant, pendant et après sermon de Haniyeh à la mosquée d'Uqba Ibn Nafia à Kairouan, et à un rassemblement Ennahda de soutien au Hamas dans un stade à Sfax, le chant de "Khaybar, Khaybar ya Yahud" [1] et autres insultes antisémites et génocidaires fusèrent en présence de représentants de premier du mouvement Ennahda, et, au moins à Sfax et à l'intérieur de la mosquée à Kairouan.
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Tunisie
mardi 10 janvier 2012
En Egypte et en Tunisie on crie 'Mort aux Juifs' et on prône au autre Holocauste
"Ecraser les Juifs. Tuer les Juifs. C'est un devoir."
Ce qui n'empêche pas le politologue et "islamologue" français Olivier Roy de prétendre sur France Culture que les mouvements islamistes comme l'Ennahda en Tunisie et les Frères Musulmans en Egypte ne doivent plus être considérés comme islamistes. Ce sont des partis conservateurs au même titre que la droite religieuse aux Etats-Unis.
- Match de foot en Egypte: la foule réclame un nouvel Holocauste
La Tunisie a accueilli le chef du Hamas (la branche des Frères musulmans égyptiens qui 'règne' à Gaza) Ismail Haniyeh le 5 janvier:
Ce qui n'empêche pas le politologue et "islamologue" français Olivier Roy de prétendre sur France Culture que les mouvements islamistes comme l'Ennahda en Tunisie et les Frères Musulmans en Egypte ne doivent plus être considérés comme islamistes. Ce sont des partis conservateurs au même titre que la droite religieuse aux Etats-Unis.
- Match de foot en Egypte: la foule réclame un nouvel Holocauste
Quelques centaines de personnes se sont réunies à l'aéroport de Tunis pour accueillir Haniyeh. En attendant son arrivée ils ont scandé des chants et des slogans antisémites à la gloire de la Palestine et pour la "libération" de Gaza. Ils brandissaient des drapeaux du parti Ennahda et les drapeaux noirs des salafistes. Voici la vidéo:
"Ecraser les Juif. Tuer les Juifs. C'est un devoir", hurlaient-ils.
Voir également: Anyeh a été accueilli en Tunisie aux cris de "mort aux Juifs" et Marzouki, la Tunisie, les juifs - De l’espoir à l’amertume, par David Apelbaum
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Tunisie
dimanche 30 octobre 2011
Les questions gênantes que Le Monde n'a pas posées à Rached Ghannouchi
"Le plus grand danger pour la civilisation [!], la religion et la paix dans le monde est l'Administration des Etats-Unis. C'est est le Grand Satan." "Il n'y a pas de civils en Israël. Hommes, femmes et enfants, ils sont tous des soldats de réserve et peuvent donc être tués." Paroles d'un modéré.
Le Monde a publié une interview de Rached Ghannouchi intitulée Les priorités politiques du nouvel homme fort de Tunisie. La journaliste permet à Ghannouchi, grand admirateur du Hamas, de projeter une image d'homme ouvert, sympathique, et bien entendu modéré - sans aspérités. Il ne fallait surtout l'interroger sur ses propos épouvantables:
Martin Kramer rapporte que le président du parti Ennahda Rached Ghannouchi, désigné comme étant "islamo-conservateur" et "modéré" par la presse européenne a déclaré au mois de mai à alarab.com.qa:
"Je vous annonce de bonnes nouvelles. Le territoire arabe va être débarrassé du bacille israélien. Cheikh Ahmed Yassine, le leader du mouvement Hamas, avait dit qu'Israël disparaîtrait avant 2027 - cette date est trop lointaine; Israël pourrait disparaître avant".
"Ghannouchi condemned 9/11 and presents himself as a reformer committed to, for example, women’s rights. As Robert Reilly [dans Catholic Thing] tells us, however:
‘While a Washington Post editorial assures us that Ghannouchi “has pledged to support women’s rights,” its writer is apparently unaware that, from his exile in London, Ghannouchi threatened to hang Raja bin Salama in central Basij Square in Tunis for her criticism of Islamic extremism, the subjugation of women, and her call for the nation’s laws to be based on the universal declaration of human rights. For good measure, Ghannouchi also said that Lafif Lakhdar, a Tunisian reformer and one of the most enlightened thinkers in the Muslim world, should be hanged with her.’
Reilly goes on:
‘... [Ghannouchi] was also quoted during a visit to Iran as saying, “The greatest danger to civilization, religion and world peace is the United States Administration. It is the Great Satan.” In respect to Israel, there is this unpleasantness: “There are no civilians in Israel. Men, women and children, they are all reserve soldiers and can therefore be killed.”
‘Ghannouchi has long been an ardent supporter of Hamas. His biographer is a Palestinian by the name of Azzam Tamimi, who recently said something to which we should pay close attention. He remarked that the real struggle of the future is “going to be about who is Islamist and who is more Islamist, rather than about the secularists and the Islamists.”’ (Sur Tamimi voir ICI, ICI et sa biographie sur Wikipedia en anglais...)
Le Monde a publié une interview de Rached Ghannouchi intitulée Les priorités politiques du nouvel homme fort de Tunisie. La journaliste permet à Ghannouchi, grand admirateur du Hamas, de projeter une image d'homme ouvert, sympathique, et bien entendu modéré - sans aspérités. Il ne fallait surtout l'interroger sur ses propos épouvantables:
Martin Kramer rapporte que le président du parti Ennahda Rached Ghannouchi, désigné comme étant "islamo-conservateur" et "modéré" par la presse européenne a déclaré au mois de mai à alarab.com.qa:
"Je vous annonce de bonnes nouvelles. Le territoire arabe va être débarrassé du bacille israélien. Cheikh Ahmed Yassine, le leader du mouvement Hamas, avait dit qu'Israël disparaîtrait avant 2027 - cette date est trop lointaine; Israël pourrait disparaître avant".
Dans le Daily Mail, Melanie Phillips révèle une autre facette du personnage qu'on cache aux Français, comme celle de faire pendre une femme qui critique l'islam extrémiste:
"Ghannouchi condemned 9/11 and presents himself as a reformer committed to, for example, women’s rights. As Robert Reilly [dans Catholic Thing] tells us, however:
‘While a Washington Post editorial assures us that Ghannouchi “has pledged to support women’s rights,” its writer is apparently unaware that, from his exile in London, Ghannouchi threatened to hang Raja bin Salama in central Basij Square in Tunis for her criticism of Islamic extremism, the subjugation of women, and her call for the nation’s laws to be based on the universal declaration of human rights. For good measure, Ghannouchi also said that Lafif Lakhdar, a Tunisian reformer and one of the most enlightened thinkers in the Muslim world, should be hanged with her.’
Reilly goes on:
‘... [Ghannouchi] was also quoted during a visit to Iran as saying, “The greatest danger to civilization, religion and world peace is the United States Administration. It is the Great Satan.” In respect to Israel, there is this unpleasantness: “There are no civilians in Israel. Men, women and children, they are all reserve soldiers and can therefore be killed.”
‘Ghannouchi has long been an ardent supporter of Hamas. His biographer is a Palestinian by the name of Azzam Tamimi, who recently said something to which we should pay close attention. He remarked that the real struggle of the future is “going to be about who is Islamist and who is more Islamist, rather than about the secularists and the Islamists.”’ (Sur Tamimi voir ICI, ICI et sa biographie sur Wikipedia en anglais...)
jeudi 27 octobre 2011
Rached Ghannouchi traite Israël de bacille et prédit sa fin
Un sondage en ligne pour le quotidien belge Le Soir a révélé que 88.9% des répondants s'inquiètent "de la législation fondée sur la charia en Libye et de la victoire annoncée du parti islamiste en Tunisie". Et ils n'ont pas tort.
Martin Kramer rapporte que le président du parti Ennahda Rached Ghannouchi, désigné comme étant "islamo-conservateur" et "modéré" par la presse européenne a déclaré au mois de mai à alarab.com.qa:
"Je vous annonce de bonnes nouvelles. Le territoire arabe va être débarrassé du bacille israélien. Cheikh Ahmed Yassine, le leader du mouvement Hamas, avait dit qu'Israël disparaîtrait avant 2027 - cette date est trop lointaine; Israël pourrait disparaître avant".
Un homme très modéré effectivement. Et ce n'est pas tout. Ghannouchi a estimé mercredi que le français "pollue" la langue arabe. La purification de la langue et du territoire va commencer.
Pour en savoir plus cliquer ICI.
Martin Kramer rapporte que le président du parti Ennahda Rached Ghannouchi, désigné comme étant "islamo-conservateur" et "modéré" par la presse européenne a déclaré au mois de mai à alarab.com.qa:
"Je vous annonce de bonnes nouvelles. Le territoire arabe va être débarrassé du bacille israélien. Cheikh Ahmed Yassine, le leader du mouvement Hamas, avait dit qu'Israël disparaîtrait avant 2027 - cette date est trop lointaine; Israël pourrait disparaître avant".
Un homme très modéré effectivement. Et ce n'est pas tout. Ghannouchi a estimé mercredi que le français "pollue" la langue arabe. La purification de la langue et du territoire va commencer.
Pour en savoir plus cliquer ICI.
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Tunisie
mercredi 12 octobre 2011
Les escrimeurs tunisiens priés de boycotter les athlètes israéliens
Encore une manifestation du merveilleux printemps arabe, version tunisienne... Heureusement que ce n'est pas l'hiver arabe... La fédération tunisienne d'escrime a demandé à ses athlètes de boycotter les escrimeurs israéliens. Ca s'est passé en Europe, à Catania, Italie.
Le site Tunisie numérique, la Tunisie à l'ère de la démocratie annonce le fait avec satisfaction:
"Lors des Mondiaux d’escrime de Catania en Italie, mardi 11 octobre, l’une des meilleurs escrimeurs africains, la tunisienne Sara Besbes a eu pour adversaire, l’israélienne Noam Mills.
La tunisienne Sara Besbes appartient à une famille d’escrimeurs, elle est considérée comme la meilleure fleurettiste du continent africain. Sara Besbes est restée passive et a volontairement subit les 5 touchés qui lui on fait perdre le combat. Noam Mills a été déclarée gagnante mais elle s’était effondrée en larmes.
Il s’agit du deuxième boycottage durant ces mondiaux, dimanche dernier, un fleurettiste iranien s’est volontairement retiré de la compétition."
Sara Besbes vit en France mais est rattachée à la Fédération tunisienne d'escrime.
L'agence de presse palestinienne Wafa précise que l'athlète est restée immobile, "pointant le fleuret vers le sol et en refusant de bouger signalant ainsi qu'elle boycottait l'athlète israélienne sans l'annoncer officiellement pour éviter d'être sanctionnée par le jury".
Le site Tunisie numérique, la Tunisie à l'ère de la démocratie annonce le fait avec satisfaction:
"Lors des Mondiaux d’escrime de Catania en Italie, mardi 11 octobre, l’une des meilleurs escrimeurs africains, la tunisienne Sara Besbes a eu pour adversaire, l’israélienne Noam Mills.
La tunisienne Sara Besbes appartient à une famille d’escrimeurs, elle est considérée comme la meilleure fleurettiste du continent africain. Sara Besbes est restée passive et a volontairement subit les 5 touchés qui lui on fait perdre le combat. Noam Mills a été déclarée gagnante mais elle s’était effondrée en larmes.
Il s’agit du deuxième boycottage durant ces mondiaux, dimanche dernier, un fleurettiste iranien s’est volontairement retiré de la compétition."
Sara Besbes vit en France mais est rattachée à la Fédération tunisienne d'escrime.
L'agence de presse palestinienne Wafa précise que l'athlète est restée immobile, "pointant le fleuret vers le sol et en refusant de bouger signalant ainsi qu'elle boycottait l'athlète israélienne sans l'annoncer officiellement pour éviter d'être sanctionnée par le jury".
jeudi 24 mars 2011
Sarah Taieb-Carlen: "Il n'y a pas d'avenir pour les Juifs en Afrique du Nord"
Source: The Jewish Week (Taking Stock Of The Jews Of Africa)
The recent upheaval in northern Africa, which has toppled the long-ruling governments in Tunisia and Egypt, have focused attention on those Arab countries — and on their dwindling Jewish communities, usually less known in the United States than European Jewry. In recent months a synagogue in Tunisia was burned, part of a larger wave of arson. The president of Tunisia’s Jewish community last week told The Jerusalem Post that Tunisian Jews feel safe under the new government. “There’s been nothing against the Jews,” Roger Bismuth said, “but the fear does exist that someone might take advantage of it.”
The Jewish Week discussed this subject with Tunisian-born Sarah Taieb-Carlen, author of “The Jews of North Africa: From Dido to de Gaulle” (University Press of America).
Q: Hundreds of thousands of Jews lived in the Arab lands of north Africa in the middle of the last century. Most left, fled, when Israel was created. How many Jews are left in these countries now, and what type of life do they lead?
A: In Morocco, 8,000 to 10,000 Jews. In Algeria, none. Tunisia: 3,000 to 4,000. In Libya, none. In Egypt, less than 100. In Lebanon maybe 30. In Iraq, maybe 40. In Syria, none. In Yemen, less than 200. In general, they feel they should be as inconspicuous as possible.
In the streets, men do not wear a kipah and women dress very modestly. In quiet times, life is normal and Jews go through their daily routine like everyone else. Apart from the synagogue, there is no Jewish institution: no Jewish school, no Jewish social club, no Jewish community center. Socializing usually takes place among family or friends, most often Jewish friends.
Are conditions becoming more precarious for them now because of the recent social unrest and political revolutions?
Life is definitely more precarious for Jews in these countries. As described in the “The Jews of North Africa,” under Muslim rule, Jews were dhimmis: “protected” citizens without rights. Nowadays, any social or political unrest, any economic crisis is a good pretext for the Muslim masses – and sometimes the ruler as well – to attack the Jews. In Libya, since there are no Jews left, the Muslims desecrated graves in Jewish cemeteries.
The story of the Jewish refugees who came from Nazi Europe after World War II is well known. Why is the experience of the Jews from the Arab lands not known as well?
Maybe it is due to the magnitude of the unspeakable catastrophe which befell European Jews, or to the fact that the Israeli establishment was and still is composed mostly of Jews of European descent who naturally identify more with their European ancestors than with those Jews from the Middle East and North Africa. Also this story of the Jews from Arab lands could be poorly known because of the resignation of this group who didn’t complain much and were resigned to their fate as refugees.
The recent upheaval in northern Africa, which has toppled the long-ruling governments in Tunisia and Egypt, have focused attention on those Arab countries — and on their dwindling Jewish communities, usually less known in the United States than European Jewry. In recent months a synagogue in Tunisia was burned, part of a larger wave of arson. The president of Tunisia’s Jewish community last week told The Jerusalem Post that Tunisian Jews feel safe under the new government. “There’s been nothing against the Jews,” Roger Bismuth said, “but the fear does exist that someone might take advantage of it.”
The Jewish Week discussed this subject with Tunisian-born Sarah Taieb-Carlen, author of “The Jews of North Africa: From Dido to de Gaulle” (University Press of America).
Q: Hundreds of thousands of Jews lived in the Arab lands of north Africa in the middle of the last century. Most left, fled, when Israel was created. How many Jews are left in these countries now, and what type of life do they lead?
A: In Morocco, 8,000 to 10,000 Jews. In Algeria, none. Tunisia: 3,000 to 4,000. In Libya, none. In Egypt, less than 100. In Lebanon maybe 30. In Iraq, maybe 40. In Syria, none. In Yemen, less than 200. In general, they feel they should be as inconspicuous as possible.
In the streets, men do not wear a kipah and women dress very modestly. In quiet times, life is normal and Jews go through their daily routine like everyone else. Apart from the synagogue, there is no Jewish institution: no Jewish school, no Jewish social club, no Jewish community center. Socializing usually takes place among family or friends, most often Jewish friends.
Are conditions becoming more precarious for them now because of the recent social unrest and political revolutions?
Life is definitely more precarious for Jews in these countries. As described in the “The Jews of North Africa,” under Muslim rule, Jews were dhimmis: “protected” citizens without rights. Nowadays, any social or political unrest, any economic crisis is a good pretext for the Muslim masses – and sometimes the ruler as well – to attack the Jews. In Libya, since there are no Jews left, the Muslims desecrated graves in Jewish cemeteries.
The story of the Jewish refugees who came from Nazi Europe after World War II is well known. Why is the experience of the Jews from the Arab lands not known as well?
Maybe it is due to the magnitude of the unspeakable catastrophe which befell European Jews, or to the fact that the Israeli establishment was and still is composed mostly of Jews of European descent who naturally identify more with their European ancestors than with those Jews from the Middle East and North Africa. Also this story of the Jews from Arab lands could be poorly known because of the resignation of this group who didn’t complain much and were resigned to their fate as refugees.
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