samedi 9 novembre 2013

Satire: Mort à Ramallah, Hercule Poirot enquête sur le meurtre d'Arafat

Source: Karl reMarks - Karl Sharro's blog about Middle East politics and culture with a healthy dose of satire (Death in Ramallah, Poirot Investigates Arafat’s Murder)

Hercule Poirot paused before he entered the study. The unpleasant encounter with the Israeli soldiers at the gate had irritated the great detective. I didn't come out of retirement to be humiliated like this, he thought to himself. The soldiers had mocked his moustache of which he took great care, and inquired whether he was smuggling any ‘humanitarian aid’ under his bulging waistline. M. Poirot’s demeanour was always a sensitive subject to him, but he wasn’t going to let those goons distract him from the job at hand. His greatest challenge perhaps. He opened the door and walked in.

Suha Arafat greeted him with a smile. She was dressed in an elegant black suit and had the pampered look that comes with great wealth. Mrs Arafat had asked Poirot to investigate the murder of her husband, the late Palestinian leader Yasser Arafat. The fact that several years had passed since his death was one of several complications surrounding the case. Arafat was thought to have died of natural causes initially, but recent evidence suggested foul play. Poirot couldn’t resist the case. One last time.

Did the deceased have any enemies? Did he now! Everyone from his main foes the Israelis to rival Arab leaders to many of the leaders on his own side could be included in that large club of Arafat’s enemies. Poirot was familiar with those facts but he wanted to hear Mrs Arafat’s version. With his typical meticulousness, Poirot decided not to dismiss the widow as a suspect, despite that fact that she had hired him. Lire la suite ICI.

2 commentaires :

Anne juliette a dit…

LOL.
"Le crime de l'Orient Express." Le meilleur roman d'Agatha Christie.

Gilles-Michel De Hann a dit…

Israël est le seul suspect dans la mort de Yasser Arafat en 2004, a déclaré vendredi dernnier, le principal enquêteur palestinien dans ce dossier, au lendemain de l’annonce par des scientifiques suisses que l’ancien leader palestinien a probablement été empoisonné au polonium.

Tawfik Tirawi a indiqué que son enquête se poursuivra, mais n’a pas précisé ce que les Palestiniens pourraient faire de plus pour aller au fond de cette affaire. Il n’a fourni aucune preuve de l’implication israélienne, faisant simplement valoir qu’Israël avait les moyens et les motifs d’éliminer M. Arafat. Israël a plusieurs fois maintenu n’avoir rien à voir avec la mort du leader palestinien, une position que le pays a répété vendredi à la lumière des nouvelles allégations.

La veuve de M. Arafat, Suha, a demandé aux responsables palestiniens de réclamer une enquête internationale ou de se tourner vers les tribunaux, mais M. Tirawi a prévenu que cette décision revient au successeur de M. Arafat, Mahmoud Abbas. Le président de l’Autorité palestinienne n’a pas encore commenté les conclusions de l’enquête suisse.

Lors de la conférence de presse de vendredi, l’expert médical de l’équipe palestinienne, le docteur Abdullah Bashir, a affirmé que les scientifiques russes n’ont pas trouvé suffisamment de preuves pour déterminer que la mort a été causée par un empoisonnement au polonium-210. Il n’a pas fourni plus de détails.

Toutefois, les deux équipes ont déterminé que M. Arafat n’est mort ni de vieillesse, ni de maladie, mais qu’il avait été empoisonné. Le docteur Bashir a ajouté que
« cela vient appuyer notre théorie ».

Les Russes examinent la possibilité que d’autres poisons aient été utilisés, a-t-il dit, avant de préciser que de nouvelles analyses sont nécessaires.

Pour sa part, M. Tirawi a refusé de se prononcer quand il a été bombardé de questions quant à savoir si M. Arafat a été empoisonné au polonium. « Il n’est pas important que je dise qu’il a été tué par du polonium, a-t-il dit. Mais je dis qu’avec tous les détails disponibles concernant la mort de Yasser Arafat, qu’il a été tué, et qu’Israël l’a tué. » Il a plus tard déclaré qu’Israël est le « premier, le plus fondamental, le seul suspect dans l’assassinat de Yasser Arafat ».