Philosémitisme: "Bonjour, je suis Goy et je défends Israël!"

dimanche 12 juillet 2015

"Bonjour, je suis Goy et je défends Israël!"

Ça fait longtemps qu'on n'a pas fait une petite thérapie de groupe!
Qui est goy et se sent suffisamment Goy qui défend Israël pour dire publiquement qu'il est goy et qu'il défend Israël?
Allez, c'est pas sale, on peut l'avouer!
Répétez après nous:
"Bonjour, je suis Goy et je défends Israël!"

Ces Goys qui défendent Israël.

Photographer Evyatar Dayan looks at Tel Avivians — secular, religious and otherwise inclined — as they go about their daily routine. Israel 21c.

2 commentaires :

Anonyme a dit…: C'est exactemant mon cas!!! Ted de Milan (Italie); 13 juillet 2015 à 11:15
GHYS MARYVONNE a dit…: et bien moi de même je suis volontaire Tsahal depuis 2oo8 en raison d' un mois et demi deux fois par an et j' en suis fier j' ai également un ami de 77 ans qui est volontaire depuis 2o11 et un autre qui a commencé en octobre de l' année dernière et am ISRAËL RAÏ; 15 juillet 2015 à 22:17

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"Le peuple juif, en revenant en Israël, a accompli sa "sortie d'Europe". Je veux dire: grâce au rétablissement de son État, il a cessé d'être dépendant spirituellement des nations européennes dans lesquelles il vivait ou vit encore. C'est l'issue d'une très longue séquence historique. Ce n'est pas seulement la conséquence de la destruction des Juifs d'Europe; c'est aussi la suite de l'effacement de soi auquel les nations européennes travaillent depuis vingt ans avec un zèle qui étonne. Étant ainsi "sorti d'Europe", le peuple juif invite l'Europe à dire son nom. Il lui demande son nom." (Pierre Manent, La raison des Nations)

"On est toujours sûr de tomber, au hasard des journées, sur un Français, souvent intelligent par ailleurs, et qui vous dit que les Juifs exagèrent vraiment. Naturellement, ce Français a un ami juif qui, lui, du moins… Quant aux millions de Juifs qui ont été torturés et brûlés, l’interlocuteur n’approuve pas ces façons, loin de là. Simplement, il trouve que les Juifs exagèrent et qu’ils ont tort de se soutenir les uns les autres, même si cette solidarité leur a été enseignée par le camp de concentration." (Albert Camus, 1947)