dimanche 9 mars 2014

Le plus vieux best-seller de l’histoire de l’humanité est juif

Israël: deux précisions @ Extrême Centre

1) Un mur destiné à empêcher les attaques terroristes n’est pas un «mur de l’apartheid» mais une barrière de sécurité…

2) Il est étonnant d’entendre des gens oser affirmer qu’Israël et le peuple hébreu sont des mythes, alors que le plus vieux best-seller de l’histoire de l’humanité démontre depuis fort longtemps exactement le contraire…

2 commentaires :

Anne juliette a dit…

Je commente beaucoup mais j'aime bien ce site car il ne pratique pas l'apartheid envers ceux qui défendent Israël.

Depuis, la construction de cette barrière, il n'y a pour ainsi dire plus d'attentats terroristes en Israël, ce qui prouve son efficacité. Quel pays accepterait que ces citoyens meurent déchiquetés et brûlés pour protéger des terroristes? On demande l'impossible à ce pays. Dans ces conditions, L'Etat français n'a qu'à laisser en totale liberté tous les djihadistes qui reviennent de Syrie ou d'ailleurs : pourquoi les juger? La France pratiquerait-elle l'apartheid envers une catégorie de ces citoyens?

Le notion d'apartheid ne s'applique seulement qu'aux citoyens d'un MEME PAYS : c'est un ensemble de lois ségrégationnistes qui distinguent les citoyens de ce pays en fonction de leur race, de leur religion, de leurs opinions politiques, etc... Or, les palestiniens disposent d'un état reconnu par l'ONU depuis Novembre 2012 mais je ne doute pas que cet état obtienne le titre d'état permanent (seul les USA bloquent), donc Israël et la Palestine sont deux Etats différents : le mot d'apartheid ne s'applique donc pas.

Si les arabes israëliens arabes (25 % de le population israëlienne) n'avaient pas le droit de fréquenter les mêmes écoles, les mêmes magasins, le même bâtiments administratifs, de prendre les mêmes transports que israëliens juifs, là, on pourrait parler d'apartheid, autrement non.
Mais là encore, l'enfumage des pro-palestiniens fonctionne à plein tube.

Gilles-Michel De Hann a dit…

Depuis la chute du Mur de Berlin, en novembre 1989, les murs de séparation sont loin d’avoir disparu.

Certains sont surprenants par leur construction très récente. C’est le cas de deux murs dressés en 2012, l’un entre la Grèce et la Turquie pour des raisons migratoires. L’autre en Syrie, par le régime Al-Assad pour protéger les communautés alaouites de la ville de Homs.