Pour une certaine partie de la population arabo-musulmane, en France, sur les réseaux sociaux, ces excuses sont nulles et non avenues, et c'est bien Israël tout entier qui a tué cet enfant.
La mort d’Ali Saad Dawabsha, un enfant palestinien de 18 mois, dans un incendie provoqué par des colons israéliens extrémistes religieux, a été condamnée unanimement et vigoureusement en Israël, de Netanyahou aux simples citoyens israéliens, en passant par son président Reuven Rivlin, qui a fait cette déclaration emblématique : « Les flammes de la haine et de la violence se sont propagées dans notre pays. »
Pourtant, pour une certaine partie de la population arabo-musulmane, en France, sur les réseaux sociaux, ces excuses sont nulles et non avenues, et c’est bien Israël tout entier qui a tué cet enfant et blessé gravement ses parents. Cet événement ravive, ou plutôt entretient, cette haine de TOUS les Israéliens. Aucun Israélien n’est innocent dans l’imaginaire collectif de certains Arabo-Musulmans, c’est comme si chacun avait pris ce bébé et l’avait immolé, à l’image de ce qu’avait fait l’État islamique avec ce pilote jordanien.
Quand l’État islamique s’en était pris à des Palestiniens à Yarmouk, les mêmes voix ne s’étaient pas élevées, ou bien alors inaudibles. Les morts palestiniens ne sont intéressants que lorsqu’ils sont tués par… Israël !
Quand l’État islamique, au sein de son califat, enterre des enfants vivants, ne laissant dépasser que leur tête pour leur faire subir l’indicible, c’est oublié. Quand on parle d’Israël, on entend : « 500 enfants tués par Israël l’an dernier » et le débat est coupé. On a beau dire que ces 500 enfants ont été tués lors d’une guerre provoquée par le Hamas après que ce dernier a envoyé des centaines de roquettes sur la tête de son voisin (quel pays l’accepterait sans réagir ?). [...]
Pour certains Arabo-Musulmans, chaque pore de chaque Israélien ne peut être qu’habité par le mal et le sadisme. Ceux-ci peuvent bien aller manifester contre leur gouvernement, se retrouver lors de la rupture du jeûne du ramadan entre communautés juive et musulmane, défendre le droit des animaux ensemble, ce sera toujours vain : ils seront toujours considérés comme des bourreaux sanguinaires pour des générations et des générations.
À l’inverse, en Syrie, on n’en veut pas aux citoyens de Syrie, mais seulement à Bachar!
Espérons que ce drame entraînera le nécessaire arrêt de la colonisation en territoire cisjordanien, voire mènera à la création d’un État arabe. Mais quand bien même, cela suffira-t-il à apaiser cette haine « puissance mille »?
Pourtant, pour une certaine partie de la population arabo-musulmane, en France, sur les réseaux sociaux, ces excuses sont nulles et non avenues, et c’est bien Israël tout entier qui a tué cet enfant et blessé gravement ses parents. Cet événement ravive, ou plutôt entretient, cette haine de TOUS les Israéliens. Aucun Israélien n’est innocent dans l’imaginaire collectif de certains Arabo-Musulmans, c’est comme si chacun avait pris ce bébé et l’avait immolé, à l’image de ce qu’avait fait l’État islamique avec ce pilote jordanien.
Quand l’État islamique s’en était pris à des Palestiniens à Yarmouk, les mêmes voix ne s’étaient pas élevées, ou bien alors inaudibles. Les morts palestiniens ne sont intéressants que lorsqu’ils sont tués par… Israël !
Quand l’État islamique, au sein de son califat, enterre des enfants vivants, ne laissant dépasser que leur tête pour leur faire subir l’indicible, c’est oublié. Quand on parle d’Israël, on entend : « 500 enfants tués par Israël l’an dernier » et le débat est coupé. On a beau dire que ces 500 enfants ont été tués lors d’une guerre provoquée par le Hamas après que ce dernier a envoyé des centaines de roquettes sur la tête de son voisin (quel pays l’accepterait sans réagir ?). [...]
Pour certains Arabo-Musulmans, chaque pore de chaque Israélien ne peut être qu’habité par le mal et le sadisme. Ceux-ci peuvent bien aller manifester contre leur gouvernement, se retrouver lors de la rupture du jeûne du ramadan entre communautés juive et musulmane, défendre le droit des animaux ensemble, ce sera toujours vain : ils seront toujours considérés comme des bourreaux sanguinaires pour des générations et des générations.
À l’inverse, en Syrie, on n’en veut pas aux citoyens de Syrie, mais seulement à Bachar!
Espérons que ce drame entraînera le nécessaire arrêt de la colonisation en territoire cisjordanien, voire mènera à la création d’un État arabe. Mais quand bien même, cela suffira-t-il à apaiser cette haine « puissance mille »?
2 commentaires :
Le territoire s appelle Judee Samaria,merci!
Ce "territoire" est la Judee,Juive selon le droit international ( cf San remo 1920,chapitre 80 de la charte de l'onu)
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