Source: Dimitris Kammenos est un député pour le parti de droite indépendant, membre de la coalition. En réaction à un Twit d'un site d'information russe RT sur l'antisémitisme en Europe, Kammenos a répondu : "Des attaques de juifs contre chacun d'entre nous ont-elles été enregistrés ?"
Le blog Against Antisemitism rapporte que la presse grecque a totalement ignoré les propos de M. Kammenos. Celui-ci a, entre-temps, effacé son Twit. Et il rappelle:
Back in December 2014, the leader of the Independent Greeks party, Panos Kammenos, has claimed during an interview that only the Orthodox Church pays taxes in Greece but not the Buddhists, the Jews and the Muslims. Stavroula Xoulidou, another MP of the same party, has suggested in an essay that the “World Zionist Movement” threatens the Greek nation.
4 commentaires :
Je ne comprends pas l'indignation que semble vous inspirer le tweet de ce monsieur.
Sans vouloir prendre sa défense je voudrais vous raconter une anecdote récente qui vous aidera à comprendre pourquoi de plus en plus de goyim de base se sentent agressés par nous autres Juifs.
Le président de la Confédération helvétique, Ueli Maurer, un politicien très populaire, avait osé dire dans un de ses discours que pendant la guerre la Suisse avait été "un refuge pour beaucoup de persécutés". Immédiatement il y a eu un tollé des organisations juives de Suisse. Comment! le président de la Confédération ose dire ça en passant sous silence tous ces Juifs qui ont été refoulés à la frontière pendant la guerre et qui sont morts dans les camps! C'est un scandale. Le président Maurer a été contraint de s'excuser.
Bien sur ce débat est douloureux. Il y a eu cette commission d'experts (commission Bergier) qui a rendu un rapport tendancieux sur l'attitude suisse pendant la guerre et qui a lancé des chiffres fantaisistes: près de 30'000 Juifs auraient été refoulés à la frontière. Ces chiffres ne tiennent pas. Selon des historiens plus récents, le nombre total des refoulés a été d'environ 3'000, ce qui a été confirmé par les recherches de Serge Klarsfeld et d'un historien suisse, juif, Henry Spira. Bien sur c'est 3'000 de trop. Mais c'est à mettre en regard avec les centaines de milliers de Juifs qui, en effet, ont été sauvés car ils ont pu se réfugier en Suisse, ou transiter par la Suisse. Et c'est à mettre en regard, bien entendu, avec le bilan de la politique juive des autres pays européens pendant la guerre.
L'opinion publique suisse, bien sur, s'est senti blessée et humiliée par le rapport Bergier et par les excuses exigées et obtenues d'Ueli Maurer.
Or, pas plus tard que la semaine dernière, François Hollande faisait une visite d'état en Suisse. Dans son discours il a prononcé littéralement et exactement la même phrase que celle tant reprochée à Ueli Maurer: "Pendant la guerre la Suisse a été un refuge pour de nombreux persécutés". Ce qui de toute façon est un fait, quoi qu'on en dise.
On n'a pas entendu les protestations des organisations juives contre ce propos du président Hollande !!!
Pourquoi?
Alors vous voyez, je pense qu'on en fait trop. Les goyim n'en peuvent plus. Ils ne peuvent plus supporter ces criailleries des Juifs qui exigent en permanence de la repentance pour des faits datant d'il y a 70 ans et pour lesquels les gens d'aujourd'hui ne peuvent rien.
Il est tout à fait normal que les non-juifs se sentent agressés.
A mon avis c'est cela que ce politicien grec a voulu dire. Il avait raison. Soyons honnêtes et reconnaissons-le.
Ce blog ne s'indigne pas - ce n'est pas son rôle. Il informe.
Charles-Joseph, Prince de Ligne, a remarqué en 1801 que la colère, voire le dégoût, des Européens pour les juifs durait depuis 1800 - et que ça suffisait. "Une colère de 1800 ans me paraît avoir duré longtemps assez". Plus de deux cents ans après, comme vous le dites, les Européens sont toujours indignés et excédés par les juifs.
C'est tout de même très curieux.
Permettez moi cher Monsieur de vous faire part d'une observation personnelle. Il y a encore quelques années je trouvais inconcevable que l'on puisse prétendre qu'il y ait encore de l'antisémitisme en France. Cela me paraissait une paranoïa juive quasiment délirante. Mais j'ai changé d'avis. Ou plutôt la situation a changé. D'un seul coup, je ne parviens pas à déterminer la date exacte du basculement, peut-être que c'est du à la tentative, qui a échoué, de tuer socialement Dieudonné pour le punir d'avoir dit des choses interdites, il s'est produit un basculement dans l'opinion. Et d'un seul coup on a constaté que l'antisémitisme était là. Comme un éléphant au milieu de la pièce. Mais voyez-vous, je suis obligé aussi de vous le dire: il est impossible de ne pas noter le fait que ce sont des maladresses et des provocations délibérées d'un certain nombre de milieux et personnalités juives, à mon avis faites en connaissance de cause, avec conscience et volonté du résultat inévitable que cela entrainerait, faites donc dans le le but de provoquer froidement un retour de l'antisémitisme (dans quel but? empêcher l'assimilation? forcer les gens à faire leur alya? avez-vous une autre explication?) qui ont causé cette flambée presque instantanée. Il s'est produit une affaire Dreyfus à l'envers. Et il faut bien dire aussi qu'au moment où ce basculement stupéfiant s'est produit, overnight, bien sur, toutes les agressions commises contre le peuple français par tous ces juifs des médias qui depuis quarante ans n'ont pas cessé de trainer dans la boue les bouseux, les beaufs, les Dupont-Lajoie, de diaboliser, en les traitant de racistes, les Français qui ne voulaient pas devenir minoritaires dans leur propres pays africanisé, etc., etc., toutes ces offenses contre la Francité subies en silence par le public sans défense des médias, tout cela qui avait été intériorisé passivement depuis 40 ans, toute l'affaire SOS racisme, toutes les manips de Julien Dray, la haine anti-française de tous les BHL, cette connivence des gens de médias juifs se sentant entre eux, et vomissant les goys en les écrasant de leur mépris, alors qu'ils sont devant des millions de téléspectateurs, tout cela a ressurgi d'un seul coup et la masse gauloise a montré d'un seul coup que les affronts subis par elle sans mot dire depuis 40 ans n'avaient pas été acceptés ni pardonnés. Tout est remonté à la surface d'un seul coup.
Vraiment le député grec a exprimé quelque chose de profondément vrai, aussi douloureux que cela soit à reconnaître, et aussi impossible à admettre pour les juifs. C'est une vérité.
Un nouvel exemple d'agression juive anti-française: le film "Un Français" sélectionné pour Cannes. Mais là vous allez voir que ça va faire long feu. Ce genre de diffamations ne prennent plus. Trop c'est trop! Un "tipping point" a été dépassé. Désormais toutes ces insultes se retournent contre ceux qui les profèrent: des Juifs.
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