Robert Redeker, agrégé de philosophie:
Si les forces de l’ordre, présentes, ne s’étaient interposées, il semble presque certain que le philosophe aurait été physiquement agressé…
Ces agresseurs s’avançaient sur le chemin du lynchage. Les auteurs de ces insultes et de ces menaces ont donné à voir l’essence de la haine, avec son visage terrifiant. Ils auraient laissé Finkielkraut pour mort sur le pavé s’il n’y avait eu des témoins. L’antisémitisme est la figure pure, abstraite, métaphysique, de la haine. Il est la radicalité de la haine. C’est pourquoi il ne meurt jamais.propos recueillis par Gilles Perrault
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