mardi 22 avril 2014

Les Juifs ont construit Israël sans recevoir des tonnes d'argent d'ONG et de l'UE...

Elder of Ziyon pose LA BONNE QUESTION: comment se fait-il que les Juifs ont pu construit un État viable et prospère sans recevoir des tonnes d'argent de l'Union européenne et d'ONG? C'est évidemment à comparer avec les Palestiniens, ces chouchous de l'Europe et des ONG européennes... Alors que tant d'Européens vivent dans la misère l'argent continue d'affluer dans les caisses et les poches palestiniennes. "Comment se fait-il qu'un groupe de Juifs est parvenu a créer un État sans l'aide de magnifiques institutions comme le Comité de coordination de l'information [qui assure ... la coordination entre 3 ou 4 programmes disparates financés par l'UE pour aider les Arabes palestiniens élever du bétail - l'UE consacre des millions d'euros à ce type d'initiatives]? Au cours des premières 20 années d'existence d'Israël, malgré une connaissance limitée des techniques agricoles et d'élevage, les Juifs ont réussi à mettre sur pied un État efficace et relativement moderne basé sur l'agriculture tout en étant en guerre avec chacun des Etats voisins, avec peu ou pas de soutien d'ONG et de gouvernements étrangers."

How did Jews build a state without tons of money from the EU and NGOs? Here is an entire article from official PA news agency Wafa:
A public information coordination committee to oversee a group of sub projects funded by the European Union in support of the livestock subsector was recently formed, under which the communication efforts between the institutions implementing projects in the Livestock-based Livelihoods (LbL) programme, said a press release on Thursday.

The full LBL project, worth approximately EUR 11 million, was launched in 2013 in order to support the development of the Palestinian the livestock subsector. This committee will workin parallel with the project coordination framework and Project Steering Committee,which includes the Ministry of Agriculture and the Union of Agricultural Work Committees (UAWC) and CARE and Oxfam Italia in addition to the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) and the European Union (EU).

The three sub-projects constituting the LbL programme are ; (i) ‘Moving herders from aid dependence to self-sustaining growth through livestock husbandry development and market expansion (SULALAH)’, implemented by UAWC and the consortium (ii)‘Strengthening Livestock Holders’ Livelihoods in Area C (Rawasi)’ implemented by CARE International and the consortium; and (iii) ‘Support Livestock-based Livelihood Programme of Vulnerable Populations in the oPt, the Institutional Level Component’ (LbL-i) implemented by FAO. In addition to, (IV) 'Regional Bedouin Governance (RBG) implemented by Oxfam IT, which is also made possible by the generous support of the EU.


The committee will organize and arrange the strategic implementation of visibility and communications efforts between the projects, to export a unified message to reach the largest possible audience, in addition to publishing news that reflects the joint work between the projects.
So a communications committee is being formed to coordinate between three or four disparate EU-funded programs to help the Palestinian Arabs raise livestock. The EU is pouring millions of euros into these initiatives, which seem vitally important.

Now, how did a bunch of Jews manage to build an entire state without having the equivalent of such wonderful institutions as the Public Information Coordination Committee? Somehow, with limited knowledge of farming and raising animals, Jews managed to put together a modern, relatively efficient agriculture-based state during the first 20 years of Israel's existence, while at war with every neighboring state, with little or no support from NGOs and governments. 

Here we are, 20 years after Oslo, and about 18 years after the PA first gained autonomy to govern its own day to day life, and they somehow cannot survive for a week without huge injections of aid for so many projects that new projects have to be created to coordinate the older projects!

Now, how could the Jews (who we are constantly being told were outside colonialists with no ties to the land), without outside help, manage to build their infrastructure under British rule and catapult from there into creating an impressive, modern state in so little time? And how could the Arabs (who we are constantly told are indigenous to the area) not know how to even raise livestock without serious injections of cash and having their hands held every step of the way?

2 commentaires :

Anne juliette a dit…

Les Israëliens n'ont pas été aidés de 1948 à 1968 et ce fut leur chance : ils ont ainsi pu se développer, grandir et progresser.
Il y un proverbe japonais qui dit :
" Si tu donnes un poisson à un homme, il mangera un jour. Si tu lui apprends à pêcher, il mangera tous les jours."
Depuis quelques décennies, les palestiniens sont trop aidés, ils deviennent et deviendront des assistés. Un signe de l'absence de développement d'une société ou d'un peuple de nos jours est le nombre d'enfants par femme : il est de 6 pour les femmes palestiniennes et c'est beaucoup trop pour ces peuples du Proche-Orient disposant de peu d'espace cultivable. Mais le sous-développement avec le poids de la religion et la rage de surpasser en nombre les juifs pour d'une certaine manière les éliminer, font que ce peuple s'enferre dans sa misère.
Cette façon de penser est naïve et ridicule car c'est l'avancement technologique qui, bien souvent, domine l'avancement démocratique : si aujourd'hui, les nigérians allaient en guerre contre les britanniques, ce sont les britanniques qui gagneraient, et pourtant la population nigériane est trois fois supérieure à la population britannique et est beaucoup plus jeune.
Ce que je dis est valable pour tous les autres peuples comme pour notre descendance : ne lâchez pas la main de votre enfant, il ne marchera pas; ne lui enlevez pas les petites roues de son vélo, il ne saura pas en faire; cédez lui en tout, il n'aura aucune limite, etc....



















Ps : Beaucoup d'hommes et femmes politiques sont des abrutis: Madame Duflot ne voulait pas travailler avec Monsieur Valls avent d'avoir essayé, Monsieur Juppé et Monsieur Rocard ne veulent pas travailler avec Monsieur Montebourg avant d'avoir essayé aussi.
Ces personnes là ne pensent jamais au bien commun et au bien des français. Je le répète, je travaille dans le secteur de la santé : si nous nous comportions de la même façon, ce serait un motif de licenciement.
Alors, Madame Duflot, Messieurs Juppé et Rocard, si vous ou l'un de vos proches arrivaient dans un service d'urgences pour des soins rapides, accepteriez-vous que les médecins et les infirmières ne vous prennent pas en charge, vous ou votre famille, parce qu'ils ne veulent pas travailler ensemble à cause de méthodes de travail différentes, d'incompatibilité de caractère ou d'opinions divergentes?
Voilà pourquoi je ne vais pas voter.
Je défends Monsieur Montebourg quand j'estime que c'est nécessaire : EELV ne manque pas au gouvernement, Messieurs Juppé et Rocard ne manqueront pas aussi à Monsieur Montebourg.

Anne juliette a dit…

Les médias ont une grande part de responsabilité dans le traitement de l'information concernant le conflit israëlo-palestinien : à 90 %, l'information est pro-palestinienne et anti-israêlienne et cela depuis des décennies et ainsi, ces journalistes amènent le peuple à détester Israël et, par effet ricochet, les juifs qui peuplent cette terre et,enfin, les juifs de la diaspora, même s'ils n'ont qu'une toute petite affection pour ce pays qui reste, in fine, leur dernier rempart lorsqu'ils sont persécutés et assassinés (comme dernièrement aux USA par la tuerie à Kansas City, en Ukraine par des tracts antisémites virulents, ou en France, il y a deux ans, avec l'affaire Merah,... dans le monde entier en somme).


PS : Je voudrai pousser un coup de gueule et il n'y a qu'ici que je peux le faire, alors merci d'avance.
Les journalistes, qui font tout pour détruire les politiques et leurs proches conseillers en révélant des affaires vénielles, qui datent de dix ans voir plus (affaire Morelle dernièrement), sont choyés par ces mêmes politiques : l'Etat met tout en oeuvre pour obtenir leur libération même si ces journalistes mettent délibérement leur vies en danger en allant dans des zones de conflit dangereuses.
Le Qatar, les Emirats Arabes ... ou le contribuable français (du pareil au même) paient les rançons et nourrissent ainsi le terrorisme.
Est-ce que la situation en Syrie, en Irak, en Afghanistan, avec les reportages de ces journalistes, s'est améliorée depuis des années pour autant? NON, elle s'est même considérablement dégradée, alors leurs documentaires ne servent à rien.

Par contre, si vous êtes un citoyen lambda pris en otage, les politiques et les médias ne se soucient guère de vous et vous pouvez mourir faute de soins, de nourriture, ou être tué.

J'ai vécu quelques années d'adolescence dans un DOM. Là-bas, il y avait un proverbe pour nommer les gens qui aidaient ceux qui pouvaient être leurs adversaires : "Nourris le ver (=serpent) pou pique ton coeur." Comme c'est vrai.

Je préfère mille fois la méthode anglo-saxonne pour traiter du sort des otages : cela relève d'associations et n'a rien à voir avec l'Etat. Et, au moins, elle est infiniment plus juste.