tag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post8759659814406106193..comments2024-02-27T10:11:00.246+01:00Comments on Philosémitisme: Bichara Khader: "Israël pratique la forme du terrorisme la plus abjecte"Unknownnoreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post-42821590099557794542010-04-13T00:36:21.860+02:002010-04-13T00:36:21.860+02:00Ce Monsieur Khader a tout à fait raison...Même moi...Ce Monsieur Khader a tout à fait raison...Même moi en tant que juif, je suis forcé de le reconnaître...On ne peut demander à un peuple d'accepter ceux qui s'installent sur leurs terres. Et cela, même Ben Gurion l'a dit. Je suis Juif mais pas sioniste. Mais maintenant, c'est trop tard...les Palestiniens disparaîtront et on en parlera plus dans 200 ans...Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post-67515116751454277132009-09-09T22:47:38.603+02:002009-09-09T22:47:38.603+02:00* L’identité palestinienne se confondait avec l’id...* L’identité palestinienne se confondait avec l’identité arabe et se situait de fait dans le cadre territorial de la Grande Syrie. Ce nationalisme dominant était fonction des intérêts de la classe dirigeante composée alors d’un ensemble de notables, émanation des familles féodales, qui fondaient leur pouvoir sur la propriété de la terre. Le caractère dominant de cette féodalité était la recherche d’un point d’appui dans un pouvoir extérieur (Amman, Le Caire, etc.). <br /><br />Le Fatah naît en 1959 sous la poussée d’un groupe issu du Koweit – par des étudiants de Judée-Samarie (ex-Cisjordanie !).<br /><br />Ces forces se réfèrent au nassérisme et au baassisme et partiellement au marxisme. Pour elles, la lutte des Palestiniens est partie intégrante du mouvement national arabe qui a ses moteurs au Caire et à Damas. <br /><br />Dans ce contexte marqué par l’hégémonie idéologique du panarabisme naît l’OLP en 1964, à l’initiative de l’Egypte, désireuse à la fois de contrôler les fedayins (combattants palestiniens), mais aussi de détacher la Palestine de la tutelle Jordanienne. Le jeune Fatah, qui a poussé à la formation de l’OLP est pour sa part décidé à se lancer directement dans la lutte armée et à refuser " la guerre de libération par procuration ", ce qui signifie s’émanciper de l'instrumentalisa-<br />tion nassérienne ou autre. <br /><br />La Charte alors adoptée par l’OLP en 1964 contient une grosse ambiguïté. L’article 2, pour définir les frontières de la Palestine, se limite à faire référence à l’" époque du mandat britannique ". Or, quand le mandat britannique avait été institué, il n’y avait pas de division entre les deux rives du Jourdain. Cette ambiguïté – voulue – aura une grande importance dans la stratégie palestinienne. L’imprécision de la Charte dans la définition géopolitique de la " patrie palestinienne " va encourager la diffusion d’une idée-force selon laquelle la révolution en Palestine est dialectiquement liée avec la révolution en Jordanie (idée par ailleurs pleinement souscrite pendant un certain temps par Yasser Arafat). <br /><br />Dès le 1er janvier 1969, le comité central du Fatah proclame que l’objectif final de sa lutte est la restauration de l’Etat palestinien indépendant et démocratique dont tous les citoyens, quelle que soit leur religion, jouiront de droits égaux. (!!!) <br /><br />A lire: Le double jeu palestinien -Freddy Eytan.<br /><br />http://jcpa-lecape.org/ViewArticle.aspx?ArticleId=237Gilles-Michel DEHARBEnoreply@blogger.com