tag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post490250570489672554..comments2024-02-27T10:11:00.246+01:00Comments on Philosémitisme: Shimon Peres: "l’Angleterre est profondément pro-arabe et anti-Israël"Unknownnoreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post-498343229776140642010-08-01T23:20:35.818+02:002010-08-01T23:20:35.818+02:00À propos d'islamisation,
* Un imam de Londres...À propos d'islamisation,<br /><br />* Un imam de Londres met ses enseignements en pratique - Viol djihadiste brutal d'une "infidèle".<br /><br />http://www.pointdebasculecanada.ca/article/344-un-imam-de-londres-met-ses-enseignements-en-pratique-viol-djihadiste-brutal-dune-infidle.php<br /><br />Au cours d’une session de questions/réponses à la East London Mosque, l’imam prédicateur Abdul Mukin s’est fait poser une question par une musulmane portant le niqab, au sujet d’une récente fatwa d’un imam bien connu :<br /><br />" L’imam Hamza Mesri a dit que les musulmans britanniques peuvent tuer les infidèles et avoir des rapports sexuels avec leurs épouses et leurs filles. Êtes-vous d’accord avec lui ? "<br /><br />Réponse Imam : " Ce n’est pas ce que dit l’imam Hamza qui importe ni si je suis d’accord. C’est dans le Coran et c’est donc ce qu’ordonne Allah ". <br /><br />" Mais pourquoi Allah dirait-il aux musulmans de tuer et de violer des non musulmans innocents ? "<br /><br />Réponse Imam : " Parce que les non-musulmans ne sont jamais innocents, ils sont coupables de nier Allah et son prophète."<br /><br />Pour les "fans" du Coran ...<br /><br />http://www.eastlondonmosque.org.uk/<br /><br />On peut légitimement se poser la question de l'existence d'un tel site ... mais ne soyons pas plus royalistes que (!) ou bien que (!), car la France connaît également ses problèmes.Gilles-Michel DEHARBEnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post-63147446789875416052010-08-01T22:48:31.855+02:002010-08-01T22:48:31.855+02:00Dans une troisième partie, G.L. envisage les oppos...Dans une troisième partie, G.L. envisage les oppositions à l'antisémitisme; le gouvernement y répond d'abord en réprimant les manifestations les plus violentes du fascisme anglais dans son ensemble à partir de 1933; néanmoins l'Angleterre souscrit à l'idée d'une indulgence excessive de la police et des tribunaux envers les manifestants et vandales d'extrême-droite; le Public Order Act voté à la fin de 1936, tout en rendant plus rares les scènes de violence, ne les empêche pas totalement. Par ailleurs, la communauté juive anglaise se divise entre israélites très assimilés qui prônent l'apaisement, et les sionistes, dichotomie qui se voit d'abord lors du boycott des denrées allemandes, et surtout à propos d'une résistance active à l'antisémitisme; un comité de coordination, représentant les deux tendances, cherche surtout à défendre l'image de la communauté parmi la population non-juive, par des conférences et des publications, et conseille aux Juifs anglais de ne pas intervenir dans les meetings fascistes. <br /><br />Enfin la gauche radicale anglaise (essentiellement le parti communiste et deux organisations très sympathisantes, le Left Book Club et le National Council for Civil Liberties) se montre beaucoup plus active que ce comité (et que les partis majoritaires), mais ne saisit jamais le problème juif comme une question spécifique : il ne s'agit que d'une manifestation particulière de la lutte de classes, et le sionisme y est rejeté car considéré comme "nationaliste". ??Gilles-Michel DEHARBEnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post-69765267423979779342010-08-01T22:43:51.594+02:002010-08-01T22:43:51.594+02:00Au delà de l'islamisation du Royaume Uni et du...Au delà de l'islamisation du Royaume Uni et du conflit proche-oriental.<br /><br />À Londres, un étudiant juif d'une yéshiva (école religieuse juive), lit les Psaumes dans un autobus, quand il est poignardé 27 fois. <br /><br />La page couverture du magazine de Gauche The New Steadman montre une grande étoile de David en train de poignarder l' « Union Jack » britannique.<br /><br />« L'antisémitisme est devenu respectable dans les diners de Londres » écrivit une éditorialiste du journal anglais The Spectator. Et elle cite un membre de la Chambre des Lords : « Les juifs l'ont bien cherché, et maintenant, Dieu merci, nous pouvons enfin dire ouvertement ce que nous pensons d'eux ».<br /><br />La communauté juive d’Angleterre, qui compte 300.000 personnes remonte à 1066. Les premiers juifs arrivèrent avec l’armée normande de Guillaume le Conquérant qui envahit l’Angleterre.<br /><br />La population juive entière de Londres fut chassée par le roi Edouard 1 en 1290 après des années d’antisémitisme violent. Les juifs ne furent réadmis qu’en 1656 sous Olivier Cromwell qui avait renversé la monarchie. Ce dernier n'ayant jamais ré-admis pour autant l'immigration juive.<br /><br />L’histoire des juifs anglais est aussi celle de l’antisémitisme. Pendant des siècles, les juifs étaient exclus de nombre de professions. Ils ne pouvaient pas non plus être membres du Parlement. Disraeli y fut admis car il s’était converti au christianisme dans son enfance.<br /><br />* Extrait d'une étude intéressante, du moins, de mon point de vue :<br /><br />LEBZELTER (Gisela C.) Political Anti-Semitism in England (1918- 1939) Londres Macmillan Press Ltd. 1978.<br /><br />Dans cet ouvrage consacré à l'antisémitisme politique en Grande-Bretagne entre les deux guerres, G.L étudie surtout les années 30 où il accompagne la montée des idéologies fasciste et nazie. Après une introduction sur la situation générale des israélites anglais depuis le XVIIe siècle elle divise son travail en trois parties. D'abord vient la description des divers thèmes antisémites notamment le mythe d'une conspiration juive associée à l'Allemagne pendant la Première Guerre mondiale, puis du bolchevisme, après la révolution russe, les violences physiques, le vandalisme contre des boutiques juives de East End de Londres. Puis des synagogues apparaissent comme un phénomène nouveau.<br /><br />Enfin, après la crise de 1929, la défaite des Conservateurs aux élections générales, et l'arrivée de réfugiés du Continent. <br /><br />Dans une seconde partie, l'auteur passe en revue les divers groupements antisémites de l'entre-deux-guerres, c'est-à-dire ceux d'extrême-droite, pour qui la haine des israélites est le corollaire d'une idéologie fortement influencée par l'hitlérisme; trois mouvements sont analysés, les Britons, patriote, monarchiste, prônant le sionisme pour débarrasser l'Angleterre de la "main cachée" juive, la Ligue Impériale Fasciste, pour qui l'antisémitisme devient dans les années 30 partie intégrante d'une idéologie raciste fondée sur des thèses prétendument anthropologiques, partisan des pogroms dans East End, enfin le BUF (British Union of Fascists), fondé en 1932 par Sir Oswald Mosley, homme politique connu pour son éloquence dramatique; ce dernier groupement, de loin le plus intéressant et le plus populaire, associe assez tardivement l'antisémitisme à son programme politique et économique, prévoyant une extermination en cas de besoin, pour préserver la "race <br />anglaise" de toute pollution;<br />après avoir connu son apogée en 1934, le BUF se marginalise et se discrédite progressivement, jusqu'à son interdiction en 1940, en adoptant des méthodes et des idées hitlériennes.Gilles-Michel DEHARBEnoreply@blogger.com