@ Les Echos:
La startup israëlienne Cellebrite serait la mystérieuse "tierce partie" qui a aidé le FBI à percer le mystère de l'Iphone...
C’était officiellement mission impossible. Et pourtant le FBI a déclaré  lundi avoir débloqué l’Iphone du terroriste à l’origine de l’attaque de  San Bernardino en Californie en décembre dernier, sans l’aide d’Apple.  Une mystérieuse “tierce partie” lui aurait proposé ses services. Experts  et médias pointent de plus en plus vers une startup israëlienne,  Cellebrite, mais la société comme le FBI se refusent à confirmer.
Son secret ? Une solution d’investigation mobile nommée UFED (Universal  Forensic Extraction Device), une sorte de « mallette magique » selon le  surnom donné par les forces de l’ordre qui l’utilisent un peu partout  dans le monde car elle permet d’extraire, de décoder et d’analyser des  données à partir de smartphones, tablettes et autres dispositifs GPS  portables.
Une expertise qui a séduit le groupe japonais de l'informatique Sun, qui a racheté la startup en 2007 pour un montant inconnu. Celle-ci a gardé son siège en Israël, et ses deux dirigeants Yossi Carmil, formé en Allemagne dans la vente chez Siemens, et l’ingénieur informatique Ron Serber.
Leader mondial de l’investigation sur les téléphones portables
Quelles infos a-t-on sur Cellebrite? Fondée en 1999, à Petah Tikva dans la banlieue de Tel-Aviv, la startup israëlienne est spécialiste de la technologie des données mobiles. En plus de travailler avec les opérateurs mobiles pour l’amélioration de la relation clients et le suivi du cycle de vie des produits, la startup s’est surtout fait un nom dans le marché du “forensique numérique”, dont elle est devenue le leader mondial.Une solution utilisée dans plus de 100 pays
La société aurait ainsi “plus de 30.000 unités UFED déployées parmi les forces de l'ordre et les agences de sécurité dans 100 pays”, se vante-t-elle sur son site, sans plus de précision.Une expertise qui a séduit le groupe japonais de l'informatique Sun, qui a racheté la startup en 2007 pour un montant inconnu. Celle-ci a gardé son siège en Israël, et ses deux dirigeants Yossi Carmil, formé en Allemagne dans la vente chez Siemens, et l’ingénieur informatique Ron Serber.
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