tag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post4178271378189786453..comments2024-02-27T10:11:00.246+01:00Comments on Philosémitisme: Ministre du Fatah: il y a plus de 7 millions de réfugiés palestiniens !Unknownnoreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post-23448302361817811892010-05-26T00:30:42.087+02:002010-05-26T00:30:42.087+02:00Selon les chiffres établis en 1949 par la mission ...Selon les chiffres établis en 1949 par la mission économique des Nations Unis et par le sociologue Walter Pinner, le nombre de réfugiés était au départ de 652 000 (chiffres de la mission économique) voire même de 539 000 (Pinner).<br />Par ailleurs, la plupart de ces "réfugiés" ont trouvé refuge à quelques kilomètres de là où ils habitaient :<br />- 150 000 à Gaza<br />- 250 000 en Cisjordanie<br />- 70 000 en transjordanie (la Jordanie actuelle)<br />- 100 000 au Liban<br />- 75 000 en Syrie<br /><br />Quand on pense aux exodes massifs de population après la 2ème guerre mondiales et aux millions de personne qui ont été jeté sur les routes sans aucune aide d'aucune sorte, sans parler des 900 000 juifs des pays arabes qui ont été expulsés délibérément en étant spoliés de tous leurs biens !<br /><br />Il est temps d'en finir avec cette scandaleuse imposture des "réfugiés" perpétuels palestiniens.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post-38660941388178455602010-05-24T23:31:54.970+02:002010-05-24T23:31:54.970+02:00* La complexification des parcours migratoires des...* La complexification des parcours migratoires des réfugiés palestiniens qui quittent leur pays de résidence pour tenter de se rendre en Europe répond à la multiplication des barrières juridiques qui se dressent devant eux, tant dans leur pays de départ que dans les espaces de transit ou de destination finale. Il s’ensuit donc le développement d’une migration clandestine, très coûteuse pour les candidats au départ, qui s’appuie sur les réseaux migratoires formés depuis les années soixante-dix et surtout quatre-vingt par les premiers arrivants palestiniens. Il est à l’heure actuelle très difficile de spécifier de quel type de migration il s’agit, tant les facteurs qui en sont à l’origine sont divers et imbriqués. D’un côté, ces longs et complexes parcours migratoires font penser à ceux des migrants clandestins qui viennent en Europe pour travailler, d’un autre, leur statut juridique particulier et le contexte politique actuel au Moyen-Orient les rapprochent de ces réfugiés pour qui le retour dans leurs pays d’accueil est de plus en plus remise en cause. Migration forcée, recherche d’asile et migration économique sont les trois facettes de la réalité migratoire des Palestiniens d’Europe. L’Europe demeure cependant un espace assez marginal au sein de la diaspora palestinienne, et le faible degré d’organisation des réfugiés qui y résident, ainsi que le manque d’institutions diasporiques palestiniennes sur ce continent la différencient des Palestiniens des États-Unis, qui forment un pôle organisé et structuré. Seuls les Palestiniens du Royaume-Uni tentent de promouvoir un certain nombre d’organisations palestiniennes dont le but est la défense du droit au retour. Ce type de démarche reste toutefois embryonnaire et ne fédère pas l’ensemble des Palestiniens du Vieux continent.<br /><br />* Le siège, puis la destruction, par l’armée libanaise du camp de réfugiés palestiniens de Nahr al Bared (juin-septembre 2007), pour en déloger un groupuscule de militants sunnites radicaux récemment venus d’Irak et résolus à transformer le camp en foyer d’insurrection dirigée tout à la fois contre Israël, l’État libanais et le Hezbollah shiite, est sans doute l’épisode qui a le moins retenu l’attention des médias internationaux dans l’actualité chargée du Liban lors des trois dernières années. On peut s’interroger sur cette couverture plutôt pudique au vu de l’ampleur meurtrière de l’événement, des violations graves des droits de l’homme qui l’ont accompagné de la part d’un régime bénéficiant du soutien sans faille de la présidence française, et de ses conséquences désastreuses pour les 30 000 habitants du camp, évacués sans préavis au début des combats et contraints d’assister impuissants à sa lente démolition à coups d’obus approximatifs. On peut aussi s’étonner que l’ironie sordide inhérente à la décision de passer par pertes et profits une ville bâtie à mains nues par des réfugiés déjà dépossédés de tout une première fois n’ait guère été relevée dans les comptes rendus.Gilles-Michel DEHARBEnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2562436632473375559.post-46622522189311410362010-05-24T12:26:25.491+02:002010-05-24T12:26:25.491+02:00puisque les eurabiens adorent les colons arabes d&...puisque les eurabiens adorent les colons arabes d'Eretz Israël, qu'ils les fassent venir. Au point où l'on en est quelques "frères et soeurs" de plus ne gêneraient pas nos BEN-SENCELOT locauxAnonymousnoreply@blogger.com