Ce site est dédié aux millions d'Européens qui, malgré d'incessantes campagnes de désinformation, ne croient pas que les Juifs ne sont capables que du pire; ne dissimulent pas leur antisémitisme dans le langage de l'antisionisme; et savent qu'Israël représente ce qu'il y a de meilleur dans une démocratie.
vendredi 1 janvier 2010
Pour que l'année 2010 et l'avenir soient meilleurs
Pour que l'année 2010 et l'avenir soient meilleurs, il faut contrer la désinformation: continuons à blogger.
Budapest vers 1916 - Erzsébet, Anna et Zoltán Ma famille et ... tout un monde tourmenté et disparu
Il faut aller devant le Parlement, sur le quai du Danube côté Pest, où sont rangées des dizaines de paires de chaussures en bronze. Généralement, les gens ne se doutent pas de la gravité de l’endroit : c’est un mémorial dédié aux dizaines de milliers de juifs qui furent tués et jetés dans le Danube en 1945. En six mois, 400 000 juifs hongrois furent déportés alors que l’Allemagne avait déjà perdu. Le musée de la Shoah (Holokauszt en hongrois) et le musée de la Terreur retracent cette histoire tragique et il est important d’y aller si on veut rendre hommage à cette communauté qui a tant donné à la ville.
Depuis 2002, date de son inscription au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, le quartier juif a vu plus de démolitions que pendant la seconde guerre mondiale.
A LIRE : L’odeur humaine, le dernier roman d’Ernő Szép, publié en 1945.
Roman / Collection Irodalom Traduit du hongrois par Marc Martin.
Il faut aller devant le Parlement, sur le quai du Danube côté Pest, où sont rangées des dizaines de paires de chaussures en bronze. Généralement, les gens ne se doutent pas de la gravité de l’endroit : c’est un mémorial dédié aux dizaines de milliers de juifs qui furent tués et jetés dans le Danube en 1945. En six mois, 400 000 juifs hongrois furent déportés alors que l’Allemagne avait déjà perdu. Le musée de la Shoah (Holokauszt en hongrois) et le musée de la Terreur retracent cette histoire tragique et il est important d’y aller si on veut rendre hommage à cette communauté qui a tant donné à la ville.
RépondreSupprimerDepuis 2002, date de son inscription au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, le quartier juif a vu plus de démolitions que pendant la seconde guerre mondiale.
A LIRE : L’odeur humaine, le dernier roman d’Ernő Szép, publié en 1945.
Roman / Collection Irodalom
Traduit du hongrois par Marc Martin.
Disponible en février 2010.