Un article intitulé "L’argent gaspillé de la paix" paru dans Le Figaro du 17 décembre, révèle cette réalité proprement stupéfiante. Dans les territoires sous administration palestinienne, l'aide internationale sert à financer plus d’une centaine d’ONG de protection des droits de l’homme et de l’environnement (pour les protéger des Israëliens ?), et moins de dix dans le secteur vital de l’agriculture: "Plus d’une centaine d’ONG des droits de l’homme et de protection de l’environnement se sont créées, tandis que dans le secteur clé de l’agriculture, il en existe moins d’une dizaine", regrette la chercheuse Caroline Abu-Sada, pour qui cette aide a "emprisonné" l’Autorité palestinienne dans une dépendance à l’égard des subsides internationaux. La gestion de cette manne s’est accompagnée de dérives. Tel important ministre bien connu des bailleurs de fonds n’hésite pas à réclamer une commission de 10% sur un contrat de 5 millions de dollars financé par la Banque mondiale. Mais c’est aussi tel pays européen qui accepte de gonfler des surcoûts liés à l’insécurité pour finalement doubler à 10 millions de dollars le montant d’un contrat sur un programme d’électrification rurale en Cisjordanie." |
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